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Rock Music Blog

vendredi 12 août 2016

Buffalo Killers - 3 (2011)



Composed of brothers Zachary and Andrew Gabbard and Joseph Sebaali, Buffalo Killers are among their fans Chris Robinson of the Black Crowes and Dan Auerbach of the Black Keys. It must be said that the first two discs of the exciting trio deserved the welcome lighting. After passing the test with flying colors from the second album Let It Ride, impatiently expected to listen redelivery of the group, a third album that we hoped was that of confirmation. The change is radical this time. Apart from a few reminiscences (some discrete projections as guitars on "Huma Bird") we are far from blues rock beginnings. Between pop and Americana, the band released its most peaceful album to date but also probably the most control. Between Big Star and Buffalo Springfield for the pop side but especially Neil Young for the look americana, this new album is a delight for the ears.

Composé des frères Zachary et Andrew Gabbard et de Joseph Sebaali, les Buffalo Killers comptent parmi leurs fans Chris Robinson des Black Crowes et Dan Auerbach des Black Keys. Il faut dire que les deux premiers disques enthousiasmants du trio méritaient cet éclairage bienvenu.
Après avoir passé avec brio le test du deuxième album Let It Ride, on attendait impatiemment de pouvoir écouter la nouvelle livraison du groupe, un troisième album que l'on espérait être celui de la confirmation. Le changement est cette fois-ci radical. Mis à part quelques réminiscences (quelques saillies discrètes de guitares comme sur "Huma Bird") on est très loin du blues rock des débuts. Entre pop et americana, le groupe a sorti son album le plus apaisé à ce jour mais aussi sans doute le plus maîtrisé. Entre Big Star et Buffalo Springfield pour le côté pop mais surtout Neil Young pour l'aspect americana, ce nouvel album est un ravissement pour les oreilles.

From'3'; 2011

The Black Crowes - Shake Your Money Maker (1990)



At the most unexpected moment, between a first techno wave and grunge proclamation overhyped, now tumbling in 1990 that Shake Your Money Maker drenched guitars slides on overheated amps, with a frayed and jeering singer. British boogie sound old, served by Yankees barely out of adolescence. So, okay, this is probably not the best rock record of the world, but it's one of the best of his time. It is played with honesty and enthusiasm that can What to take the votes of old London pubs lovers drowned in the vapors of warm ale. Of 'Twice As Hard "to" Hard to Handle', through 'Jealous Again', it spark small rough diamonds that sound like true classics from the first listen.

Au moment le plus inattendu, entre une première vague techno et la proclamation surmédiatisée du grunge, voilà que déboule en 1990 ce Shake Your Money Maker gorgé de guitares slides sur amplis surchauffés, avec un chanteur éraillé et goguenard. Un son de boogie british à l'ancienne, servi par des Yankees à peine sortis de l'adolescence. Alors, d'accord, ce n'est sans doute pas le meilleur disque de rock du monde, mais c'est un des meilleurs de sa période. Il est joué avec une honnêteté et un enthousiasme qui ne peuvent qu'emporter les suffrages des vieux amateurs de pubs londoniens noyés dans les vapeurs d'Ale tiède. De 'Twice As Hard' à 'Hard to Handle', en passant par 'Jealous Again', il étincelle de petits diamants bruts qui sonnent comme de vrais classiques dès la première écoute.

1990

Mahogany Rush - Child Of the Novelty (1974)



Half hard half heavy metal rock band formed 1970 in Montreal by guitarist Frank Marino, it consists in addition of drummer Jimmy Ayoub and bassist Paul Harwood. Mahogany Rush was first inspired by British blues rock groups, and Marino quickly adopts exhibitionist style of Jimi Hendrix, his idol. Half hard rock group formed heavy metal mid-1970 in Montreal by guitarist Frank Marino, it consists in addition of drummer Jimmy Ayoub and bassist Paul Harwood. Mahogany Rush was first inspired by British blues rock groups, and Marino quickly adopts exhibitionist style of Jimi Hendrix, his idol.In 1971 Mahogany Rush occurs in public in Montreal, and he was spotted by Kotai, a Canadian label that signed the band. After about two years, pretending to go anywhere very quickly, Marino began recording his first album, Maxoom (naturally album dedicated to Hendrix), when he was only 16 years old. This disc is released in 1973. It was only in 1974 that released the second album 'Child Of The Novelty'. The group then made known to the USA and he seriously starts to get a reputation as a live band. And Marino becomes the guitarist "talked about" up to be invited on an album April Wine. The group then record more than a dozen LP during the first two decades of its existence.

Groupe mi-hard rock, mi-heavy metal formé en 1970 à Montréal par le guitariste Frank Marino, il se compose, en outre, du batteur Jimmy Ayoub et du bassiste Paul Harwood.
Mahogany Rush s'inspire d'abord des groupes blues rock britanniques, et Marino adopte bien vite le style exhibitionniste de Jimi Hendrix, son idole. En 1971, Mahogany Rush se produit en public à Montreal, et il est repéré par Kotai, un label Canada qui signe le groupe.  Après environ deux années, semblant aller nulle part très rapidement, Marino commence à enregistrer son tout premier album, Maxoom (album bien entendu dédié à Hendrix), alors qu'il n'a que 16 ans.  Ce disque est publié en 1973. Ce n'est qu'en 1974 que sort le second album 'Child Of The Novelty'. Le groupe se fait alors connaître aux USA et il commence sérieusement à se faire une réputation de groupe live. Et Marino devient le guitariste "dont on parle" allant jusqu’à être invité sur un album d’April Wine. Le groupe enregistrera ensuite plus d'une dizaine de LP pendant les deux premières décennies de son existence.

1974

Los Lonely boys - Sacred (2006)



Los Lonely Boys is a group composed of three brothers Garza family to San Angelo, Texas. Sacred is their first album. Their sound is a little Santana, some Los Lobos, a little Stevie Ray Vaughan, and many Garza Brothers. They play very tight melodies, composition and lyrics are real and sincere. The guitar playing is phenomenal Henry Garza. His work is exquisite, with small nuances spread throughout the different tracks. Jo-Jo and Ringo Garza give their side a rhythm section that enhances each song.

Los Lonely Boys est un groupe réunissant trois frères de la famille Garza de San Angelo, Texas. Sacred est leur premier album. Leur son est un peu Santana, un peu Los Lobos, un peu Stevie Ray Vaughan, et beaucoup Garza Brothers. Ils jouent des mélodies très serrées, la composition et les paroles sont réelles et sincères. Le jeu de guitare de Henry Garza est phénoménal. Son travail est exquis, avec de petites nuances réparties tout au long des différentes pistes. Jo-Jo et Ringo Garza fournissent de leur côté une section rythmique qui améliore chaque chanson.

2006

Redbone - Potlatch (1970)



Potlatch is the second album recorded by Redbone, a Native American quartet, published in 1970. The pace of their compositions is both a pulsating Indian war drum and incredibly soft and jazzy. The rhythm is provided by Pete Poe drummer and bassist Pat Vegas and grows continuously ass lead guitarist and lead singer Lolly Vegas. Finally Tony Bellamy, rhythm guitarist, and sends soft incandescent riffs continuously behind the soloist. The kind of music quite a pioneer in the early 70's, with Santana. The profusion of rhythm is absolutely hellish. The first installment of this group (published in 1969) is also excellent.

Potlach est le second opus de Redbone, un quatuor d'amérindiens, paru en 1970. Le rythme de leurs conpositions est à la fois une pulsation de tambour de guerre indiens et incroyablement souple et jazzy. La rythmique est assurée par Pete de Poe le batteur et Pat Vegas le bassiste et pousse au cul en permanence le guitariste soliste et chanteur principal Lolly Vegas. Enfin Tony Bellamy, le guitariste rythmique, envoie des riffs souples et incandescents en permanence derrière le soliste. Le genre de musique tout à fait pionnière au début des 70's, avec Santana. Le foisonnement des rythme y est absolument infernal. Le premier opus de ce groupe (paru en 1969) est également excellent. 

1970

Lucinda Williams - Blessed (2011)



Lucinda's in love but his songs still pass through spleen clouds, at the intersection of Avenue of the dead rattlesnakes and square slotted souls. We did not remake, where the melodies and voices hoarse dragging on routs cramées the old American dream. And that rock, impregnated with all US sources, blues, folk, country, crunching power. In a contemporary record, we rarely hear guitars dirty stripper much emotion. This is the case here, especially in the remarkable 'Soldier's Song', slow pain or beach holder of the disc, where 2, 3, maybe 4 instruments intertwine in what is already the best 6 strings hug o the year.

Lucinda est amoureuse mais ses chansons traversent toujours des nuages de spleen, au croisement de l'avenue des crotales morts et du square des âmes fendues. On ne se refait pas, d'où ces mélodies et voix éraillées traînant sur les déroutes cramées du vieux rêve américain. Et ce rock, imprégné à toutes les sources US, blues, folk, country, crissant d'électricité. Dans un disque contemporain, on entend rarement des guitares crasseuses dénuder autant l'émotion. C'est le cas ici, particulièrement dans le remarquable 'Soldier's Song', lente douleur, ou sur la plage titulaire du disque, où 2, 3, peut-être 4 instruments, s'enlacent dans ce qui est déjà la plus belle étreinte à 6 cordes de l'année.


Love - Four Sails (1969)



In 1969, released the fourth official album Love, Californian psychedelic formation led by Arthur Lee. However, it is far from the inspiration of the previous three (Love, Da Capo and the unsurpassable summit represented Forever Changes). In search of a deserved success, the leader dissolved the original formation in favor of a more technical group, among others consists of virtuoso guitarist Jay Donnellan. Although here and there, there are a few from this mystery and melodic richness that made the genius of their third album, but all occurred in a register more "heavy" which evoke, with less panache of course, Jimi Hendrix (with which Arthur Lee record elsewhere). One year after release Out Here, from the same sessions, before the group split in 1971. A unique piece justifies alone the interest that deserves Four Sails: it is an extraordinary long version of 'Singing Cowboy'.

En 1969, sort le quatrième album officiel de Love, formation psychédélique californienne emmenée par Arthur Lee. On est cependant loin de l'inspiration des trois précédents (Love, Da Capo et l'insurpassable sommet que représente Forever Changes). En quête d'un succès mérité, le leader a dissous la formation originelle au profit d'un groupe plus technique, entre autres constitué du guitariste virtuose Jay Donnellan. Même si çà et là, on retrouve un peu de la part de mystère et de cette richesse mélodique qui faisaient tout le génie de leur troisième album, l'ensemble est toutefois produit dans un registre plus "lourd" qui évoquera, avec moins de panache évidemment, Jimi Hendrix (avec lequel Arthur Lee enregistrera d'ailleurs). Un an après sortira Out Here, issu des mêmes séances, avant que le groupe ne se sépare en 1971. Un morceau inédit justifie à lui seul l'intérêt que mérite Four Sails  : c'est une extraordinaire version longue de 'Singing Cowboy'.

1969

The Beach Boys - Surf's Up (1971)



It is commonly accepted that this monument is the last great work of the Beach Boys, and it's right! More balanced than Smiley Smile (which has a few hits like "Good Vibrations" and "Heroes And Villains'), asked more than Wild Honey (where Mike Love actually tons to revive the group) or indigestible Sunflower, this album shows a writing quality and variety in the songs than any other late Beach Boys album has. The album was released in 1971, four years after the implosion of Brian Wilson. Now stripped of surfing identity and avant-garde image, the group has also overtaken by the Woodstock generation. After 10 years of career, the group is now part of the establishment, a certain aristocracy of American rock that no longer recipe for youth. As if all had realized the urgent need to restart the machine, each member contributes to writing and composition and, incredibly, mayonnaise takes. It's a combination of good pieces from various members of the group who made this remarkable Surf's Up album.

Il est communément admis que ce monument constitue la dernière grande oeuvre des Beach Boys, et c'est juste ! Plus équilibré que Smiley Smile (qui possède quelques tubes comme 'Good Vibrations' et 'Heroes And Villains'), plus posé que Wild Honey (où Mike Love en fait des tonnes pour relancer le groupe) ou encore l’indigeste Sunflower, cet album montre une qualité d’écriture et une variété dans les chansons qu’aucun autre album tardif des Beach Boys ne possède. L’album est sorti en 1971, soit quatre années après l’implosion de Brian Wilson. Désormais débarrassé de son identité surf et de son image avant-gardiste, le groupe s’est en outre fait dépasser par la génération Woodstock. Après 10 ans de carrière, le groupe fait désormais partie de l’establishment, d’une certaine aristocratie du rock américain qui ne fait plus recette auprès des jeunes. Comme si tous s’étaient rendus compte du besoin urgent de relancer la machine, chacun des membres contribue à l’écriture et à la composition et, incroyablement, la mayonnaise prend. C’est une conjonction de bons morceaux provenant de divers membres du groupe qui fait de ce Surf’s Up un album remarquable.

1971

The Moody Blues - Days Of Future Passed (1967)



Conversion of Moody Blues is spectacular and unexpected. Before the other, the musicians are surrounded by a classical orchestra, the London Festival Orchestra, for interludes between harmonically ambitious ballads, ethereal through the use of reverberation already. Keyboards duos (Mike Pinder) and flute (Ray Thomas), vocal harmonies (the five musicians sing) and webs of mellotron, an instrument that Mike Pinder had helped develop, become the hallmark of the training. The highlight of the album concept is of course the classic Justin Hayward written when he was still nineteen years, the love song 'Nights In White Satin' long piece developed over seven minutes remains one of slows the great history of rock, fetish disk DJ's winter 1967.

La reconversion des Moody Blues est spectaculaire et inattendue. Avant les autres, les musiciens s’entourent d’un orchestre classique, le London Festival Orchestra, pour les interludes entre des ballades harmoniquement ambitieuses, éthérées grâce à l’utilisation de la réverbération déjà. Les duos claviers (Mike Pinder) et flûte (Ray Thomas), les harmonies vocales (les cinq musiciens chantent) et les nappes de mellotron, instrument que Mike Pinder avait contribué à élaborer, deviennent la marque de fabrique de la formation. Le point culminant de ce concept album est bien sûr le classique de Justin Hayward écrit quand il avait encore dix neuf ans, la chanson d’amour 'Nights In White Satin', longue pièce élaborée de plus de sept minutes qui demeure l’un des grands slows de l’histoire du rock, disque fétiche des DJ’s de l’hiver 1967.

1967

King Crimson - Lizard (1970)



After two albums having imposed its largest project, King Crimson's Robert Fripp foments a break in album form, an exciting intrusion into a progressive jazz that had never been treated like this, Lizard. The work is impressive, its precise construction, detailed, and valuable emphatic short, with Fripp and a largely revamped line-up, which will never turn elsewhere, this is a unique creation of a founder of the progressive rock to which we are dealing. Undeniably, the influence of modal jazz of Miles Davis (Sketches of Spain in particular) or a progressive big band "on Mingus" (The White Saint and the Sinner Lady is sometimes not very far) is being widely felt in an album that is not jazz or prog, and certainly not melting, but jazz and prog. Because it remains of past training elements through the guitars and mellotron Fripp, the often cryptic and mystical texts of Peter Sinfield, and, more generally, a taste for dangerous and surprising constructions of what hardly dare call song.

Après deux albums ayant imposé son grand projet, son King Crimson, Robert Fripp fomente un album en forme de rupture, une passionnante intrusion dans un jazz progressif qui n'avait jamais été traité comme ça, Lizard. L'œuvre est imposante, sa construction précise, détaillée, précieuse et emphatique bref, avec Fripp et un line-up largement remanié, qui ne tournera jamais d'ailleurs, c'est à une création unique d'un des fondateurs du rock progressif à laquelle nous avons affaire. Indéniablement, l'influence du jazz modal de Miles Davis (Sketches of Spain en particulier) ou d'un big band progressif "à la Mingus" (The White Saint and the Sinner Lady n'est parfois pas bien loin) se fait largement sentir dans un album qui n'est pas jazz ou prog, et certainement pas fusion, mais bien jazz et prog. Parce qu'il reste des éléments du passé de la formation, via les guitares et le mellotron de Fripp, les textes souvent cryptiques et mystiques de Peter Sinfield, et, plus généralement, un goût pour les constructions périlleuses et surprenantes de ce qu'on ose à peine appeler chanson.

From 'Lizard', 1970

The Move - Looking On (1970)



This recording is something monstrous. It is an inexorable lava flow where the hard rock and prog begin to melt to form a proto-glam magma in which the white-hot guitars alongside oboe, cello and saxophone furious. It is the work grandiose and exhausting of a group that has decided not to compromise and stubbornly continuing on to madness and self-destruction. Shazam after the commercial failure that has stymied the rise of The Move, the band recorded the arrival of Jeff Lynne and Looking On not appear as expected burst of lucidity, but as a radicalization both great and suicidal. The album is divided between explosions rock n 'roll and epic pieces. The first, which will later Wood a specialty with Wizzard, are an opportunity for the group to issue a dense and aggressive racket, at ground level, which sets the stage for all future glameux including snobs of Roxy Music and edgy sax. A 'Turkish Tram Conductor Blues' or 'When Alice Comes Back to the Farm' are all mines ready to explode and carefully placed on the disk for something different. For beyond these moments of maximum emotional release, Looking is especially true for the amazing compositions that see the two co-leaders with aplomb add a strong progressive flavor to their music.

Ce disque a quelque chose de monstrueux. C’est une coulée de lave inexorable où le hard rock et le prog entrent en fusion pour former un magma proto-glam dans lequel les guitares chauffées à blanc côtoient hautbois, violoncelles et saxophones furieux. C’est l’œuvre grandiose et épuisante d’un groupe qui a décidé de ne faire aucun compromis et de poursuivre obstinément sa route vers la folie et l’autodestruction. Après l’échec commercial de Shazam, qui a stoppé net l’ascension de The Move, le groupe enregistre l'arrivée de Jeff Lynne et Looking On apparaît non pas comme le sursaut de lucidité attendu, mais comme une radicalisation à la fois géniale et suicidaire.  L’album se partage entre déflagrations rock n’ roll et pièces épiques. Les premières, dont Wood se fera plus tard une spécialité avec Wizzard, sont l’occasion pour le groupe de délivrer un boucan dense et agressif, au ras du sol, qui prépare le terrain pour tous les glameux à venir, y compris les snobinards de Roxy Music et leur saxo énervé. Un 'Turkish Tram Conductor Blues' ou un 'When Alice Comes Back to the Farm' sont autant de mines prêtes à exploser et judicieusement placées sur le disque pour varier les plaisirs. Car au-delà de ces moments de défoulement maximal, Looking On vaut surtout pour les incroyables compositions qui voient les deux co-leaders ajouter avec aplomb un fort arôme progressif à leur musique.

1970

J. Geils Band - J. Geils Band (1970)



For the purposes of its first LP, the eponymous J.Geils Band, released in November 1970 for Atlantic Records, the group, which holds in Justman, Geils and Wolf, three players able to write, replace the repeatedly writing that he is clean. This first disc marks the spirits, even though the power it demonstrates live only be fully expressed in the studio. The evil that affect other J.Geils Band, not least, no reason to worry. It is effective and successful even if the roadmap to get there is not adorned with much originality. No fuss, no detours, it goes directly where it should touch it and touch. Should not ask for more. It's winner.

Pour les besoins de son premier LP, l’éponyme J.Geils Band, publié en novembre 1970 pour Atlantic Records, le groupe, qui tient en Justman, Wolf et Geils, trois acteurs capables d’écrire, substitue aux reprises une écriture qui lui est propre. Ce premier disque marque les esprits, même si la puissance qu’il démontre en live peine à donner sa pleine mesure en studio. Le mal en affectera d’autres que J.Geils Band, et non des moindres, aucune raison de s’inquiéter. Il est efficace et réussi même si la feuille de route pour y parvenir ne se pare pas de beaucoup d’originalité. Sans tralalas, ni détours, ça va direct là où ça doit toucher et ça touche. Faut pas lui en demander plus. C’est gagnant.

Chris Robinson Brotherhood - Big Moon Ritual (2012)



Although he returned to an electric sound, not sound like Croweology, the album on which the Black Crowes have announced a break for an indefinite period, Chris Robinson and his community, The Chris Robinson Brotherhood, back still tickle our ears with typical 70's rhythms directly from the legacy American psychedelic rock. As we remember where we put the ears, and in the tradition of the genre, titrate the seven that make up Big Moon Ritual exceed, without exception, the seven minutes. It is even be around twelve minutes for the first title, 'Tulsa Yesterday', which leaves the side of a groovy blues without forgetting the necessary detours into psychedelia that is the hallmark of the album. By the second song, 'Rosalee' soft funk redolent zinc and cold beer, we leave to other lands always tinged psychedelic rock. And even though the genre has already been more than adequately cleared, explored and revisited, it remains undeniable that Chris Robinson and his new acolytes not only the culture but the talent enough to enable them to excel in the field.

Bien qu’il soit revenu à un son électrique, et non plus acoustique comme sur Croweology, l’album sur lequel les Black Crowes avaient annoncé faire une pause d’une durée indéterminée, Chris Robinson et sa communauté, The Chris Robinson Brotherhood, reviennent tout de même nous chatouiller les oreilles avec des rythmes typiquement 70’s, issus directement de l’héritage rock psychédélique américain. Comme pour nous rappeler où l’on met les oreilles, et dans la plus pure tradition du genre, les sept titrent qui composent Big Moon Ritual dépassent, sans exception, les sept minutes. On va même jusqu’à avoisiner les douze minutes pour le premier titre, 'Tulsa Yesterday', qui part du côté d’un blues groovy sans oublier les détours indispensables vers le psychédélique qui constitue la marque de fabrique de l’album. Dès le deuxième morceau, 'Rosalee', doux funk qui fleure bon le zinc et la bière fraîche, on part vers d’autres contrées toujours teintées de rock psychédélique.
Et même si le genre a déjà été plus que largement défriché, exploré et revisité, il reste indéniable que Chris Robinson et ses nouveaux acolytes ont non seulement la culture, mais le talent suffisant pour leur permettre d’exceller en la matière.

2012

Gypsy - Gypsy (1970)



It is a double album (recorded at Devonshire Studios, North Hollywood, California) containing thirteen beautiful songs. The melodies, music, and how songs are woven have something extraordinary. The guitar work is just great. The songs are well established and well written, and the musicianship is excellent. The voices are strong and in perfect harmony. 'Dead and Gone' which lasts eleven minutes and received limited airplay on stations in the top 40 is definitely the best song on the disc Other songs, all stuffed with large parts of keyboard and guitar, all received some airplay on progressive underground stations of FM radio. Moreover, no two songs are alike and pleasure is renewed each title.

C'est un double album (enregistré aux Devonshire Studios, North Hollywood, en Californie) de toute beauté contenant treize chansons. Les mélodies, la musique, et la manière dont les titres sont tissés ont quelque chose d'extraordinaire. Le travail de guitare est tout simplement génial. Les chansons sont bien mises en place et bien écrites, et la musicalité est excellente. Les voix sont solides et en parfaite harmonie. 'Dead and Gone' qui dure onze minutes et a reçu un temps d'antenne limité sur les stations du Top 40 est certainement la meilleure chanson du disque. Les autres chansons, toutes bourrées de grande parties de clavier et de guitare, ont toutes reçu un certain temps d'antenne sur les stations progressistes underground de radio FM. En outre, il n'y a pas deux chansons ne se ressemblent et le plaisir est renouvelé à chaque titre.

1970



Crosby, Stills & Nash - CSN (1977)



In 1977, after several years of separation, the trio Crosby, Stills & Nash brings us a gem. Stills had Manassas, Crosby and Nash had engaged in personal projects with varying degrees of success. CSN is, and only the second LP of this training three mythical. But what an album! A gem, do not mince words. CSN is packed with wonderful songs for a disc of great musical quality. The acoustic and electric mix is ​​tasty. This is truly a marvel of folk-rock LP in which everyone has his share. Crosby stake of his compositions: 'Shadow Captain' (co-signing with Craig Doerge), the title starts from the album, 'Anything At All' and 'In My Dreams'. Stills gives us his magnificent 'Dark Star', 'Fair Game', the superb acoustics as what 'See The Changes', 'Run From tears' and the final song 'I Give You Give Blind'. Nash is not standing still and brings a sublime to the building with CSN 'Cathedral' (a title that I consider one of the greatest ever heard), 'Carried Away', 'Cold Rain' and the huge ' Just A Song Before I Go '. Softness, calm, vocal harmonies unlike any other, hushed folk ambiance, variety ... and certainly, this disc enhanced by the presence of a prestigious line-up is to be counted among the best productions of the time.

En 1977, après quelques années de séparation, le trio Crosby, Stills & Nash nous livre ici un bijou.  Stills avait Manassas, Crosby et Nash s'étaient lancés dans des projets personnels avec plus ou moins de succès. CSN est donc, et seulement, le deuxième LP de cette formation à trois mythique. Mais quel album ! Un petit bijou, n'ayons pas peur des mots. CSN est un concentré de chansons merveilleuses pour un disque d'une grande qualité musicale. Le mélange acoustique et électrique est savoureux. C'est vraiment une merveille de LP folk-rock dans lequel chacun y va de son écot. Crosby y va de ses compositions : 'Shadow Captain' (en co-signature avec Craig Doerge), le titre d'entame de l'album, 'Anything At All' et 'In My Dreams'. Stills nous livre ses magnifiques 'Dark Star', 'Fair Game', le superbe titre acoustique qu'est 'See The Changes', 'Run From tears' et le morceau final 'I Give You Give Blind'. Nash n'est pas en reste et apporte une sublime pierre à l'édifice CSN avec 'Cathedral' (un titre que je considère comme un des plus grands jamais entendus), 'Carried Away', 'Cold Rain' et l'énorme 'Just A Song Before I Go'. Douceur, calme, harmonies vocales à nulles autres pareilles, ambiance folk feutrée, variété...sans conteste, ce disque, rehaussé par la présence d'un line-up prestigieux est à ranger parmi les meilleures productions de l'époque.

Tracks :

Side one :

1.   Shadow Captain
2.   See the Changes
3.   Carried Away
4.   Fair Game
5.   Anything At All
6.   Cathedral

Side two :

1.   Dark Star
2.   Just a Song Before I Go
3.   Run from Tears
4.   Cold Rain
5.   In My Dreams
6.   I Give You Give Blind

Enjoy Music :

1977

The Dirtbombs - Ooey Gooey Chewy Ka-blooey! (2013)




The Dirtbombs promised to release a pop album Bubblegum. It's done ! One would expect a group album of covers such as 1910 Fruitgum Company or Archies, but the singer Mike Collins wrote 10 new songs that pay homage to the style popularized in the late 60, early 70. Dirtbombs is sweeter, more pop rock than the previous, with tunes from Josie & the Pussycats or to the Banana Splits with childish themes and choruses at all costs. But the similarity ends there and the many guest musicians (unheard on an album of Dirtbombs). While the bubble gum music consisted of a prod in a hurry with studio musicians in single file and lyricists engaged for the occasion, Ooey Gooey Chewy Ka-blooey is the result of an album built, worked and reworked for almost two years.

Les Dirtbombs avait promis de sortir un album de Bubblegum pop. C'est fait !
On aurait pu s’attendre à un album de reprises de groupes tels que 1910 Fruitgum Company ou des Archies, mais le chanteur Mike Collins a écrit 10 nouvelles chansons qui rendent hommage au style popularisé à la fin des années 60, début 70. Ce Dirtbombs est plus sucré, plus pop rock que les précédents, avec des airs de Josie & the Pussycats ou encore de the Banana Splits avec thèmes enfantins et choeurs à tout va. Mais la ressemblance s’arrête là et à la multiplicité des musiciens invités (du jamais vu sur un album de Dirtbombs). Alors que la musique bubble gum consistait en une prod à la va vite avec des musiciens studios en file indienne et des paroliers engagés pour l’occasion, Ooey Gooey Chewy Ka-Blooey est le fruit d’un album construit, travaillé et retravaillé pendant presque deux ans.

2013

Neil Young - Everybody Knows This Is Nowhere (1970)



Not only this second album of Neil Young marks an artistic mutation (almost) total compared to the first, but also in relation to the parallel career he has with Crosby, Stills, Nash & Young, recalling the most violent moments of his work with Buffalo Springfield. Aside from the delicate 'Round & Round' and the country 'The Losing End' and 'Running Dry', the rest is a saturated guitar fireworks and tortured he alone has the secret and built for rock scenes. It is accompanied by a rhythm trio re-named Crazy Horse (the name of the Oglala Sioux chief) it will use here and there throughout his solo career, and his singing suddenly matured. The quintet makes justice and three more flamboyant Neil Young songs, flowing and powerful, different from the other (Neil Young, despite songs Therefore directory, has rarely repeated), complex melodies and exciting fields: 'Cinnamon Girl' (sang with falsetto with rhythm guitarist Danny Whitten), 'Down by the River' and the beautiful 'Cowgirl in the Sand' which closes the album.

Non seulement ce deuxième album de Neil Young marque une mutation artistique (presque) totale en comparaison de son premier, mais aussi par rapport à la carrière parallèle qu’il entretient avec Crosby, Stills & Nash, rappelant les moments les plus violents de son travail avec Buffalo Springfield.
Mis à part le délicat 'Round & Round' et les country 'The Losing End' et 'Running Dry', le reste est un feu d’artifice de guitare saturée et torturée dont il a seul le secret et taillé pour les scènes rock. Il y est accompagné par un trio rythmique re-baptisé Crazy Horse (du nom du chef Sioux Oglala) qu’il utilisera ici et là tout au long de sa carrière solo, et son chant a mûri soudainement. Le quintette rend ainsi justice à trois des plus flamboyantes chansons de Neil Young, coulantes et puissantes, différentes l’une de l’autre (Neil Young, malgré un répertoire de chansons conséquent, s’est rarement répété), aux mélodies complexes et aux trames passionnantes : 'Cinnamon Girl' (chanté avec voix de fausset avec le guitariste rythmique Danny Whitten), 'Down By The River' et le superbe 'Cowgirl In The Sand' qui clôt l’album.

Tracks :

Side one :

A1. Cinnamon Girl 2:58
A2. Everybody Knows This Is Nowhere 2:26
A3. Round & Round (It Won't Be Long)    5:49
A4. Down By The River 9:13


Side two :

B1. The Losing End (When You're On) 4:03
B2. Running Dry (Requiem For The Rockets)   5:30
B3. Cowgirl In The Sand 10:03

Line-up :

Bass – Billy Talbot
Drums – Ralph Molina
Engineer – David Briggs
Guitars – Danny Whitten, Neil Young

Enjoy Music :

1970

Egg - Egg (1970)




Dave Stewart (not to be confused with Dave A. Stewart Eurythmics) is an eminence of the Canterbury scene. In 1967, he formed with his school friend Steve Hillage Uriel group, which takes its name from Egg after the departure of Hillage. Less spectacular Emerson, Lake And Palmer, the group is quite the same caliber, but not really necessary. Stewart will, shortly after, the keyboard of two other historic groups: Hatfield and the North and National Health.

Dave Stewart (à ne pas confondre avec Dave A. Stewart d'Eurythmics) est une éminence de la "scène de Canterbury". En 1967, il forme avec son copain d'école Steve Hillage le groupe Uriel, qui prend le nom de Egg après le départ d'Hillage. Moins spectaculaire qu'Emerson, Lake And Palmer, le groupe est tout à fait du même calibre, mais ne s'impose pas vraiment. Stewart sera, peu de temps après, le clavier de deux autres groupes historiques : Hatfield and the North et National Health.

1970

Tomorrow - Tomorrow (1968)





When discussing the first London underground scene alongside Pink Floyd and Soft Machine are generally seen Tomorrow. But when others are going to become superstars or cult reference Tomorrow will disappear quickly. The group is yet to the most impressive time in concert. He bequeaths to history this remarkable self-titled album, close psychedelic Beatles then. We will also remember that Tomorrow is the first group of Steve Howe of Yes guitarist future.

Lorsqu'on évoque la première scène underground londonienne, aux côtés des Pink Floyd et Soft Machine, on cite généralement Tomorrow. Mais quand les autres vont devenir superstars ou référence culte, Tomorrow va disparaître rapidement. Le groupe est pourtant à l'époque le plus impressionnant en concert. Il lègue a l'histoire ce remarquable album éponyme, proche des Beatles psychédéliques d'alors. On se souviendra aussi que Tomorrow est le premier groupe de Steve Howe, futur guitariste de Yes.

1968

Syd Barrett - The Madcap Laughs (1970)



The Madcap Laughs, released in 1970, is the first solo album of Syd Barrett after it was excluded from Pink Floyd in April 1968. The recording began in 1968 but most of the recording sessions unfolded April to July 1969, for certain with his old cronies Pink Floyd's David Gilmour and Roger Waters (end 1969 sessions). Three members of Soft Machine also gave a hand, Mike Ratledge the organ, Hugh Hopper on bass and Robert Wyatt on drums. It also shared the battery with Jerry Shirley of Humble Pie and William Willie Wilson. The Madcap Laughs, was released in January 1970 in the United States. Upon its release, the success was not at the rendezvous, the album placed in the fortieth place in the ranking of best sellers in the UK and do not even entering the US ranking.

The Madcap Laughs, sorti en 1970, est le premier album solo de Syd Barrett après que celui-ci a été exclu du groupe Pink Floyd en avril 1968. L'enregistrement commença en 1968 mais la plupart des sessions d'enregistrement se déroulèrent d'avril à juillet 1969, pour certaines avec ses anciens comparses de Pink Floyd David Gilmour et Roger Waters (sessions de fin 1969). Trois membres de Soft Machine donnèrent aussi un coup de main, Mike Ratledge à l'orgue, Hugh Hopper à la basse et Robert Wyatt à la batterie. Ce dernier partagea aussi la batterie avec Jerry Shirley de Humble Pie et William Willie Wilson. The Madcap Laughs, sortit en janvier 1970 aux États-Unis. Lors de sa sortie, le succès ne fut pas au rendez-vous, l'album se plaçant à la quarantième place du classement des meilleures ventes au Royaume-Uni et n'entrant même pas dans le classement américain.

1970

Sagittarius - Present Tense (1968)



Although he has released two albums, Sagittarius is a group that has never really existed. This is a studio project by Gary Usher, historical figure of 60s California rock (he collaborates with the Beach Boys and Brian Wilson, co-written including 'In My Room', and produced two albums Byrds ). Present Tense is a marvel of baroque pop and 'My World Fell Down' single classified in 1967, is one of the most iconic songs of the psychedelic experimentation of the time.

Bien qu'il ait publié deux albums, Sagittarius est un groupe qui n'a jamais réellement existé. Il s'agit d'un projet de studio mené par Gary Usher, figure historique du rock californien des années 60 (il collabore avec les Beach Boys et Brian Wilson, co-écrit notamment 'In My Room', et produit deux albums de Byrds). Present Tense est une petite merveille de pop baroque et 'My World Fell Down', single classé en 1967, est l'une des chansons les plus emblématiques de l'expérimentation psychédélique de l'époque.

1968

Buddy Miles - Them Changes (1970)



George "Buddy" Miles said Buddy Miles is an American musician and singer. Known for his participation in the Band Of Gypsys with Jimi Hendrix as a drummer and singer Buddy Miles's career is far from limited to this single experience. The title 'Them Changes' will itself be his most popular song, and will repeatedly subject, including that of the Band Of Gypsys with Jimi Hendrix. The voodoo spirit guitarist is also not far from reversals Gregg Allman 'Dreams' Neil Young' Down By The River ', Rufus Thomas' Memphis Train' or Otis Redding 'Your Feeling is Mine 'reflect the spirit of fusion of black and white influences of the time.

George 'Buddy' Miles dit Buddy Miles est un musicien et chanteur américain. Principalement connu pour sa participation au Band Of Gypsys de Jimi Hendrix comme batteur et chanteur, la carrière de Buddy Miles est loin de se limiter à cette seule expérience. Le titre 'Them Changes' sera lui-même son morceau le plus populaire, et fera l’objet de multiples reprises, dont celle du Band Of Gypsys de Jimi Hendrix. L’esprit vaudou du guitariste n’est d’ailleurs pas bien loin  Les reprises de Gregg Allman 'Dreams', de Neil Young 'Down By The River', de Rufus Thomas 'Memphis Train' ou encore d’Otis Redding 'Your Feeling Is Mine' reflètent l’esprit de fusion des influences blanches et noires de l’époque.

1970

Fever Tree - Fever Tree (1968)



This band formed in Houston, Texas, in 1966, moved to San Francisco, which led to believe that the group was from the bay. Originally called Vine Bostwick he quickly changed their name to Fever Tree. Their music is a mixture of rock, pop, and psychedelia, they had a single top 100 with the title 'San Francisco Girls', which imposed them as a group from the West Coast.
The voice of John Keller is not unlike that of John Kay of Steppenwolf.

Ce groupe formé à Houston au Texas, en 1966, s'installe à San Francisco, ce qui a conduit à croire que le groupe était originaire de la baie. D'abord appelé Bostwick Vine il change rapidement leur nom pour Fever Tree. Leur musique est un mélange de rock, pop, et psychédélisme, ils ont eu un unique top 100 avec le titre 'San Francisco Girls', ce qui les a imposés comme un groupe de la côte ouest.
La voix de John Keller n'est pas sans rappeler celle de John Kay de Steppenwolf.

1968

Stoned Circus - Stoned Circus (1969)



Stoned Circus is an American psychedelic rock band of the 60s . The band started in 1968 in Kansas City and has quickly imposed. Its powerful organ and heavy guitars backed by a vocal and vocal masculine / feminine harmonies, this group provides a psychedelic rock close to that of Jefferson Airplane.

Stoned Circus est une formation de rock psychédélique américaine des années 60. Le groupe a débuté en 1968 à Kansas City et s'est très rapidement imposé. Son puissant d'orgue et de guitares heavy appuyé par un chant et des harmonies vocales masculin / féminin, ce groupe propose un rock psychédéliquetrès proche de celui de Jefferson Airplane.

1969

The Aerovons - Resurrection (1969)



The Aerovons is a 60's band , formed of American teenagers from St Louis in Missouri whose idols were the Beatles. They had the chance to visit the Abbey Road studios in 1969 and to record a great album Resurrection (their unique drive, achieved with the help of Alan Parsons), album so strongly influenced by their idols that one might almost have to deal with an unprecedented collection of the Fab Four. The album yet remain in EMI drawers for 34 years and will come in 2003 RPM thanks to reissues label. The Aerovons, ephemeral group, separated just returned to the States, these young boys have just had time to realize their dream of recording an album in the same studio as their idols.

The Aerovons est un groupe des 60's, formé d'adolescents américains originaires de St Louis dans le Missouri dont les idoles étaient les Beatles. Ils ont eu la chance de pouvoir se rendre dans les studios d'Abbey Road en 1969 et d'y enregistrer un superbe album Resurrection ( leur unique disque,réalisé avec l'aide d'Alan Parsons), un album si fortement influencé par leurs idoles que l'on croirait presque avoir affaire à un recueil d'inédits des Fab Four. L'album restera pourtant dans les tiroirs d'EMI pendant  34 ans et ne verra le jour qu'en 2003 grâce au label de rééditions RPM. The Aerovons, groupe éphémère, se sépara à peine rentré aux States, ces jeunes garçons auront juste eu le temps de réaliser leur rêve : enregistrer un album dans le même studio que leurs idoles.

1969