En 1976, sort le deuxième album du projet solo du guitariste Ritchie Blackmore. Le groupe s'appelle Rainbow et le line-up de cet album est tout simplement monstrueux. Sir Blackmore a su bien s'entourer en dénichant des musiciens extraordinaires à chaque poste : le grand Ronnie James Dio au chant, Cozy Powell à la batterie, le claviériste de génie Tony Carey et le non moins excellent Jimmy Bain à la basse, tous à l'époque inconnus du grand public.
Tout d'abord, l'album est très court, une trentaine de minutes pour seulement 6 titres.
L'album commence avec les claviers planants de Tony Carey et le titre "Tarot Woman". Magique! Le chant de Dio est bien agressif et puissant, tandis que la guitare de Blackmore est partout. Le rythme est bien enlevé, le tout restant très mélodique. Les parties de guitare de Blackmore sont majestueuses tandis que ses soli sont bien interprétés, concis, nets. Le refrain est imparable, entêtant, puissant, mélodique. Bref, tout ce qu'on aime dans la musique de Rainbow. Les parties de guitare sont hallucinées sur la fin du morceau, accompagnant les chants de Dio de façon magistrale.
"Starstruck" est un classique, qui me fait penser immédiatement à du Deep Purple. Le rythme vous fera immédiatement taper du pied. Le jeu de Powell et de Bain n'y sont sûrement pas pour rien. Dio assure incroyablement au chant, tandis que Blackmore enflamme sa guitare, avec des soli rageurs, des riffs puissants, techniques mais toutefois sans en rajouter.
"Stargazer" est le titre phare de cet album. Avec plus de huit minutes, Ritchie et sa bande nous délivre un titre venu d'ailleurs. Riff vengeur et acéré, Dio chante avec mélodie et avec une puissance, une conviction rare. Le morceau a un coté très oriental. Le morceau est captivant du début à la fin, ambiance épique, la batterie chaotique de Monsieur Powell, et, cerise sur le gâteau, le groupe est accompagné par le Munich Philharmonic Orchestra, bref vous l'aurez compris, ce morceau est à lui seul un chef d’œuvre qui reste, même après tout ce temps, un modèle de puissance de feu hard rock, épique, symphonique et grandiose à souhait. Et le groupe ne lâche pas la pression pour le final de l'album avec le rapide "A Light In The Dark"d et Ritchie Blackmore qui surenchérit de plus belle, le tout magistralement soutenu par la double grosse caisse de Powell et la basse de Jimmy Bain, et les deux solistes qui se lancent dans un final à l'unisson, du grand art, une vraie leçon de hard rock en somme. Cet album est un monument du hard rock mélodique. Tout y est, mélodie, puissance, voix magique, refrain entêtant, soli impériaux.
Tout d'abord, l'album est très court, une trentaine de minutes pour seulement 6 titres.
L'album commence avec les claviers planants de Tony Carey et le titre "Tarot Woman". Magique! Le chant de Dio est bien agressif et puissant, tandis que la guitare de Blackmore est partout. Le rythme est bien enlevé, le tout restant très mélodique. Les parties de guitare de Blackmore sont majestueuses tandis que ses soli sont bien interprétés, concis, nets. Le refrain est imparable, entêtant, puissant, mélodique. Bref, tout ce qu'on aime dans la musique de Rainbow. Les parties de guitare sont hallucinées sur la fin du morceau, accompagnant les chants de Dio de façon magistrale.
"Starstruck" est un classique, qui me fait penser immédiatement à du Deep Purple. Le rythme vous fera immédiatement taper du pied. Le jeu de Powell et de Bain n'y sont sûrement pas pour rien. Dio assure incroyablement au chant, tandis que Blackmore enflamme sa guitare, avec des soli rageurs, des riffs puissants, techniques mais toutefois sans en rajouter.
"Stargazer" est le titre phare de cet album. Avec plus de huit minutes, Ritchie et sa bande nous délivre un titre venu d'ailleurs. Riff vengeur et acéré, Dio chante avec mélodie et avec une puissance, une conviction rare. Le morceau a un coté très oriental. Le morceau est captivant du début à la fin, ambiance épique, la batterie chaotique de Monsieur Powell, et, cerise sur le gâteau, le groupe est accompagné par le Munich Philharmonic Orchestra, bref vous l'aurez compris, ce morceau est à lui seul un chef d’œuvre qui reste, même après tout ce temps, un modèle de puissance de feu hard rock, épique, symphonique et grandiose à souhait. Et le groupe ne lâche pas la pression pour le final de l'album avec le rapide "A Light In The Dark"d et Ritchie Blackmore qui surenchérit de plus belle, le tout magistralement soutenu par la double grosse caisse de Powell et la basse de Jimmy Bain, et les deux solistes qui se lancent dans un final à l'unisson, du grand art, une vraie leçon de hard rock en somme. Cet album est un monument du hard rock mélodique. Tout y est, mélodie, puissance, voix magique, refrain entêtant, soli impériaux.
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