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Rock Music Blog

jeudi 4 août 2016

Rainbow - Rising (1976)



In 1976, released the second album of solo project of guitarist Ritchie Blackmore. The group is called Rainbow and line-up of this album is simply monstrous. Sir Blackmore knew well surrounded unearthing extraordinary musicians at each position: the great Ronnie James Dio on vocals, Cozy Powell on drums, genius keyboardist Tony Carey and equally excellent Jimmy Bain on bass, all in the time unknown to the public. First of all, the album is very short, about thirty minutes for only 6 titles. The album starts with spacey keyboards Tony Carey and the title "Tarot Woman". Magic! The song of Dio is aggressive and powerful, while Blackmore guitar is everywhere. The pace is removed, all remaining very melodic. Blackmore's guitar parts are majestic while his solos are well interpreted, concise, sharp. The chorus is unstoppable, heady, powerful, melodic. In short, everything we love in the music of Rainbow. The guitar parts are hallucinated the end of the song accompanying the Dio songs masterfully. 'Starstruck' is a classic, which makes me think immediately of Deep Purple. The rhythm will make you immediately stomp. The game of Powell and bath there is surely no coincidence. Dio ensures incredibly vocals, while Blackmore ignites his guitar, with furious solos, powerful riffs, technical but without adding however. 'Stargazer' is the title track of this album. With over eight minutes, Ritchie and his band delivers us a title came from elsewhere. Riff vengeful and sharp, Dio sang with melody and with a power, a rare conviction. The song has a very eastern side. The song is captivating from beginning to end, epic atmosphere, chaotic battery Mr. Powell, and, best of all, the group is accompanied by the Munich Philharmonic Orchestra, in short you can see, this piece is alone a masterpiece that remains even after all this time, a hard rock firepower model, epic, symphonic and grandiose wish. And the group does not let the pressure to the end of the album with the fast'A Light In The Dark' and of Ritchie Blackmore who outbid more beautiful, all masterfully supported by the double bass drum and bass Powell Jimmy Bain, and the two soloists who engage in a final in unison, great art, a true lesson of hard rock in short. This album is a monument of melodic hard rock. Everything is there, melody, power, magic voice, catchy chorus, imperial solos.

En 1976, sort le deuxième album du projet solo du guitariste Ritchie Blackmore. Le groupe s'appelle Rainbow et le line-up de cet album est tout simplement monstrueux. Sir Blackmore a su bien s'entourer en dénichant des musiciens extraordinaires à chaque poste : le grand Ronnie James Dio au chant, Cozy Powell à la batterie, le claviériste de génie Tony Carey et le non moins excellent Jimmy Bain à la basse, tous à l'époque inconnus du grand public.
Tout d'abord, l'album est très court, une trentaine de minutes pour seulement 6 titres.
L'album commence avec les claviers planants de Tony Carey et le titre "Tarot Woman". Magique! Le chant de Dio est bien agressif et puissant, tandis que la guitare de Blackmore est partout. Le rythme est bien enlevé, le tout restant très mélodique. Les parties de guitare de Blackmore sont majestueuses tandis que ses soli sont bien interprétés, concis, nets. Le refrain est imparable, entêtant, puissant, mélodique. Bref, tout ce qu'on aime dans la musique de Rainbow. Les parties de guitare sont hallucinées sur la fin du morceau, accompagnant les chants de Dio de façon magistrale.
"Starstruck" est un classique, qui me fait penser immédiatement à du Deep Purple. Le rythme vous fera immédiatement taper du pied. Le jeu de Powell et de Bain n'y sont sûrement pas pour rien. Dio assure incroyablement au chant, tandis que Blackmore enflamme sa guitare, avec des soli rageurs, des riffs puissants, techniques mais toutefois sans en rajouter.
"Stargazer" est le titre phare de cet album. Avec plus de huit minutes, Ritchie et sa bande nous délivre un titre venu d'ailleurs. Riff vengeur et acéré, Dio chante avec mélodie et avec une puissance, une conviction rare. Le morceau a un coté très oriental. Le morceau est captivant du début à la fin, ambiance épique, la batterie chaotique de Monsieur Powell, et, cerise sur le gâteau, le groupe est accompagné par le Munich Philharmonic Orchestra, bref vous l'aurez compris, ce morceau est à lui seul un chef d’œuvre qui reste, même après tout ce temps, un modèle de puissance de feu hard rock, épique, symphonique et grandiose à souhait. Et le groupe ne lâche pas la pression pour le final de l'album avec le rapide "A Light In The Dark"d et Ritchie Blackmore qui surenchérit de plus belle, le tout magistralement soutenu par la double grosse caisse de Powell et la basse de Jimmy Bain, et les deux solistes qui se lancent dans un final à l'unisson, du grand art, une vraie leçon de hard rock en somme. Cet album est un monument du hard rock mélodique. Tout y est, mélodie, puissance, voix magique, refrain entêtant, soli impériaux.

1976


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