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Rock Music Blog

jeudi 28 juillet 2016

Genesis - The Lamb Lies Down On Broadway (1974)






Rock opera, concept album, The lamb lies down on Broadway is a true monument. With this record, the Genesis five reaches the end of its course, sign a controlled and accomplished work, adopting an unforgettable sound making figure in parenthesis in the history of the group. The lamb lies down on Broadway tells the story of a Puerto Rican young, Rael, who leads a junkie living on the streets of New York. He finds himself mysteriously transported underground. Over several harrowing scenes replayed his destiny, crossed with that of his brother John, who is an image of the white American and easy. This cold, concrete history is far from the fantastic tales that Genesis had accustomed its audience. It is the work of Peter Gabriel alone. With few exceptions, Gabriel wrote all the text and the rest of the group has composed all of the music. The atmosphere is so special about The Lamb ... and no other album of Genesis is not like this musical UFO.
Gradually, as we listening to The lamb lies down on Broadway, the usual landmarks of Genesis fade. The flute becomes scarcer, the twelve strings gives way to electric guitars to different levels of saturation. The Hammond organ is supplanted by intensive use of the mellotron and a new range of synthesizers. Brian Eno (ex-Roxy Music), brought its expertise, giving the album a futuristic sound. The lamb lies down on Broadway is decidedly electric, far from the vaporous his first Genesis (and some of the following). In addition to guitar effects, The lamb ... replete with sound effects. It is difficult to know which instrument produces any sound, as they are mixed, processed, tortured ... The result is fascinating, often frightening, generating a round atmosphere anguished tower made of screams and anguish, then subsided. This album is timeless, anchored in reality without being completely as if he moved into his own dimension, the atmosphere between 1984 Naked Lunch, Brazil ...With each listen, something new appears. If there is only one drive Genesis, it is certainly this one.

Opéra-rock, album-concept, The lamb lies down on Broadway est un véritable monument. Avec ce disque, le Genesis à cinq arrive au bout de son parcours, signe une oeuvre maîtrisée et aboutie, adoptant une sonorité inoubliable faisant figure de parenthèse dans l'histoire du groupe.
The lamb lies down on Broadway raconte l'histoire d'un jeune portoricain, Rael, qui mène une vie de junkie dans les rues de New-York. Il se retrouve mystérieusement transporté dans un souterrain. Au fil de plusieurs scènes angoissantes se rejoue son destin, croisé avec celui de son frère John, qui est une image de l'américain blanc et aisé. Cette histoire froide et concrète est bien loin des contes fantastiques auxquels Genesis avait habitué son auditoire. Elle est l'oeuvre de Peter Gabriel seul. A quelques exceptions près, Gabriel a écrit la totalité des textes et le reste du groupe a composé la totalité de la musique. L'ambiance est donc toute particulière sur The Lamb... et aucun autre album de Genesis ne ressemble à cet OVNI musical. Au fur et à mesure que l'on écoute The lamb lies down on Broadway, les repères habituels de Genesis s'estompent. La flûte se fait plus rare, la douze cordes laisse place à des guitares électriques aux différents niveaux de saturations. L'orgue hammond est supplanté par un usage intensif du mellotron et une nouvelle portée de synthétiseurs. Brian Eno (ex-Roxy Music), a apporté son savoir-faire, donnant à l’album une sonorité très futuriste. The lamb lies down on Broadway est résolument électrique, très loin du son vaporeux des premiers Genesis (et de certains des suivants). En plus des effets de guitare, The lamb... foisonne d’effets sonores. Il est difficile de savoir quel instrument produit quel son, tant ils sont mixés, transformés, torturés... Le résultat est fascinant, le plus souvent effrayant, générant une ambiance tour à tour angoissée, faite de cris et de déchirements, puis apaisée. Cet album est intemporel, ancré dans le réél sans l'être complètement comme si il évoluait dans sa propre dimension, une atmosphère entre 1984, Le Festin Nu, Brazil... A chaque écoute, quelque chose de nouveau apparait. S'il n'y a qu'un seul disque de Genesis, c'est certainement celui là.


1974

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