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Rock Music Blog

lundi 29 août 2016

Truth And Janey - No Rest For The Wicked (1976)



This is a reissue that is a miracle, or how an album, initially pressed only 1000 copies, with the sole claim to satisfy fans of the region, became a "cult" and sought after by passionate collectors, and praised by the specialist press (US). To the point of being a third CD reissue. The cover says it all: Gibson Firebird, cymbal and drum sticks, and especially in the foreground, a hand coming out of a grave tended towards a Marshall Super Lead-double body, as if it were the Holy Grail, a source of life and rebirth, salvation. This is of pure Hard-rock and hard, uncompromising, nor frills, even if we find some slight psychedelic touches to 'regroup'. Already, the group name is a direct homage to the first album of Jeff Beck, Truth, though the guitar playing evokes more Leslie West, or Ted Nugent Amboy Dukes time, or core Jim McCarthy. Janey is the name of the guitarist, singer, composer of the group. composer and singer of the roles are shared with bassist. No Rest For The Wicked is the result of a power-trio, playing with passion, for the pleasure of the stage, regardless of real musical career, much influenced by the hallucinated and transfigured Blues Cream, Jeff Beck Group, Hendrix, as a hard-blues declined by groups such as Mountain, Cactus, Three Man Army or Granicus. Nevertheless, named American groups appear to have had a larger, definitive impact in the structure of the songs, as well as the sound. Well as recorded by 76's music Truth and Janey is clearly rooted in the first part of the 70's and late 60's.

Voilà une réédition qui tient du miracle, où comment un album, pressé initialement à seulement 1000 exemplaires, avec comme unique prétention de satisfaire les fans de la région, devint « culte », et recherché par des collectionneurs passionnés, et encensé par la presse spécialisée (américaine). Au point de faire l'objet d'une troisième réédition en CD. La pochette annonce la couleur : Gibson Firebird, cymbale et baguettes de batterie, et surtout, au premier plan, une main sortant d'une tombe tendu vers un Marshall Super-Lead double-corps, comme si c'était le Graal, une source de vie ou de renaissance, de salut. Il s'agit bien de Hard-rock pur et dur, sans concession, ni fioritures, même si l'on retrouve quelques légères touches psychédéliques sur 'Remembrer'. Déjà, le nom du groupe est un hommage directe au 1er album de Jeff Beck, Truth, bien que le jeu de guitare évoque plus Leslie West, ou Ted Nugent époque Amboy Dukes, ou en core Jim McCarthy. Le Janey est le nom du guitariste, chanteur, compositeur du groupe. Les rôles de compositeur et de chanteur sont partagés avec le bassiste. No Rest For The Wicked est donc le résultat d'un power-trio, jouant par passion, pour le plaisir de la scène, sans se soucier d'une réelle carrière musicale, autant influencé par le Blues halluciné et transfiguré de Cream, Jeff Beck Group , Hendrix, que par un hard-blues décliné par des groupes tels que Mountain, Cactus, Three Man Army ou Granicus. Néanmoins, les groupes américains nommés semblent avoir eu un impact plus important et définitif dans la structure des chansons, ainsi que pour le son. Bien qu'enregistrée en 76, la musique de Truth and Janey est nettement ancrée dans la 1ère partie des 70's et la fin des 60's.

1976

The Doobie Brothers - Toulouse Street (1972)



With a lot of reprises ( 'Jesus Is Just Alright ',' Cotton Mouth ',' Don't Start Me To Talkie ''), Toulouse Street is a record as good as the first album. The entry into the group of Tiran Porter Doobies transforms into a multi-ethnic group, as The Equals, The Specials or Love. The previous album contained classic small but no real tube. Toulouse Street, he starts right away by one of the biggest hits of the group, I named the grand 'Listen To The Music', a hymn. The rest of the album is typically the same barrel 'Mamaloi' (Simmons) 'Toulouse Street' (Johnston, holding the bar high on this disc), the final short 'Snake Man, Submissive' to bring ( by title, especially) 'the Master' from the previous album, or even 'Rockin' Down the Highway '. The album, like the majority of Doobies discs, rather short (36 minutes), and leaves no feeling of weariness, disappointment.

Avec son lot de reprises ('Jesus Is Just Alright', 'Cotton Mouth', 'Don't Start Me To Talkie''), Toulouse Street est un disque aussi efficace que le premier album du groupe. L'entrée dans le groupe de Tiran Porter transforme les Doobies en un groupe multi-ethnique, comme The Equals, The Specials ou Love. L'album précédent contenait des petits classiques, mais aucun vrai tube. Toulouse Street, lui, démarre d'emblée par un des plus gros tubes du groupe, j'ai nommé le grandiose 'Listen To The Music', un hymne. Le reste de l'album est typiquement du même tonneau : 'Mamaloi' (de Simmons), 'Toulouse Street' (de Johnston, qui tient la barre haute sur ce disque), le final court 'Snake Man, Disciple' à rapprocher (de par son titre, surtout) de 'The Master' de l'album précédent, ou bien encore 'Rockin' Down The Highway'. L'album est, comme la majorité des disques des Doobies, assez court (36 minutes environ), et ne laisse aucun sentiment de lassitude, de déception.

1972

Skid Row - Skid Row (1989)



1989. A band of furious raged guys out from nowhere swung this  supercharged bomb at the beginning of the year. Launched by some Bon Jovi, Skid Row are more vindictive as their mentor. From the first track, 'Big Guns', it sends it right. We filled our ears. The singing of the young Sebastian Bach is powerful, the vocals on the chorus are enormous. Huge, it is also the word that comes to mind regarding his (Michael Wagener behind the console). No time to breathe as a tumbling the 'Sweet little sister monstrous. We feel that the influences are found on the side of heavy bands that glam bands. Then come the tubes '18 and Life 'and' I Remember You ', two powerful and melodic power-ballads and anthem' Youth Gone Wild '. From heavy 'Piece of Me' to speedy 'Makin a Mess', not a weakling piece.

1989. Une bande de furieux déchaînés sortis de nulle part nous balançait cette bombe survitaminée dès le début de l'année. Lancés par un certain Bon Jovi, les Skid Row sont bien plus vindicatifs que leur mentor. Dès le premier morceau, 'Big Guns', ça envoie comme il faut. On en prend plein les écoutilles. Le chant du tout jeune Sebastian Bach est puissant, les choeurs sur le refrain sont énormes. Enorme, c'est aussi le mot qui vient à l'esprit en ce qui concerne le son (Michael Wagener derrière la console). Pas le temps de respirer que déboule un 'Sweet little sister' monstrueux. On sent que les influences sont plus à chercher du côté des groupes de heavy que des groupes de glam. Puis arrivent les tubes '18 and Life' et 'I Remember You', deux power-ballades puissantes et mélodiques et l'hymne 'Youth Gone Wild'. Du heavy 'Piece of Me' au speedé 'Makin a Mess', pas un morceau faiblard.

1989

Kingdom Come - Bad Image (1993)



The Kingdom Come Lenny Wolf had proposed with his first two albums a bluesy hard rock with strong accents of Led Zeppelin, very interesting but were shunned by the public. Is that the main reason that has led the musicians of the time to throw in the towel? The question remains. Still there after the flop of Hands of Time, Wolf reconstructs a band and publishes a new album entitled Bad Image. So ended the intonations to Robert Plant who seduces fans of the genre. Tempos mediums, though still heavy, the guitars are still largely given way to ultra present keyboards, giving the whole a color and tone very focused on FM rock atmosphere.

Le Kingdom Come de Lenny Wolf avait proposé avec ses deux premiers albums  un hard rock bluesy aux forts accents de Led Zeppelin, très intéressants mais qui furent boudés par le public. Est-ce là la principale raison qui aura conduit les musiciens de l'époque à jeter l'éponge ? La question reste posée.
Toujours est-t-il qu'après le flop de Hands Of Time, Wolf reconstitue un groupe et publie un nouveau disque intitulé Bad Image. Fini donc les intonations à la Robert Plant qui avaient séduit les amateurs du genre. Tempos médiums, quoique toujours heavy, les guitares ont quand même largement cédé leur place à des claviers ultra présents, donnant à l'ensemble une couleur et une tonalité axées sur une ambiance très rock FM.

1993

Talisman - Genesis (1993)



This second album from swedish hard rockers Talisman is a success musically. Those who know the great vocal abilities of Jeff Scott Soto will not be disappointed with Genesis because it confirms all the good we think of him. When the guitarist Fredrik Åkesson, it is not necessarily known to everyone, but his solos are staggering dexterity and clarity. However, the musician who deserves the prize is unquestionably Marcel Jacob who handled bass parts, drums, rhythm guitar and even the production of the album.

Ce deuxième album des hard rockers suédois Talisman est une belle réussite sur le plan musical. Ceux qui connaissent les grandes capacités vocales de Jeff Scott Soto ne seront pas déçus par Genesis car il y confirme tout le bien qu'on pense de lui. Quand au guitariste Fredrik Akesson, il n'est pas forcément connu de tout le monde, mais ses solos sont ahurissants de dextérité et de limpidité. Toutefois, le musicien qui mérite la palme est incontestablement Marcel Jacob qui s'est occupé des parties de basse, de batterie, de guitare rythmique et même de la production de l'album.

1993

Happy The Man - Crafty Hands (1978)



Happy The Man is an American progressive rock band. Crafty Hands is their second album. From the first track, there are the ingredients of musical recipe of the group with a melodic progressive rock with a lot of research. Felted to follow along with, among others, acoustic guitar framed here by the organ. We'll stay quiet for a third movement which we perceive hints of the great Genesis. Back thereafter technical, with a composition of Whitaker combining progressive, jazz and fusion. Genesis of the ghost comes back in 'Wind Up Doll Day Wind', sung alone title, where you can enjoy the hushed voice of Stanley Whitaker, reminding us of a certain Gabriel. atmospheric mood to follow with the appearance of the flute, and, thanks to Frank Wyatt. The last two compositions signed Watkins, bring one hand, a jazz-rock hopping key and, secondly, a moment of calm with a beautiful melodic ballad.

Happy The Man est un groupe de rock progressif américain. Crafty Hands est leur second album.
Dès le premier titre, on retrouve les ingrédients de la recette musicale du groupe avec un rock-progressif mélodique présentant beaucoup de recherches. Ambiance feutrée pour suivre avec, entre autres, de la guitare acoustique encadrée ici par les orgues. On restera au calme pour un troisième mouvement où l'on percevra des relents du grand Genesis. Retour au technique par la suite, avec une composition de Whitaker alliant progressif, jazz et fusion. Le fantôme de Genesis revient encore dans 'Wind Up Doll Day Wind', seul titre chanté, où l'on pourra apprécier la voix feutrée de Stanley Whitaker, nous rappelant un certain Gabriel. Ambiance atmosphérique pour suivre avec l'apparition de la flûte, et ce, grâce à Frank Wyatt. Les deux dernières compositions, signées Watkins, apporteront d'une part une touche de jazz-rock sautillant et, d'autre part, un moment d'apaisement avec une belle ballade mélodique.

1978

Anthony Phillips - The Geese and The Ghost (1977)



First Genesis guitarist record solo, The Geese & The Ghost is a must progressive folk. The Anthony Phillips album is in all respects a reflection of his wallet: bucolic, country setting, medieval (all this inevitably recall the Genesis Trespass), but also soft and relaxing and very folk. Classical guitars, acoustic 6 & 12 string are honored and found what was partly the magic of Trespass seven years earlier, namely duets with Mike Rutherford. Difficult to know who does what, especially since it is often a multitude of rubbed stringed instruments, which makes the richness of the whole. So in addition, when it is mixed with other strings, classical this time, or even with woods (John flute, oboe Rob, brother of Anthony) as the long series 'The Geese and the Ghost', the result is simply the most wonderful.

Premier enregistrement solo d'Anthony Phillips, guitariste de Genesis, The Geese & The Ghost est un must du folk progressif. L'album est en tous points le reflet de sa pochette : bucolique, champêtre, moyenâgeux (tout ceci rappellera forcément le Genesis de Trespass), mais aussi doux et reposant et surtout très folk. Les guitares classiques, acoustiques 6 & 12 cordes sont à l'honneur et l'on retrouve ce qui faisait en partie la magie de Trespass sept ans plus tôt, à savoir les duos avec Mike Rutherford. Difficile de savoir qui fait quoi, d'autant plus qu'il y a souvent une multitude d'instruments à cordes frottés, ce qui fait la richesse de l'ensemble. Alors en plus, quand cela est mélangé à d'autres cordes, classiques cette fois, ou même avec des bois (la flûte de John, le hautbois de Rob, frère d'Anthony) comme sur la longue suite 'The Geese and the Ghost', le résultat est tout simplement des plus merveilleux.

Tracks :

CD - 1

01 - Wind - Tales 00:01
02 - Which Way The Wind Blows 01:04
03 - Henry; Portraits From Tudor Times 06:56
I - Fanfare
II - Lutes' Chorus
III - Misty Battlements
IV - Henry Goes to War
V - Death of a Knight
VI - Triumphant Return
04 - God if I Saw Her Now 20:59
05 - Chinese Mushroom Cloud 25:14
06 - The Geese and the Ghost26:00
Part I°
Part II°
07 - Collections41:51
08 - Sleepfall: The Geese Hy West 44:59

CD - 2

01 - Master of Time ( Demo ) 52:36
02 - Title Inspiration 
03 - The Geese and the Ghost - Part one ( basic track ) 
04 - Collection Link 
05 - Which Way the Wind Blows 
06 - Silver Song ( basic track ) 
07 - Henry: Portraits From Tudor Times ( basic track ) 
I - Fanfare , II - Lute's Chorus , III - Lute's Chorus Reprise , IV - Misty Battlements
08 - Collections ( demo ) 
09 - The Geese & The Ghost - Part Two ( basic track ) 
10 - God If I Saw Her Now ( basic track )  
11 - Sleepfall ( basic track ) 
12 - Silver Song ( Unreleased single version, 1973 ) 

Line-Up :

Anthony Phillips: acoustic 12-string, 6-string, classical guitar, electric6 and 12-string guitars, basses, dulcimer guitar, bazouki,synthesizers, mellotron, harmonium, piano, organ, celeste, pin piano,drums, glockenspeil, timbales, bells and chimes, gong, vocal on"Collections"
Phil Collins: vocals on "Which Way The Wind Blows" and "God If I Saw HerNow"
John Hackett: flutes on "God If I Saw Her Now", "Collections" and "Sleepfall : The Geese Fly West"
Nick Hayley : violins on "The Geese And The Ghost"
Jack Lancaster : flutes and lyricon on "Sleepfall : The Geese Fly West"
Charlie Martin: cello on "Chinese Mushroom Cloud" and "The Geese And TheGhost"
Viv McCauliffe: vocals on "God If I Saw Her Now"
Lazo Mumolovich: oboes and cor anglais on "Henry - Portraits From TudorTimes" and "The Geese And The Ghost"
Tom Newman: hecklephone and bulk eraser on track 9
Rob Phillips: oboes on "The Geese And The Ghost" and "Sleepfall : The GeeseFly West"
Michael Rutherford: acoustic 12-string, 6-string, classical guitars, electric 6 and 12-string guitars, basses, organ, drums, timbales, glockenspeil, cymbals, bells
Wil Sleath: flute, baroque flute, recorders and piccolo on "Henry -Portraits From Tudor Times"
Kirk Trevor: cello on "Chinese Mushroom Cloud" and "The Geese And TheGhost"
Martin Westlake : timpani on "Henry - Portraits From Tudor Times", "ChineseMushroom Cloud" and "The Geese And The Ghost"
Send Barns Orchestra and Barge Rabble conducted by Jeremy Gilbert. Ralph
Bernascone : soloist.

1977

Fantasy - Paint A Picture (1973)



Paint A Picture is a prototypical example of progressive rock that seems to be also influenced by The Beatles and The Moody Blues by King Crimson. Thus, Fantasy can be compared to bands like Spring, Gracions or Cressida (if you're familiar with these groups). The sound is usually quite mild, but much like the beautiful album cover (which includes a combination of images representing each song) it is painted with a varied and colorful palette. In other words, while most of the tempos are relaxed and there is not that many tempo changes, there are many instrumentation and acoustic guitars, electric guitars, organ, mellotron, bass and battery combine to form the main melody. The exception to this rule is the 'Circus' long seven minutes. The singer of Fantasy, Paul Lawrence, has a wonderfully clear voice that is somewhat similar to David Bowie, but with a more sustained tone.

Paint A Picture de Fantasy est un exemple de rock progressif prototypique qui semble être aussi influencé par les Beatles et les Moody Blues que par King Crimson. Ainsi, Fantasy peut être comparé  à des groupes comme Spring, Gracions ou Cressida (si vous êtes familier avec ces groupes). Le son est généralement assez doux, mais un peu comme la belle couverture de l'album (qui comprend une combinaison d'images qui représentent chaque chanson) il est peint avec une palette variée et colorée. En d'autres termes, alors que la plupart des tempos sont détendus et qu'il n'y a pas que de nombreux changements de tempo, il y a beaucoup d'instrumentation et guitares acoustiques, guitares électriques, orgue, mellotron, basse et batterie se combinent pour former la mélodie principale. L'exception à cette règle est le titre 'Circus' long de sept minutes. Le chanteur de Fantasy, Paul Lawrence, a une voix merveilleusement claire qui est légèrement similaire à celle de David Bowie, mais avec un ton plus soutenu.

1973

Fuchsia - Fuchsia (1971)



The English band Fuchsia managed by a superb progressive rock album full of melodies and emotions. They managed to perfectly tune the prog folk style with two violins, which is not necessarily obvious. This album is mixed with sweetness, lightness and gravity both (probably given by the two violins). The guitar is placed in the background facing the violins in some tracks, which is unusual since the arrival of rock. During Tony's voice is perfectly suited to create the prog rock atmosphere prerogative of Peter Gabriel and other Jon Anderson.

Le groupe Anglais Fuchsia a réussi ici un superbe album de rock progressif plein de mélodies et d’émotions. Ils ont parfaitement réussi à accorder le style folk prog avec les deux violons, ce qui n’est pas forcement une évidence. Cet album est mêlé de douceur, de légèreté et de gravité à la fois (sans doute donné par les deux violons). La guitare est placée au second plan face aux violons dans certaines pistes, ce qui est peu courant depuis l’arrivée du rock. La voix de Tony Durant est parfaitement adaptée pour créer l'ambiance prog rock, apanage des Peter Gabriel et autres Jon Anderson.

Tracks : 

1. Gone With The Mouse 
2. A Tiny Book 
3. Another Nail 
4. Shoes And Ships 
5. The Nothing Song 
6. Me And My Kite 
7. Just Anyone 

Line-Up :

Tony Durant - acoustic & electric guitars, vocals
Michael Day - bass
Michael Gregory - drums, percussion
Janet Rogers - violin, backing vocals
Madeleine Bland - cello, piano, harmonium, backing vocals
Vanessa Hall-Smith - violin, backing vocals

1971

Shadowfax - Watercourse Way (1976)



Shadowfax is a band from Chicago, Illinois. The founding members are Chuck Greenberg and Charlie Bisharat. Their album Watercourse Way is a fantastic mix of progressive and harmonies of jazz-rock, very different from the work of the group to come closer to new age sounds ...

Shadowfax est un groupe originaire de Chicago, Illinois. Les membres fondateurs sont Chuck Greenberg et Charlie Bisharat. Leur album Watercourse Way est un mélange fantastique d'harmonies progressistes et de jazz-rock, très différent de l'œuvre du groupe à venir plus proche des sons new age...

1976

Johnny Crash - Neighbourhood Threat (1990)



The group consists of Graffiti This album is pure sleaze Californian rock. Rasping blues tinged with the AC / DC, the gang carried by the British singer James Vicky Wright, exiled to LA, we deliver 11 titles rock n 'roll timeless. The first title is 'Hey Kid', their only single, whose video will be aired on MTV. This title tells the setbacks of a young man who lives in the street and only relies on itself to get by. There followed a series of very catchy songs, mostly well-paced ( "No Bones About It ',' Axe to The Wax ',' Sink Or Swim '). One feels the blues influences among others in the intro to 'Crack Of Dawn' excellent piece in the tradition of the best Aerosmith. The last title, funny Baby's Like A Piano ', compares the girlfriend of singer at a grand piano. I leave it to the English specialists care to note the subtle pun ....

Cet album est du pur sleaze rock californien. Teinté de blues râpeux à la AC/DC, ce gang porté par le chanteur britannique Vicky James Wright, exilé à LA, nous délivre 11 titres rock n’ roll indémodables. Le premier titre est 'Hey Kid', leur seul single, dont la vidéo sera diffusée sur MTV. Ce titre raconte les déboires d’un jeune homme qui vit dans la rue et qui ne compte que sur lui-même pour s’en sortir. S’ensuivent une série de morceaux très accrocheurs, la plupart du temps bien rythmés ('No Bones About It', 'Axe to The Wax', 'Sink Or Swim'). On ressent les influences blues entres autres dans l’intro de 'Crack Of Dawn', excellent morceau dans la lignée des meilleurs Aerosmith. Le dernier titre, le rigolo 'Baby’s Like A Piano', compare la petite amie du chanteur à un piano à queue. Je laisse aux anglicistes le soin de relever le subtil jeu de mot.... 

1990

Graffiti - Graffiti (1968)



Graffiti band consists of George Stuntz (guitar), Jon St. John (guitar), Steve Benderoth (bass-keyboards), Richie Blakan (drums-percussion) and Tony Taylor (vocals). Their avant-garde music that borrows from progressive rock to psych rock seems as contemporary as it is rich in elements that have changed these styles throughout the 70s. All the songs of this album, unpredictable but definitely not dated, will delight audiophiles warned in search of forgotten treasures.

Le groupe Graffiti est composé de George Stuntz (guitares), Jon St.John (guitare), Steve Benderoth (basse-claviers), Richie Blakan (batterie-percussions), et Tony Taylor (chant).
Leur musique avant-gardiste qui emprunte au rock progressif comme au psych rock semble contemporaine tant elle est riche d'éléments qui ont fait évoluer ces styles tout au long des années 70.
Tous les titres de cet album, imprévisible mais absolument pas daté, 
vont réjouir les audiophiles avertis en quête de trésors oubliés.

1968


Young Gun Silver Fox - West End Coast (2015)



Young Gun Silver Fox is nothing other than the new collaboration between Andy Platts and Shawn Lee. They forge this enchanting album 10 songs in a modern pop vibe swirling and pay tribute to Los Angeles 1970 West Coast music fans ... do not hesitate because this album is a bomb. All lovers of Michael McDonald, Steely Dan, The Eagles, Fleetwood Mac, Doobie Brothers ... this album is for you. This is California honey!

Young Gun Silver Fox n'est rien d'autre que la nouvelle collaboration entre Andy Platts et Shawn Lee. Ils forgent sur cet album 10 titres enchanteurs, dans une vibe pop moderne virevoltante et rendent hommage au Los Angeles des années 1970. Fans de musique West Coast ... n'hésitez pas car cet album est une bombe. Tous les amoureux de Michael McDonald, Steely Dan, The Eagles, Fleetwood Mac, Doobie Brothers ... cet album est pour vous. C'est du miel de Californie !

2015

Sara Watkins - Young In All The Wrong Ways (2016)




Sara Watkins debuted in 1989 as a violinist in the band Nickel Creek with his brother Sean. After five successful albums recorded with Nickel Creek, Watkins then pursued a solo career and released his first album, Sara Watkins, produced by John Paul Jones in April 2009. His second solo album was released in May 2012, this time with the participation Fiona Apple and Jackson Browne. It delivers here his most successful album, full of delicate and subtle compositions, complex but discrete arrangements, where the instrumentation is very precisely controlled in order to enhance the voice of Sara, sometimes rock, sometimes bluesy, always warm and cuddly , an unstoppable seduction ...

Sara Watkins a fait ses débuts en 1989 comme violoniste dans le groupe Nickel Creek en compagnie de son frère Sean. Après cinq albums à succès enregistrés avec Nickel Creek, Watkins poursuit ensuite une carrière en solo et sort un premier album, intitulé Sara Watkins, produit par John Paul Jones en avril 2009. Son deuxième album solo sort en mai 2012, avec cette fois la participation de Fiona Apple et Jackson Browne. Elle délivre ici son opus le plus abouti, riche de compositions délicates et subtiles, aux arrangements complexes mais discrets, où l'instrumentation est très justement maîtrisée pour pouvoir mettre en valeur la voix de Sara, parfois rock, parfois bluesy, toujours chaude et câline, d'une séduction imparable...

2016


The Flower Kings - Desolation Rose (2013)



A beautiful album of Swedish prog rock, as subtle as melodic. First, music, melodic, sophisticated and often epic, has a narrative value and refers implicitly that of conventional groups (Genesis, Gentle Giant, Camel and especially Yes) but never the copy: the Flower Kings were able to cultivate a own style with enough character to be immediately recognizable while remaining accessible. Then members of the group have gained exceptional virtuosity and always original compositions are enhanced by subtle appropriate arrangements and solos. The fleshy and voluble bass Jonas Reingold rich textures; colorist extraordinaire, German Felix Lehrmann is the best drummer the band has ever had; Hasse Fröberg to second guitar also provides strong support for the vocal harmonies; Tomas Bodin and mixes with happiness the acoustic piano and keyboards vintage synths like the Hammond B3 organ, Fender Rhodes and the Minimoog. As for Stolt queen, his guitar solos are precise and singing while her unique voice is now part of the heritage prog as well as those of Peter Gabriel, David Gilmour or Jon Anderson. For the rest, the music raises a range of emotions, resulting melancholy, mystery, anguish or rebellion based on episodes of a theme that is not far from a socio-political statement on the humanity and the state of our planet to which we can only agree. All this means well in Tower One, the first song in the folder in which an enigmatic creature nestled atop a tower observes the ridiculous and desperate action of a humanity in search of Eden while the music explodes a majestic soundtrack.

Un magnifique album de prog rock suédois, aussi subtil que mélodique. D'abord, la musique, mélodique, sophistiquée et souvent épique, a une valeur narrative et évoque en filigrane celle des groupes classiques (Genesis, Gentle Giant, Camel et surtout Yes) mais sans jamais la copier : les Flower Kings ont su cultiver un style propre avec assez de caractère pour être immédiatement reconnaissable tout en restant accessible. Ensuite, les membres du groupe ont acquis une virtuosité exceptionnelle et les compositions toujours originales sont mises en valeur par de subtils arrangements et des solos appropriés. La basse charnue et volubile de Jonas Reingold enrichit les textures; coloriste hors-pair, l'allemand Felix Lehrmann est le meilleur batteur que le groupe ait jamais eu; Hasse Fröberg à la seconde guitare apporte également un soutien sans faille aux harmonies vocales; et Tomas Bodin mêle avec bonheur au piano acoustique et aux synthés des claviers vintage comme l'orgue Hammond B3, le Fender Rhodes et le Minimoog. Quant à Royne Stolt, ses solos de guitare sont précis et chantants tandis que sa voix unique fait désormais partie du patrimoine prog au même titre que celles de Peter Gabriel, David Gilmour ou Jon Anderson. Pour le reste, la musique fait naître une palette d'émotions, engendrant la mélancolie, le mystère, l'angoisse ou la révolte en fonction des épisodes d'un thème qui n'est pas loin d'être un constat sociopolitique sur l'humanité et l'état de notre planète auquel on ne peut qu'adhérer. Tout cela s'entend fort bien dans Tower One, le premier morceau du répertoire, dans lequel une créature énigmatique nichée au sommet d'une tour observe les actions dérisoires et désespérées d'une humanité en quête d'Eden tandis que la musique explose en une bande sonore majestueuse.


2013


Love - Forever Changes (1967)



A classic that is not become 20 or 30 years after its release. Now a cornerstone of the Californian pop psychedelic sixties. Here is a mix of psychedelia, free of compositions, baroque pop, lyrical flights, outbreaks of incisive guitars that hoisted atop this album. Nothing tired incomparable melodic accuracy, a model for groups of generations thereafter.

Un classique qui ne l'est devenu que 20 ou 30 ans après sa sortie. Désormais pierre d'angle du psychédélisme pop californien des sixties. Ici, c'est un mélange de psychédélisme, de compositions free, de pop baroque, d'envolées lyriques, de poussées de guitares incisives qui hissent cet album au sommet. Rien de fatigué, une justesse mélodique incomparable, un modèle pour des générations de groupes par la suite.

1967