Composé de cinq long titres dans sa version simple et de six chansons dans sa version double; The Road Of Bones est un disque qui a besoin de nombreuses écoutes pour être apprécié à sa juste valeur.
Dès le magnifique morceau d’ouverture intitulé 'From The Outside ', le ton est donné : atmosphères ténébreuses à souhait, grosses guitares de Mike Holmes et rythmique d’enfer avec une palme spéciale à Tim Esau, au jeu alliant brillamment puissance et subtilité. C’est clair : IQ nous entraine d’emblée sur les routes d’un enfer pavé de bonnes intentions. Le titre suivant, 'The Road Of Bones', s’ouvre sur une introduction magistrale signée Neil Durant (grandes nappes suicidaires, bruitages irréels) relayée par le chant splendide et tout en retenue de Peter Nicholls. Neurasthéniques s’abstenir ! Puis la basse à la Colin Edwin (Porcupine Tree) de Tim Esau ouvre les portes à une mélodie hypnotique à souhait qui file la chair de poule. Ceci juste avant que des sonorités orientales de claviers débouchent sur une véritable apothéose : rythmique puissante, nappes magistrales de synthés, basse remarquable, vocaux littéralement habités. Quant à la guitare de Mike, quoique mixée légèrement en retrait, elle donne le la à cette pièce de bravoure. Vient alors le tour de 'Without Walls', avec encore une fois un superbe travail de Neil Durant au piano, aux nappes et aux samples.
La chanson suivante, 'Ocean', s’ouvre sur les notes d’une boite à musique. Sublimée une fois encore par un piano magnifique de sensibilité et par un chant à fleur de peau, vite rejoints par une guitare acoustique délicate et par une basse absolument magnifique (Tim joue vraiment aussi bien que John Jowitt : sacrée performance !), elle possède tous les ingrédients nécessaires à la confection d’un grand morceau. Puis vient l’heure de la coda avec 'Until The End'. Chant lancinant et harmonies inédites et étranges font, dès les premières mesures, pressentir un pouvoir de renouvellement (certes modéré, hein, faudrait voir à ne pas changer une formule qui gagne) fort alléchante pour la suite. Une belle réussite de plus qui s’achève sur une séquence guitare acoustique/piano/voix absolument magnifique qui fait monter les larmes aux yeux.
Pour le reste, les compositions dégoulinent littéralement de synthétiseurs et plus particulièrement d’orgues vintage : le liturgique, l’Hammond, les mellotroniens, etc… : jetez donc une oreille attentive sur l’epic 'Constellations'. Au final, avec 'The Road Of Bones', on tient là un album sinon de haute volée , tout au moins d'excellente facture.
Dès le magnifique morceau d’ouverture intitulé 'From The Outside ', le ton est donné : atmosphères ténébreuses à souhait, grosses guitares de Mike Holmes et rythmique d’enfer avec une palme spéciale à Tim Esau, au jeu alliant brillamment puissance et subtilité. C’est clair : IQ nous entraine d’emblée sur les routes d’un enfer pavé de bonnes intentions. Le titre suivant, 'The Road Of Bones', s’ouvre sur une introduction magistrale signée Neil Durant (grandes nappes suicidaires, bruitages irréels) relayée par le chant splendide et tout en retenue de Peter Nicholls. Neurasthéniques s’abstenir ! Puis la basse à la Colin Edwin (Porcupine Tree) de Tim Esau ouvre les portes à une mélodie hypnotique à souhait qui file la chair de poule. Ceci juste avant que des sonorités orientales de claviers débouchent sur une véritable apothéose : rythmique puissante, nappes magistrales de synthés, basse remarquable, vocaux littéralement habités. Quant à la guitare de Mike, quoique mixée légèrement en retrait, elle donne le la à cette pièce de bravoure. Vient alors le tour de 'Without Walls', avec encore une fois un superbe travail de Neil Durant au piano, aux nappes et aux samples.
La chanson suivante, 'Ocean', s’ouvre sur les notes d’une boite à musique. Sublimée une fois encore par un piano magnifique de sensibilité et par un chant à fleur de peau, vite rejoints par une guitare acoustique délicate et par une basse absolument magnifique (Tim joue vraiment aussi bien que John Jowitt : sacrée performance !), elle possède tous les ingrédients nécessaires à la confection d’un grand morceau. Puis vient l’heure de la coda avec 'Until The End'. Chant lancinant et harmonies inédites et étranges font, dès les premières mesures, pressentir un pouvoir de renouvellement (certes modéré, hein, faudrait voir à ne pas changer une formule qui gagne) fort alléchante pour la suite. Une belle réussite de plus qui s’achève sur une séquence guitare acoustique/piano/voix absolument magnifique qui fait monter les larmes aux yeux.
Pour le reste, les compositions dégoulinent littéralement de synthétiseurs et plus particulièrement d’orgues vintage : le liturgique, l’Hammond, les mellotroniens, etc… : jetez donc une oreille attentive sur l’epic 'Constellations'. Au final, avec 'The Road Of Bones', on tient là un album sinon de haute volée , tout au moins d'excellente facture.
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