Built around the talents of singer/guitarist Paul Applebaum, bassist Johnny Lank, sax player Barry Tatelman, vocalist Gail Winnick and drummer Sandy Winslow, 1968 saw the band signed by the small Detroit-based Mainstream Records. Released later in the year, The Art of Lovin' made for one of the year's more interesting debuts. Curiously, for years several reviews have given this album as being folk-rock oriented. That's not quite just. That said, it's true the first time you'll listen you'll leave with the nagging feeling you'd heard it somewhere before. . Powered by Applebaum's pseudo-psychedelic material and Winslow's crystalline voice, stylistically tracks such as 'What the Young Mind Says', the rocker 'Take a Ride' and 'Good Times' bore more than a passing resemblance to early Jefferson Airplane.
Construit autour des talents du chanteur/guitariste Paul Applebaum, du bassiste Johnny Lank, du joueur de saxo Barry Tatelman, du chanteur Gail Winnick et du batteur Sandy Winslow, le groupe a signé le petit label Mainstream Records de Détroit en 1968. Sorti plus tard dans l'année, The Art of Lovin' s'est révélé l'un des débuts les plus intéressants de l'année. Curieusement, pendant des années plusieurs critiques ont donné cet album comme étant orienté folk-rock. Ce n'est pas tout à fait juste. Cela dit, il est vrai que la première fois que vous l'écoutez, vous repartirez avec le sentiment lancinant que vous l'avez entendu quelque part. Propulsé par le son pseudo-psychédélique d'Applebaum et la voix cristalline de Winslow, les pistes telles que 'What the Young Mind Says', 'Take a Ride' et 'Good Times' présentent en effet bien plus qu'une vague ressemblance aux débuts de Jefferson Airplane.
1968