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Rock Music Blog

mercredi 27 juillet 2016

Armageddon - Armageddon (1975)



Imagine a cavalcade of electric intensity and density crazy. This extraordinary album by a British band of the 70 will have no equivalent or on. This disc is assuredly part of the secret but essential albums, those we still looking. The former Yardbirds, Keith Relf, ​​sings a staggering energy carpet. The trio guitar, bass, drums accompanying lays the foundation for an infinitely innovative heavy metal. At the equal of a great Zeppelin it is the fusion of blues at the highest point. Listen to the many it is one of the companions discs. They are rare.

Imaginez une cavalcade électrique d'une intensité et d'une densité folles. Cet album extraordinaire d'un groupe anglais des années 70 n'aura pas d'équivalent ni de suite. Ce disque fait assurement partie des albums secrets mais indispensables, de ceux que l'on cherche toujours. L'ex Yardbirds, Keith Relf, chante sur un tapis d'énergie stupéfiant. Le trio guitare, basse, batterie qui l'accompagne pose les bases d'un heavy metal infiniment novateur. A l'égal d'un grand Zeppelin il s'agit de la fusion du blues au plus haut point. Ecoutez le beaucoup, il fait partie des disques compagnons. Ils sont rares.

1975

Led Zeppelin (1971)




Is it really necessary to place the eternal and tedious litany is to praise the merits, to explain in Genesis, to dissect the pocket, to worship the genius of Jimmy Page and John Bonham typing? Armies of rock critics, all more experienced and documented as each other, did at length encyclopedia. Yet the Runes Album, the Four Symbols, the Zoso, anything you like, remains a rock monument. A final thing, unsurpassable. A perfect drive from conception to his seed (nearly 25 million copies since its publication). The great matrix that must be a real, large, pure hard rock record, like the Machine Head by Deep Purple or Black Sabbath Paranoid. As much stop there and simply say: Listen. It's just great.

Est-il réellement indispensable de dérouler la sempiternelle et pénible litanie qui consiste à en vanter les mérites, à en expliciter la genèse, à en décortiquer la pochette, à se prosterner devant le génie de Jimmy Page et la frappe de John Bonham ? Des armées de rock-critics, tous plus chevronnés et documentés les uns que les autres, l’ont fait à longueur d’encyclopédie. Pourtant le Runes Album, le Four Symbols, le Zoso, tout ce qu’on voudra, reste un monument du rock. Un truc ultime, indépassable. Un disque parfait, de sa conception à sa postérité (presque 25 millions de copies écoulées depuis sa publication). La matrice géniale de ce que doit être un vrai, un grand, un pur disque de hard rock, tout comme le Machine Head de Deep Purple ou le Paranoid de Black Sabbath . Autant s’arrêter là et simplement dire : Ecoutez. C’est juste grandiose.


Black Dog

Rock And Roll

The Battle Of Evermore

Stairway To Heaven

Misty Mountain Hop

Four Sticks

Going To California

When The Levee Breaks



Anthology

Nick Drake - Five Leaves Left



Extraordinary debut album of one of the geniuses of English folk of the past century, Five Leaves Left, as given in reference to the warning on packs of rolling papers, is a sign of an era (the late sixties ) where the delicate acoustic guitar and Nick Drake nearly took by storm the hearts of beautiful music lovers. It did not happen because the prematurely lost today one of those cult artists whose posthumous success is amply justified. Thus, this first part of his wonderful trilogy, published in 1969, is an incredible odyssey on the tops of colored melancholy and rarely equaled. From 'Day Is Done' to 'Way To Blue', through 'Saturday Sun', the ten songs are untouchable in their beauty to the pristine purity. Sublime.

Extraordinaire premier album de l'un des génies du folk anglais du siècle écoulé, Five Leaves Left, titre donné en référence à l'avertissement sur les paquets de feuilles à rouler, est un des signes d'une époque (la fin des années soixante) où la guitare acoustique et fragile de Nick Drake faillit prendre d'assaut les coeurs des passionnés de belle musique. Il n'en fut rien car le prématurément disparu fait aujourd'hui partie de ces artistes cultes dont le succès posthume est amplement justifié. Ainsi, ce premier volet de sa trilogie merveilleuse, paru en 1969, est une incroyable odyssée sur les sommets d‘une mélancolie colorée et rarement égalée. De 'Day Is Done' à 'Way To Blue', en passant par 'Saturday Sun', les dix morceaux sont intouchables dans leur beauté à la pureté immaculée. Sublime.

From 'Five Leaves Left (1969)

Crosby, Stills, Nash & Young - Déjà Vu (1970)



This is the first album of Crosby, Stills, Nash & Young (and the second album of Crosby, Stills, Nash & Young, as the base, it is a trio), it was released in 1970 and was double platinum right out on the same day, incredible thing as that sounds. This disc is called Déjà-Vu and came out in a sublime pocket a little typical 'retro', a sepia photograph of the quartet aged surrounded by their two musicians, Dallas Taylor (drums, the last right) and Greg Reeves ( bass, Black beside Graham Nash). Otherwise, left to right, it's Neil Young (guitar, vocals, compositions), Stephen Stills (guitar, keyboards, bass, vocals, compositions), Graham Nash (vocals, compositions) and David Crosby (guitar, vocals, compositions ). Among the different albums of CSN & Y, Déjà Vu is one that reaches perfection. In addition it reflects the friendly dream of Woodstock Nation, it demonstrates the tremendous creative power of the four musicians will not detract from the personality to each. Whether 'Woodstock', 'Teach Your Children', 'Almost Cut My Hair' or 'Helpless', the pieces are acoustic or electric, Déjà Vu, magnified by the vocal harmonies that give substance to what is the Californian myth, sounds like one of the most shining examples of humanism against-cultural. A timeless masterpiece that has influenced and continues to influence countless composers worldwide!

C'est le premier album de Crosby, Stills, Nash & Young (et le second album de Crosby, Stills & Nash, car à la base, c'est un trio), il est sorti en 1970, et fut double disque de platine dès sa sortie, le jour même, chose aussi incroyable que ça puisse paraître. Ce disque s'appelle Déjà-Vu et est sorti sous une sublime pochette un peu typée 'rétro', une photo sépia vieillie du quatuor entouré de leurs deux musiciens de studio, Dallas Taylor (batterie, le dernier à droite) et Greg Reeves (basse, le Black à côté de Graham Nash). Sinon, de gauche à droite, c'est Neil Young (guitare, chant, compositions), Stephen Stills (guitare, claviers, basse, chant, compositions), Graham Nash (chant, compositions) et David Crosby (guitare, chant, compositions). Parmi les différents albums de CSN&Y, Déjà Vu est celui qui atteint la perfection. Outre qu'il reflète le rêve convivial de la Woodstock Nation, il témoigne de la formidable puissance créatrice des quatre musiciens qui n'entame en rien la personnalité propre à chacun. Que ce soit 'Woodstock', 'Teach Your Children', 'Almost Cut My Hair' ou 'Helpless', que les morceaux soient acoustiques ou électriques, Déjà Vu, magnifié par des harmonies vocales qui donnent de la substance à ce que représente le mythe californien, sonne comme l'un des plus lumineux témoignages de l'humanisme contre-culturel. Un chef-d'oeuvre indémodable qui a influencé et continue d'influencer un nombre incalculable de compositeurs à travers le monde!

Tracks :

Side one

1.   Carry On (Stills) – 4:25
2.   Teach Your Children (Nash) – 2:53
3.   Almost Cut My Hair (Crosby) – 4:25
4.   Helpless (Young) – 3:30
5.   Woodstock (Joni Mitchell) – 3:52

Side 2

1.   Déjà Vu (Crosby) – 4:10
2.   Our House (Nash) – 2:59
3.   4 + 20 (Stills) – 1:55
4.   Country Girl (Young) – 5:05
Whiskey Boot Hill
Down, Down, Down
Country Girl (I Think You're Pretty)
5.   Everybody I Love You (Stills, Young) – 2:20

Line-up :

David Crosby - guitar, vocals
Stephen Stills - guitar, bass, keyboards, vocals
Graham Nash - guitar, keyboards, vocals
Neil Young - guitar, harmonica, piano, vocals
Jerry Garcia - steel guitar, slide guitar
Greg Reeves - bass, percussion
John Sebastian - harmonica
Dallas Taylor - drums

Enjoy :

1970