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Rock Music Blog

jeudi 12 avril 2018

Steve Hackett - The Night Siren (2017)



This is a good, entertaining, and interesting album that is better than Wolflight mainly because the ideas here are more developed. "Behind the Smoke," one of the highlights of the album, is a exciting, heavy song that does a great job as an opener with catchy melodies, a dark feel, and a great buildup in the middle.

Plonger dans "The Night Siren" de Steve Hackett, c'est comme entrer dans un monde où chaque note est un écho du passé et un présage du futur. Sorti en 2017, cet album est une odyssée sonore qui transcende les simples frontières du rock progressif pour embrasser une myriade de cultures et d'émotions. Hackett, toujours l'alchimiste musical, nous offre ici un cocktail sophistiqué, mêlant influences classiques et expérimentations modernes avec une finesse déconcertante.

Dès les premières mesures de "Behind the Smoke", on est frappé par la puissance et la densité du son. Hackett aborde ici des thèmes sombres et pressants : l'exil, la persécution et la quête incessante d'un refuge. Sa guitare, tour à tour douce et tranchante, guide l'auditeur à travers des paysages sonores riches et variés. C'est une ouverture audacieuse, un mélange de rock et de sonorités orientales qui plante le décor pour l'épopée à venir.

"The Night Siren" est une œuvre globale dans le sens le plus littéral du terme. Hackett, fidèle à son esprit aventureux, incorpore des instruments et des rythmes de tous les coins du globe. Des flûtes péruviennes sur "El Niño" aux sonorités de sitar sur "In the Skeleton Gallery", chaque piste est un voyage en soi. On a l'impression d'assister à un dialogue entre cultures, où chaque mélodie raconte une histoire unique mais universelle.

Il y a quelque chose de profondément émouvant dans "Other Side of the Wall". Ici, Hackett troque la grandiloquence épique pour une introspection délicate, presque chuchotée. Les paroles, introspectives et poétiques, sont portées par une mélodie mélancolique qui rappelle les meilleurs moments de son travail avec Genesis. C'est un moment de pause, une respiration profonde avant de replonger dans l'intensité de l'album.

"Anything But Love" est une pièce maîtresse, avec son intro acoustique qui évoque les paysages ensoleillés de l'Andalousie avant de se transformer en un tourbillon électrique. C'est là que Hackett brille vraiment : dans cette capacité à fusionner des styles disparates en une symphonie cohérente et captivante. Sa guitare chante, pleure et rugit, chaque note chargée d'une émotion palpable.

Et puis, il y a "The Gift". Ce morceau, à la fois tendre et majestueux, est une véritable lettre d'amour à la musique elle-même. Hackett s'y révèle comme un maître conteur, chaque accord et chaque phrase musicale tissés avec une précision et une passion rares. C'est une déclaration d'intention, un rappel que, même après des décennies dans le métier, il reste un explorateur insatiable, toujours à la recherche de nouvelles frontières à franchir.

"The Night Siren" est plus qu'un album, c'est une expérience immersive. Hackett nous invite à partager sa vision du monde, une vision où la musique devient un pont entre les peuples et les époques. En écoutant cet album, on ne peut s'empêcher de ressentir une profonde admiration pour cet artiste qui, loin de se reposer sur ses lauriers, continue d'explorer et de repousser les limites de son art.

Tracks :

1. Behind The Smoke (6:59) 
2. Martian Sea (4:40) 
4. El Niño (3:52) 
5. Other Side Of The Wall (4:01) 
6. Anything But Love (5:56) 
7. Inca Terra (5:54) 
8. In Another Life (6:07) 
10. West To East (5:14) 
11. The Gift (2:45) 

Line-up :

Steve Hackett : electric & acoustic guitars, oud, charango, sitar guitar, harmonica, vocals
 Amanda Lehmann : vocals
 Kobi Farhi : vocals
 Mira Awad : vocals
 Jo Hackett : vocals
 Nad Sylvan : vocals
 Roger King : keyboards & programming & mixing
 Benedict Fenner : keyboards & programming & mixng
 Leslie-Miriam Bennett : keyboards
 Rob Townsend : baritone & soprano saxes, flute, flageolet, quena, duduk & bass clarinet 
 John Hackett : flute
 Ferenc Kovács : trumpet
 Sara Kovács : didgeridoo
 Troy Donockley : Uilleann
 Christine Townsend : violin & viola
 Dick Driver : double bass
 Gulli Briem : drums, cajón & percussion
 Nick D'Virgilio : drums
 Gary O'Toole : drums
Malik Mansurov : tar 


Yellow Dog - Yellow Dog (1971)



Yellow Dog was a British based rock band from the 1970s. Founded by the American songwriter Kenny Young, who had previously been a founder member of Fox, the band enjoyed a solitary Top 10 hit in the UK Singles Chart in 1978 with "Just One More Night".

En 1975, la scène musicale était une mosaïque vibrante de sons et de styles, chaque groupe cherchant à capturer l’esprit tumultueux de l’époque. Et puis, il y avait Yellow Dog, un groupe qui, avec son album éponyme "Yellow Dog", a réussi à distiller l’essence même de cette époque en un chef-d'œuvre aussi audacieux qu’étonnamment cohérent.

Dès les premiers accords de "Gypsy Soul", on est transporté dans un univers où chaque note semble être une célébration du genre. La guitare de Kenny Young, nerveuse et énergique, nous rappelle que le rock est avant tout une affaire de passion brute et d’authenticité. C’est une ouverture qui ne se contente pas de mettre le pied dans la porte, mais qui la défonce avec un sourire et une attitude désinvolte.

"The Green Lizard" est une déclaration d'intention, un hymne à la bravoure et à la persévérance. Avec ses riffs accrocheurs et son refrain chantant, c'est le genre de morceau qui donne envie de tout plaquer et de suivre le groupe sur la route, de ville en ville, de concert en concert. Les paroles, pleines de défi et de détermination, capturent parfaitement l’esprit libre de l’époque.

L’album ne se contente pas de marteler des tubes rock. "Indian Summer Rain" ralentit le tempo avec une ballade bluesy qui révèle une profondeur et une sensibilité inattendues. La voix de Kenny Young, habituellement pleine d'énergie, se fait ici douce et vulnérable, ajoutant une dimension émotive qui enrichit l’ensemble de l’album. C’est une pause bienvenue, un moment de réflexion au milieu de l’euphorie.

"City Bird" est une exploration ludique et satirique du personnage-titre, une critique sociale déguisée en une chanson entraînante et humoristique. Avec une section rythmique imparable et des paroles qui piquent, c’est une preuve supplémentaire que Yellow Dog sait allier le fond et la forme avec une aisance déconcertante.

Puis vient "Rising Sun", une chanson qui mêle des influences orientales à leur son rock caractéristique. C’est une expérimentation audacieuse, mais elle fonctionne grâce à l’habileté avec laquelle le groupe intègre ces éléments divers dans une cohésion parfaite. Ce morceau prouve que Yellow Dog n’a pas peur de repousser les frontières musicales, d'explorer de nouveaux horizons sonores.

L’apothéose de l’album, "Nobody Got So Much Soul", est un hommage à la tradition blues tout en étant profondément ancrée dans le présent. C’est une conclusion appropriée, un rappel que peu importe combien le groupe expérimente et évolue, ils n'oublient jamais leurs racines. Le solo de guitare de Young sur cette piste est tout simplement sublime, un moment de pure magie musicale qui reste gravé dans l'esprit longtemps après la fin de la chanson.

En fin de compte, "Yellow Dog" est un album qui respire la liberté et l’innovation. C’est un témoignage de l’époque où le rock était encore une force vive, une manière de vivre et de penser. Yellow Dog, avec cet album, n’a pas seulement créé de la musique, ils ont capturé un moment dans le temps, une énergie palpable et un sentiment de possibilités infinies. C’est un album qui, même des décennies plus tard, résonne avec la même puissance et le même enthousiasme qu’au moment de sa sortie.

Tracks :

Side 1

A1 Stood Up 3:00
A2 Gypsy Soul 4:12
A3 The Green Lizard 4:14
A4 Flash Gordon 4:37

Side 2

B1 Indian Summer Rain 3:25
B2 My Lady 4:05
B3 City Bird 5:00
B4 Nobody Got So Much Soul 3:20
B5 For Whatever It's Worth 3:27

Line-Up :

Bass – Gary Taylor
Drums – Gerry Conway
Guitar – Kenny Young, Andy Roberts, Herbie Armstrong, Jim Gannon
Mandolin – Andy Roberts
Percussion – Gerry Conway
Vocals – Gary Taylor, Herbie Armstrong

Enjoy Music :

1971


Audience - House On The Hill (1971)



`
Tracks :

01 Jackdaw
02 You're not smiling
03 I had a dream
04 Raviole
05 Nancy
06 Eye to eye
07 I put a spell on you
08 The house on the hill
09 You're not smiling
10 Indian summer
11 You're not smiling 

Line-Up : 

Howard Werth - Electric Guitar, Vocals
Tony Connor - Percussion, Drums, Vocals, Vibraphone
Gus Dudgeon - Percussion
Keith Gemmell - Clarinet, Flute, Saxophone
Trevor Williams - Bass Guitar, Keyboards, Vocals

Enjoy Music :

1971


This Winter Machine - The Man Who Never Was (2017)



 "The Man who Never was" would be a significant release even if it came from one of the classic symphonic or neo prog bands, but as a debut from a Yorkshire, UK band that had only formed mere months before, it's simply stunning. The arrangements are an archetypal blend of soaring or arpeggio'd guitars and effusive keyboards with healthy reverence for piano.

"The Man who Never" serait une sortie significative même si elle venait d'un des groupes symphoniques ou néo prog classiques, mais en tant que groupe débutant du Yorkshire, où UK s'était formé seulement quelques mois auparavant, c'est tout simplement renversant. Les arrangements sont un mélange archétypal de guitares montantes et de claviers effusifs avec une saine révérence  pour le piano.

Tracks :

1. The Man Who Never Was
a) Asleep
b) Dreaming
c) Snow
d) Awake
2. The Wheel
3. Lullaby (Interrupted)
4. After Tomorrow Comes
5. Fractured

Line-Up :

Al Wynter : vocals
Gary Jevon : guitars
Mark Numan : keyboards,backing vocals
Peter Priestly : bass
Marcus Murray : drums

Enjoy Music :

2017


Big Big Train - The Underfall Yard (2009)



Imagine if the Genesis line-up of '76 had remained intact and continued to make progressive style rock. Yes, the singer is very reminiscent of Phil Collins. These pieces are lavishly produced and performed pop-prog. The songs don't follow traditional pop convention, but neither are they contrived, overtly dramatic epics, just masterfully written songs.

Imaginez si le line-up de la Genesis de 76 est resté intact et a continué à faire du rock progressif. Oui, le chanteur rappelle beaucoup Phil Collins. Ces pièces sont généreusement produites et exécutées pop-prog. Les chansons ne suivent pas la convention pop traditionnelle, mais elles ne sont pas non plus artificielles, épiques ouvertement dramatiques, juste des chansons magistralement écrites.

Tracks :

1. Evening Star 
2. Master James Of St. George 
3. Victorian Brickwork
4. Last Train
5. Winchester Diver
6. The Underfall Yard

Line-Up :

David Longdon : vocals, flute, mandolin, dulcimer, organ, tambourine, psaltery, glockenspiel, keyboards, vocals arrangements
Greg Spawton : guitars, keyboards, bass, arrangements
Andy Poole : bass, keyboards, arrangements & producer
Nick D'Virgilio : drums, vocals 
Dave Gregory : guitars, electric sitar, Mellotron 
Francis Dunnery : guitar 
Jem Godfrey : synthesizer solos 
Jon Foyle : cello  & electric cello 
Dave Desmond : trombone & brass arrangements 
Nick Stones : french horn 
Jon Truscott : tuba 

Enjoy Music :

2009





Druid - Toward The Sun (1975)



Druid is compared mainly with the sounds of Yes withmainly a bass influenced by Chris Squire. They sound too a few like Starcastle, especially when they harmonize. In reality, with Druid it is the vocals of the singularly named Dane that reaches towards Jon Anderson's vocal rangeand to a lesser extent the bass playing of Neil Brewer which encourage these comparisons.

Druid est comparé principalement aux sons de Yes avec principalement une basse influencée par Chris Squire. Ils sonnent aussi un peu comme Starcastle, surtout au niveau des harmonies vocales. En réalité, avec Druid, c'est le chant du singulier Dane qui atteint le répertoire vocal de Jon Anderson et dans une moindre mesure le jeu de basse de Neil Brewer qui encourage ces comparaisons.

Tracks :

1. Voices (8:14) 
2. Remembering (5:24) 
3. Theme (5:26) 
4. Toward the Sun (5:08) 
5. Red Carpet for an Autumn (3:09) 
6. Dawn of Evening (10:03) 
7. Shangri-La (10:08)

Line-Up : 

Dane : guitars, vocals
Andrew McCrorie-Shand : keyboards, choral arrangements
Neil Brewer : bass
Cedric Sharpley : drums, percussions

Enjoy Music :

1975




Colonel Bagshot - Oh! What A Lovely War (1971)



Colonel Bagshot's Incredible Bucket Band, comprised of Brian Farrell, Terry McCusker, Dave Dover and Kenny Parry. They toured Europe and played gigs like the Reading Festival. A record by the band from that period (Six Day War) was remixed by DJ Shadow.
Brian later went solo and the other guys formed another band called 'Bunny', who went on to support the popular Glam Rock/Pop band, Slade, on their tours.

Incredible Bucket Band du Colonel Bagshot, était composé de Brian Farrell, Terry McCusker, Dave Dover et Kenny Parry. Ils ont fait des tournées en Europe et ont joué des concerts comme le Reading Festival. Un disque du groupe de cette période (Six Day War) a été remixé par DJ Shadow.
Plus tard, Brian a choisi de partir en solo et les autres gars ont formé un autre groupe appelé 'Bunny', qui a continué à soutenir le populaire groupe Glam Rock / Pop, Slade, lors de leurs tournées.

 Tracks :

01. Six Day War 00:00
02. Lay It Down 4:02
03. Lord High Human Being 7:11
04. Headhunters 10:14
05. I've Seen The Light 13:06 
06. Dirty Delilah Blues 17:54
07. Sometimes 22:14
08. That's What I'd Like To Know 24:23
09. Smile 28:25
10. Tightrope Tamer 31:21
11. Oh! What A Lovely War 34:12

Line - Up :

Brian Farrell - Vocals, Guitar, Stylophone
Kenny Parry - Vocals, Guitar, Keyboards
Dave Dover - Vocals, Bass Guitar, Keyboards
Terry McCusker - Vocals, Drums

Enjoy Music :

1971