Excellent training blues-rock / British hard rock. In any case, the excellence of Spooky Two is not even discussed. Yet everything does not start auspiciously and his attack by a rather simplistic and battery longuette, could definitely give 'Waiting For The Wind'. Fortunately, everything goes very quickly in order, thanks, initially, to the originality of a great organ that distributes riff instead to grab the front of the stage, then over the disc, thanks a guitarist who distills beautiful notes and arpeggios, pleasure crescendo. The beautiful trails are connected, passion brightens, the prize for excellence attributable to exceptional bluesy and Evil Woman Lost In My Dream. The other six tracks contribute, to different degrees, the high level of Spooky Two, their undeniable coronation. The great blues, acoustic thin, hard as we like at that time, gospel harmonies of outputs of monumental choruses, sparkling Mike Harrison on vocals, Gary Wright a pen as inspired as his keyboards, guitarist among the most inventive of his generation (Luther Grosvenor), Spooky Two is the favorite album of fans and this is not surprising.
Excellente formation de blues-rock/hard-rock britannique. En tout cas, l'excellence sur Spooky Two ne se discute même pas. Pourtant, tout ne démarre pas sous les meilleurs auspices et son attaque par une batterie un peu simpliste et longuette, pourrait faire renoncer définitivement 'Waiting For The Wind'. Heureusement, tout rentre très rapidement dans l'ordre, grâce, dans un premier temps, à l'originalité d'un orgue génial qui distribue du riff au lieu de s'accaparer le devant de la scène, puis au fil du disque, grâce à un guitariste qui distille de magnifiques notes et arpèges, le plaisir va crescendo. Les belles pistes s'enchaînent, la passion s'avive, la palme de l'excellence revenant à l'exceptionnel bluesy Evil Woman et à Lost In My Dream. Les six autres pistes contribuent, à des degrés différents, au haut niveau de Spooky Two, leur indéniable couronnement. Du grand blues, de la fine acoustique, du hard comme on l'aime à cette époque, des harmonies de gospel sorties de choeurs monumentaux, un étincelant Mike Harrison au chant, un Gary Wright à la plume aussi inspirée que ses claviers, un guitariste parmi les plus inventifs de sa génération (Luther Grosvenor), Spooky Two est l'opus préféré des fans et cela n'a rien de surprenant.
1969