The Doors - Morrison Hotel

The Doors returned at studio in 1970 to record Morrison Hotel, an album that, despite yielding no major hit singles, offered them to critical favor with hip listeners. An increasingly bluesy flavor began to color the songwriting and arrangements, especially on  'Roadhouse Blues'. Some mysticism was still present on 'Waiting for the Sun', 'Queen of the Highway' and 'Indian Summer'; 'Ship of Fools' and 'Land Ho!' have brought effective equilibrium between the hard rock arrangements and the narrative reach of the lyrics. 'Peace Frog' was the most political and controversial track, documenting the domestic unrest of late-'60s America before unexpectedly diving into the restful ballad 'Blue Sunday'. 'The Spy', by contrast, was a slow blues that pointed to the direction that would fully blossom on L.A. Woman.

Les Doors sont retournés au studio en 1970 pour enregistrer Morrison Hôtel, un album qui, bien que n'ayant pas engendré de titres à succès, les a tout de même gratifiés d'une appréciation très favorable  des critiques. Une saveur plus bluesy a commencé à colorer l'écriture et les arrangements, en particulier sur 'Roadhouse Blues'. Certain mysticisme était encore présent sur 'Waiting for the Sun', 'Queen of the Highway' et 'Indian Summer'. 'Ship of Fools' et 'Land Ho!' ont quant à eux apporté un équilibre efficace entre les arrangements de hard rock et la portée narrative des paroles. 'Peace Frog' qui était la piste la plus politique et la plus controversée, décrivait les troubles intérieurs de l'Amérique à la fin des années 60 avant d'ouvrir de façon inattendue sur la ballade reposante 'Blue Sunday'. 'The Spy', en revanche, était un blues lent et dévoilait clairement l'orientation qui sera pleinement développée sur L.A. Woman.

The Doors Morrison Hotel (LP)

1970

The Lizard King

Stephen Stills - Stephen Stills (1970)

There's Stephen Stills on the cover, acoustic guitar in hand, promising a personal singer/songwriter-type statement. Stephen Stills is top-heavy with 1970 sensibilities, from the dedication to the memory of Jimi Hendrix to the hippie message of "Love the One You're With." Yet, listening to this album three decades on, it's still a jaw-dropping experience, the musical equal to Crosby, Stills, Nash & Young of Déjà Vu, and only a shade less important than either of them. The mix of folk, blues (acoustic and electric), hard rock, and gospel is seamless, and the musicianship and the singing are all so there, in your face, that it just burns your brain (in the nicest, most benevolent possible way) even decades later.

Stephen Stills est là sur la couverture, la guitare acoustique à la main, promettant des compositions très personnelle. Stephen est en totale osmose avec cette année 1970 depuis le vibrant hommage à la mémoire de Jimi Hendrix jusqu'au au message hippie de "Love the One You're With". Pourtant, l'écoute de cet album trois décennies plus tard reste toujours une expérience à couper le souffle. Une forte parenté musicale avec le Déjà Vu de Crosby, Stills, Nash & Young, avec toutefois une nuance qui en permet la distinction. Le mélange de folk, blues (acoustique et électrique), hard rock, et le gospel est si lumineux, et la musicalité et le chant sont tous tellement là, si proches, qu'ils irradient simplement votre cerveau (dans la plus belle et la plus bienveillante des manières possibles ) même des décennies après.

Tracks :

1.   Love The One You're With

2.   Do For The Others

3.   Church (Part Of Someone)

4.   Old Times Good Times

5.   Go Back Home

6.   Sit Yourself Down

7.   To A Flame

8.   Black Queen

9.   Cherokee

10.   We Are Not Helpless

Enjoy Music :

Stephen Stills - Stephen Stills (LP)

1970

Widespread Panic - Everyday (1993)

Widespread Panic's third album offers 14 southern rock songs. It's also the first album to feature John 'JoJo' Herman's bluesy key pecking. Everyday has been criticized for sounding too uniform. Each track does feature the band's signature loud guitar and bass, jam-rock style, but after a couple of listens the tracks distinguish themselves. 'Hatfield' is the true story of a Native American who was called upon to perform a rain dance during a draught in Los Angeles. The song begins very softly like raindrops and builds into a lightening storm of guitar and percussive sounds. The poignant 'Papa's Home' is perhaps the best example of how Widespread Panic can begin a song softly and build it into an all-out jam, with the help of percussionist Domingo "Sonny" Ortiz's skin slapping. Everyday is considered by fans to be one of the band's best albums. 

Le troisième album de Widespread Panic propose 14 chansons de rock sudiste. Il est également le premier album où figure John 'JoJo' Herman. Everyday a été critiqué pour un son trop uniforme. Chaque piste est empreinte de la signature du groupe avec des guitares et une bass très présentes dans le style jam-rock, mais après quelques écoutes les titres se distinguent. «Hatfield» est l'histoire vraie d'un Amérindien qui a été appelé à effectuer une danse de la pluie lors d'un meeting à Los Angeles. La chanson commence très légèrement comme des gouttes de pluie et s'achève dans une tempête orageuse de guitare et de percussions. Le poignant 'Papa's Home' est peut-être le meilleur exemple de la façon dont Widespread Panic peut commencer une chanson doucement et aboutir dans un jam tous azimuts, avec l'aide des tambourinements du percussionniste Domingo 'Sonny' Ortiz. Everyday est considéré par les fans comme l'un des meilleurs albums du groupe.

Widespread Panic - Everyday (LP)

1993