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Rock Music Blog

jeudi 4 août 2016

Grateful Dead - Mars Hotel (1974)



Seventh installment of the Dead. The sublime and original 'Unbroken Chain' (played by Phil Lesh, that finally the recognition it deserves) the sound came from we-don't-knows where and which allows all musicos to shine, as the tender ballad atmospheric 'China Doll' and friendly and cheerful 'US Blues', the beautiful and gentle 'Ships Of Fools' are the centerpieces. The visionary 'Pride Of Cucamonga' (despite an efficient steel guitar provided by the guest of honor John McFee Cactus), country, and 'Money Money' (Bob Weir), more shopping and 'Loose Lucy' and gay and Latino 'Scarlet Begonias' are somewhat lower. By remaking history Dead, it is not vain to recall, at that time, the group was looking to move abroad and educate the European public, where some choice incomprehensible titles or purely commercial character . Let us mainly in this album first mentioned titles, the magic of Jerry Garcia guitar that is not doing too bad at singing, even if it is not the best singer, efficient and versatile rhythm section and Godchaux quality keyboards.

Septième opus du Dead. Le sublime et original 'Unbroken Chain' (interprété par Phil Lesh, qui a enfin la reconnaissance qu'il mérite) au son venu d'on-ne-sait-où et qui permet à tous les musicos de briller, comme la tendre ballade atmosphérique 'China Doll' et sympa et enjoué 'US Blues', le très beau et doux 'Ships Of Fools' en sont les pièces maîtresses. Le fantaisiste 'Pride Of Cucamonga' (en dépit d'une steel guitare efficace assurée par l'invité de marque John McFee de Cactus), country, et 'Money Money' (Bob Weir), plus commercial, ainsi que 'Loose Lucy' et le gai et latino 'Scarlet Begonias' sont un peu plus faibles. En refaisant l'histoire du Dead, il n'est pas vain de rappeler, qu'à cette époque, le groupe cherchait à s'expatrier et à sensibiliser un public européen, d'où certains choix de titres incompréhensibles ou à caractères purement commerciaux. Retenons principalement de cet album les premiers titres évoqués, la guitare magique de Jerry Garcia qui ne s'en sort pas trop mal au chant, même s'il n'est pas le meilleur chanteur, une section rythmique efficace et un Godchaux polyvalent et de qualité aux claviers.

1974

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