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Rock Music Blog

mercredi 26 octobre 2016

Zior - Zior (1971)



Zior, hailing from England's Southend, was formed in the late '60s by a quartet of local R&B scene veterans. Zior did have a reputation as a wild live band. They were heavily into Black Magic and Satanic Mass etc. Legend has it that unlike the more coy Black Sabbath, Zior were serious practitioners of the voodoo, for all the good it did their career. The band never did break through, and this, their 1971 self-titled debut, remains their sole recording.

Zior, groupe originaire du Sud de l'Angleterre, a été formé dans les fin des années 60 par un quatuor de vétérans de la scène R&B locale. Zior avait une réputation de groupe live sauvage. Ils étaient lourdement engagés dans la magie noire et autres messes sataniques. La légende veut que, contrairement au bien plus effarouché Black Sabbath, Zior étaient des pratiquants sérieux du vaudou, pour tout le bien qu'il a apporté à leur carrière. Le groupe n'a malgré tout jamais vraiment percé, et du coup, leur album éponyme de 1971 reste leur seul enregistrement.

1971

Trapeze - Medusa (1970)



Not only is Medusa the finest offering from '70s outfit Trapeze, it is one of the decade's most underappreciated hard rock recordings. With a lineup that consisted of future Deep Purple, Judas Priest, and Black Sabbath members, there seems to be proof that at least a few fellow musicians appreciated this 1971 offering. Fans of his later work might be surprised by Glenn Hughes' soulful vocal delivery, especially on the midtempo blues-rockers like 'Black Cloud' and 'Your Love Is Alright'.

Non seulement Medusa est la plus belle offrande de Trapeze dans les 70's, il est aussi l'un des enregistrements de hard rock les plus sous-estimés de la décennie. Avec un line-up composé des futurs membres de Deep Purple, Judas Priest et Black Sabbath, il semble être la preuve qu'au moins quelques musiciens l'ont apprécié. Les fans de son travail plus tard, pourraient bien être surpris par la prestation vocale très soul de Glenn Hughes, en particulier sur les blues-rock mid tempo comme 'Black Cloud' et 'Your Love Is Ok'.

1970

Warpig - Warpig (1970)



Warpig is a Canadian rock band that gained a fan following in the Ontario club circuit in the 1970s and performed shows with such acts as Wishbone Ash, Savoy Brown, Manfred Mann, Quicksilver Messenger Service, and Mahogany Rush. Blabbermouth.net has referred to the band’s lone studio album as 'an early masterwork of psychedelic proto-metal'.

Warpig est un groupe de rock canadien qui a tourné comme un avion dans le circuit des clubs de l'Ontario dans les années 1970 et a partage la scène avec des pointures telles que Wishbone Ash, Savoy Brown, Manfred Mann, Quicksilver Messenger Service et Mahogany Rush. L'album studio solitaire du groupe est désormais perçu comme un chef-d'oeuvre précoce de proto-métal psychédélique.

1970

Paladin - Charge (1972)



Having failed to ignite the public with their eponymous debut, a set brimming with joie de vivre and creative crossovers, Paladin decided the only way to break into the mainstream was to assault it. And this they set about doing with their sophomore set, 1972's Charge. Far heavier than their previous set, the quintet seemed determined to beat listeners into submission. That's evident from the get go, as they bash their way through the opening track 'Give Me Your Hand', a rhythm-heavy number fueled by fiery guitar solos, strident vocals, and a hard rocking sound. The only reminder of their previous musical predilections is the Latin percussion that bubbles up halfway through the piece. But then this is much more a hard rock album, with Derek Foley's guitar now given far more prominence while the vocals stray into Robert Plant territory, and the organ is invariably set towards psychedelia.

Ayant échoué à enflammer le public avec leur premier album éponyme, un ensemble débordant de joie de vivre et de traversées créatives, Paladin a décidé que le seul moyen de percer dans le grand public était de monter à la charge Et c'est à cette fin qu'ils s'attelèrent à leur deuxième opus de 1972, Charge. Avec un son bien plus lourd que pour leur jeu précédent, le quintet semblait déterminé à contraindre les auditeurs dans la soumission. C'est évident dès le départ, car ils débroussaillent leur chemin à travers le morceau d'ouverture "Give Me Your Hand," un numéro de rythme lourd alimenté par des solos enflammés de guitare, des voix stridentes, et un son très hard rock. Le seul rappel de leurs prédilections musicales précédentes est le rythme latin des percussions qui bouillonne sur la moitié du parcours. C'est donc un album de hard rock, avec la guitare de Derek Foley maintenant beaucoup plus en avant tandis que les voix trainent sur le territoire de Robert Plant et que l'orgue demeure invariablement fixée dans le psychédélisme.

1972

Freedom's Children - Galactic Vibes (1972)



This is the third album by South Africa's Freedom's Children, originally released on the Parlophone label. The group is Freedom's and the vibes are galactic. This is a many-layered album, almost to the point of being cluttered, but this is what makes it interesting. Each time you listen you can hear something new, be it a tone in Brian Davidson's wailing vocals, a riff from Julian Laxton's screaming guitar, a sequence of notes from Barry Irwin's booming bass, the change from sticks to hands on Colin Pratley's awesome drumming, or merely putting your ear right up against the speaker to feel the presence of Ramsay MacKay on the live version of "The Homecoming." 

Ceci est le troisième album par Freedom's Children d'Afrique du Sud, à l'origine sorti sur le label Parlophone. Ils sont les enfants de la liberté et leurs vibrations sont galactiques. Ceci est un album aux multiples couches, presque au point d'en être encombré, mais c'est ce qui le rend intéressant. Chaque fois que vous l'écouterez vous pourrez entendre quelque chose de nouveau, que ce soit un ton dans la voix de Brian Davidson, un riff de guitare hurlant de Julian Laxton, une ligne de basse de Barry Irwin, le changement des bâtons pour les mains sur les tambours impressionnants de Colin Pratley, ou simplement mettre votre oreille droite contre le haut-parleur pour sentir la présence de Ramsay MacKay sur la version live de «The Homecoming».

1972



Eloy - Floating (1974)



With Floating, Eloy hit their first artistic peak. The German group's brand of hard rock meets prog rock gelled beautifully for this set of five songs. The structural shortcomings of the longest track from the previous album are now things of the past: 'The Light From Deep Darkness' is a 15-minute roller coaster. The opening title track gets very close to early Santana, thanks to a spirited drum track and Manfred Wieczorke's organ work, closer this time to Gregg Rollie than Jon Lord (Deep Purple). But the album's highlight resides in the infectiously heavy riff of 'Castle in the Air', maybe the most recognizable sound bit in Eloy's first three albums.

Avec Floating, Eloy a atteint son premier pic artistique. Le groupe allemand très marqué par  évolue ver un prog rock magnifiquement gélifié pour cet ensemble de cinq chansons. Les faiblesses structurelles de la plus longue piste de l'album précédent sont maintenant choses du passé : 'The Light From Deep Darkness' est un roller coaster de 15 minutes. Le titre d'ouverture se rapproche beaucoup  du Santana des débuts, grâce à une partie de batterie fougueuse et au travail de l'orgue de Manfred Wieczorke, plus près cette fois de Gregg Rollie que de Jon Lord (Deep Purple). Mais le point culminant de l'album réside dans le riff lourd quasi vénéneux de 'Castle in the Air' , peut-être le son le plus reconnaissable des trois premiers albums de Eloy.

1974

Gryphon - Red Queen To Gryphon Three (1974)



Red Queen To Gryphon Three is the third album of the English group Gryphon progressive rock, made in 1974. The album is a concept album about a game of chess. The symphonic structure of the movements intricately combine rich textured strings with medieval horns, reminiscent of 16th century England. The keyboards bridge together certain passages with just the right intensity so that they keep from modernizing the album's feel. While some progressive rock can seem over the top or contrived, Gryphon mixes subtlety with diversity to formulate beautiful streamlined music.

Red Queen To Gryphon Three est le troisième album du groupe anglais de rock progressif Gryphon, réalisé en 1974. L'album est un concept-album autour d'une partie d'échecs. La structure symphonique des mouvements combine intimement de riches cordes texturées avec des cornes médiévales, qui rappellent l'Angleterre du 16ème siècle. Les  claviers emplissent certains passages avec juste la bonne intensité de sorte qu'ils préservent la modernité de l'album. Alors que certain rock progressif peut sembler excessif ou artificiel, Gryphon mélange adroitement subtilité avec diversité pour formuler une belle musique équilibrée.

1974

Pink Floyd - Atom Heart Mother (1970)



Atom Heart Mother is the fifth album by the English progressive rock band Pink Floyd released in 1970. Its name, which is also the first song of the disc, comes from a newspaper article about a woman equipped with a pacemaker atomic heart. Collective work (Pink Floyd signs the entire room), Atom Heart Mother can be seen as emblematic of progressive rock for its duration (about 25 minutes, an entire face of LP), its composition in parts, its arrangement (including loans to the so-called 'classical' music) and no text. Its major feature is its manifest rich sound throughout the work: this finding is mainly based on careful and unusual orchestration (although controversial) but also by the diverse use of electronic keyboards, as well as sound collages.

Atom Heart Mother est le cinquième album du groupe de rock progressif anglais Pink Floyd sorti en 1970. Son nom, qui est aussi celui du premier morceau du disque, vient d'un article de journal qui parlait d'une femme équipée d'un stimulateur cardiaque atomique. Œuvre collective (Pink Floyd signe l'ensemble de la pièce) Atom Heart Mother peut être considérée comme emblématique du rock progressif par sa durée (près de 25 minutes, soit une face entière d'album 33 tours), sa composition en plusieurs parties, ses arrangements (avec des emprunts à la musique dite classique) et l'absence de texte. Sa caractéristique majeure réside dans sa richesse sonore manifeste durant toute l'œuvre : ce constat s'appuie notamment sur une orchestration soignée et inhabituelle (bien que controversée) mais également par l'utilisation diversifiée des claviers électroniques, ainsi que celle des collages sonores.

1970




David Gilmour at The Isle of Wight Festival 1970