Thirty-five minutes, a little short this is probably enter history. But the rock having a distant relationship with the grocery store, to recognize this album (timing, title, and certainly minimalist iconography) to be the collection of talented songs most infuriating of ninety years that allow more to conclude that the group includes here in the line of binary and British invaders sixties (electric guitars and immediately recognizable melodies for everyone), and the lead singer Lee Mavers is a damn good songwriter . The second finding remains that, despite the constant criticism of the group, the producer Steve Lillywhite really assured a benefit of choice, making it wonderfully, and energy, and harmonic capabilities of these children Liverpool. The La's is a full fireworks carelessness, arrogance, and invention. This makes all the more galling that this first attempt has ever been on.
Trente-cinq minutes, c’est sans doute un peu court pour entrer dans l’histoire. Mais le rock n’ayant qu’un lointain rapport avec l’épicerie, reconnaissons à cet album (minutage, intitulé, et iconographie certes minimalistes), d’être la collection de chansons talentueuses la plus rageante des années quatre-vingt-dix qui permettent de plus de conclure que le groupe s’inclut ici dans la droite lignée des envahisseurs britanniques et binaires des années soixante (guitares électriques et mélodies immédiatement identifiables pour tout le monde), et que le leader et chanteur Lee Mavers est un sacrément bon compositeur. Le deuxième constat reste que, et malgré les reproches incessants du groupe, le producteur Steve Lillywhite a vraiment assuré une prestation de premier choix, rendant à merveille, et l’énergie, et les capacités harmoniques de ces enfants de Liverpool. The La’s est un feu d’artifice plein d’insouciance, de morgue, et d’invention. Ce qui rend d’autant plus exaspérant que ce coup d’essai n’ait jamais eu de suite.
1991