🎸 Maypole – The Real (1971)

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🇫🇷 Biographie (Français)

Originaire de Baltimore (Maryland), le groupe Maypole a enregistré The Real en 1971, mais l’album est longtemps resté inédit, n’apparaissant officiellement que des décennies plus tard, à la faveur de rééditions vinyles et CD. Formé autour de talents jeunes et prometteurs, Maypole incarne ce moment où le rock psychédélique américain glisse vers des sonorités plus heavy, flirtant avec le hard rock naissant et des influences bluesy.

Avec ses guitares tranchantes, ses harmonies vocales puissantes et ses compositions solides, The Real évoque Cream, Iron Butterfly ou encore Grand Funk Railroad. L’album, malgré son obscurité initiale, séduit aujourd’hui les collectionneurs et amateurs de psyché heavy pour son authenticité et sa fraîcheur brute, typique du rock underground américain du début des années 1970.

🇬🇧 Biographie (English)

Formed in Baltimore, Maryland, Maypole recorded The Real in 1971, though the album remained unreleased for decades and only surfaced through later reissues on vinyl and CD. Composed of young and talented musicians, Maypole bridges the gap between late 60s American psychedelia and early 70s heavy rock, blending bluesy riffs with rich vocal harmonies and dynamic energy.

With searing guitars, robust songwriting, and a raw but engaging sound, The Real channels the spirit of bands like Cream, Iron Butterfly, and Grand Funk Railroad. Though it was initially obscure, the album has since gained cult status among fans of vintage psychedelic and hard rock for its sincerity and proto-metal flair.

💿 Trackliste

1. Glance at the Past

2. Show Me the Way

3. Henry Stared

4. Changes Places

5. Under a Wave

6. Look at Me

7. Johnny

8. Come Back

9. You Were

10. Stand Alone

11. In the Beginning

12. Dozy World

13. Black Forest

14. Jack Daniels

🎸 Musiciens
Dennis Tobell – chant, guitare
Paul Welsh – guitare solo
Kenny Ross – basse
Jimmie Hall – orgue, claviers
Steve Strain – batterie

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Vous pouvez écouter l’album complet ici : 

👉 Maypole – The Real (1971)

 

🎸 Damon – Song Of A Gypsy (1973)

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🇫🇷 Biographie (Français)

Damon est le projet solo de Damon Lyon-Shaw, musicien et chanteur anglais. Song Of A Gypsy, sorti en 1973, est un album de rock progressif teinté de folk et de sonorités psychédéliques, caractérisé par une atmosphère mélancolique et une écriture soignée. Cet album, resté longtemps méconnu, est aujourd’hui reconnu comme un joyau caché de la scène progressive britannique, mêlant arrangements subtils, voix expressive et ambiances mystérieuses.

Le disque se distingue par ses mélodies riches, ses harmonies vocales délicates, et son instrumentation variée, offrant un voyage musical empreint d’émotion et de poésie. Damon explore ici des thèmes liés au voyage, à l’errance et à la quête intérieure, dans une ambiance souvent intimiste.

🇬🇧 Biographie (English)

Damon is the solo project of English musician and singer Damon Lyon-Shaw. Released in 1973, Song Of A Gypsy is a progressive rock album infused with folk and psychedelic tones, characterized by a melancholic atmosphere and refined songwriting. Long overlooked, this album is now regarded as a hidden gem of the British progressive scene, blending subtle arrangements, expressive vocals, and mysterious moods.

The record stands out with its rich melodies, delicate vocal harmonies, and varied instrumentation, offering a musical journey filled with emotion and poetry. Damon explores themes of travel, wandering, and inner quest in an often intimate setting.

💿 Trackliste

1. The Gypsy

2. Morning Comes to Town

3. Tune Up the Fiddle

4. Cold Steel

5. Green And Golden

6. House of Cards

7. Song of a Gypsy

🎸 Musiciens
Damon Lyon-Shaw – chant, guitare, claviers
Dave Lawson – claviers
Bob Wilson – basse
Paul Burgess – batterie

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Vous pouvez écouter l’album complet ici : 

👉 Damon – Song Of A Gypsy (1973)

🔍 Mots-clés SEO
Damon 1973, folk psychédélique, album folk rock, musique progressive 70s, folk mélancolique, Song Of A Gypsy, album rare folk psych.

 

🎸 Funkadelic – Funkadelic (1970)

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🇫🇷 Biographie (Français)

Premier album éponyme du groupe légendaire Funkadelic, sorti en 1970, ce disque est un puissant mélange de funk, rock psychédélique et soul, annonçant la révolution musicale que George Clinton allait porter avec Parliament-Funkadelic. Funkadelic s’impose ici par son audace, mêlant riffs saturés, grooves hypnotiques, et une atmosphère aussi dense que hallucinante.

La musique de cet album navigue entre riffs fuzzés, rythmes syncopés et expérimentations sonores, portée par la virtuosité et la créativité des musiciens. Ce premier opus jette les bases du funk rock psychédélique qui influencera durablement la scène américaine et au-delà, avec des titres comme « Maggot Brain » (plus tard célèbre) ou « Free Your Mind… And Your Ass Will Follow », bien que ces morceaux apparaissent sur les albums suivants.

🇬🇧 Biographie (English)

The self-titled debut album by the legendary group Funkadelic, released in 1970, represents a powerful fusion of funk, psychedelic rock, and soul, heralding the musical revolution spearheaded by George Clinton with Parliament-Funkadelic. Funkadelic here stands out for its bold blend of distorted riffs, hypnotic grooves, and a dense, trippy atmosphere.

The album’s sound weaves fuzzy guitar riffs, syncopated rhythms, and sonic experiments, driven by the virtuosity and creativity of its musicians. This debut laid the groundwork for psychedelic funk rock that would influence the American scene and beyond. Although tracks like “Maggot Brain” and “Free Your Mind… And Your Ass Will Follow” became iconic later, this album already showcased the band’s innovative spirit.

💿 Trackliste

1. Mom Home Ain't Like This

2. I Got a Thing, You Got a Thing, Everybody's Got a Thing

3. I'll Bet You

4. What Is Soul?

5. Funkadelic

6. I'll Stay

7. Children of Production

🎸 Musiciens

George Clinton – chant, production
Eddie Hazel – guitare
Billy Bass Nelson – basse
Tiki Fulwood – batterie
Tawl Ross – guitare
Bernie Worrell – claviers

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Vous pouvez écouter l’album complet ici : 

👉 Funkadelic – Funkadelic (1970)

 

🎸 The Stooges – The Stooges (1969)

 

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🇫🇷 Biographie (Français)

Sorti en août 1969 sur le label Elektra, The Stooges est le premier album du groupe éponyme originaire d’Ann Arbor, Michigan. Porté par la voix féline et provocante d’Iggy Pop, ce disque incarne les prémices du punk rock, bien avant l’heure. Brut, minimaliste, viscéral, il rompt avec l’esthétique psychédélique dominante de l’époque pour proposer un rock cru, martelé par des riffs primitifs et une tension sauvage.

Les Stooges, formés autour des frères Ron et Scott Asheton, imposent dès ce premier opus une formule explosive : guitares distordues, rythmes répétitifs, textes nihilistes. Produit par John Cale (ex-Velvet Underground), l’album marque un tournant esthétique majeur, bien qu’il ait été sous-estimé à sa sortie. Des titres comme « 1969 », « No Fun » ou « I Wanna Be Your Dog » sont devenus des hymnes fondateurs du proto-punk.

🇬🇧 Biographie (English)

Released in August 1969 on Elektra Records, The Stooges is the raw and uncompromising debut album of the Ann Arbor-based band led by the charismatic Iggy Pop. Marking the dawn of what would later become punk rock, the album rejects the psychedelic norms of its time in favor of stripped-down, primal rock energy.

Backed by the thunderous guitar of Ron Asheton and the pounding rhythm section of Dave Alexander and Scott Asheton, Iggy Pop’s snarling vocals deliver youthful rage and alienation. Produced by John Cale (of The Velvet Underground), the album didn’t achieve immediate commercial success but later gained legendary status. Tracks like “1969,” “No Fun,” and “I Wanna Be Your Dog” are now regarded as anthems of proto-punk rebellion.

💿 Trackliste

1. 1969

2. I Wanna Be Your Dog

3. We Will Fall

4. No Fun

5. Real Cool Time

6. Ann

7. Not Right

8. Little Doll

🎸 Musiciens

Iggy Pop – chant
Ron Asheton – guitare
Dave Alexander – basse
Scott Asheton – batterie
John Cale – production, violon électrique (sur « We Will Fall »)

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Vous pouvez écouter l’album complet ici : 

👉 The Stooges – The Stooges (1969)

🎸 Morgen – Morgen (1969)

 

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🇫🇷 Biographie (Français)

Morgen est un obscur mais marquant groupe de rock psychédélique américain originaire de Long Island, New York. Fondé par le chanteur et guitariste Steve Morgen, le groupe n’a sorti qu’un seul album éponyme en 1969, devenu culte avec le temps. Dans la veine des premiers Blue Cheer ou Iron Butterfly, l’album Morgen combine fuzz sursaturé, riffs lourds et une ambiance hallucinée, portée par une énergie brute et des textes ésotériques.

Malgré son faible écho commercial à l’époque, Morgen est aujourd’hui considéré comme une perle du heavy psyché, un condensé de ce que la scène underground américaine pouvait offrir de plus intense et électrique à la fin des années 60. L’album s’ouvre avec le puissant « Welcome to the Void », souvent cité comme l’un des sommets du genre. L’ensemble de l’œuvre est caractérisé par un son dense, des solos débridés et une tension psychotique permanente.

🇬🇧 Biographie (English)

Morgen was a short-lived but influential American psychedelic rock band from Long Island, New York, led by singer and guitarist Steve Morgen. They released only one self-titled album in 1969, which has since become a cult classic. In the spirit of early Blue Cheer or Iron Butterfly, Morgen delivers fuzz-drenched guitar, heavy riffing, and a trippy, occult-tinged atmosphere.

Although it received little commercial attention at the time, Morgen is now hailed as a psychedelic masterpiece and a landmark of late-60s underground rock. The album opens with the iconic “Welcome to the Void,” a heavy psych anthem. The record maintains a raw intensity throughout, filled with wild solos, hypnotic rhythms, and mystical lyrics, marking it as a key reference for collectors and fans of vintage acid rock.

💿 Trackliste

1. Welcome to the Void

2. Of Dreams

3. Beggin' Your Pardon (Miss Joan)

4. Eternity in Between

5. Purple

6. She's the Nitetime

7. Love

🎸 Musiciens
Steve Morgen – chant, guitare
Bobby Rizzo – guitare
Mike Ratti – basse
Barry Stock – batterie
Murray Schiffrin – batterie

🎧 Écoute en ligne

Vous pouvez écouter l’album complet ici :

 👉 Morgen – Morgen (1969)

🎸 Ry Cooder – Bop Till You Drop (1979)

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🇺🇸 Biographie (Français)

Bop Till You Drop est le huitième album studio de Ry Cooder, sorti en juillet 1979. Il s'agit du premier album majeur enregistré numériquement, utilisant une machine 32 pistes développée par 3M. Cet album se distingue par ses reprises de classiques du rhythm and blues et du rock'n'roll des années 1950, dont "Little Sister" d'Elvis Presley et "Don't Mess Up a Good Thing" de Fontella Bass. Le morceau "Down in Hollywood" est la seule composition originale de l'album. L'album a été bien accueilli par la critique et a atteint la 7e place des classements australiens.

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🇺🇸 Biographie (English)

Bop Till You Drop is Ry Cooder's eighth studio album, released in July 1979. It is the first major-label album in popular music to be recorded digitally, using a 32-track machine developed by 3M. The album features covers of classic 1950s rhythm and blues and rock and roll tracks, including Elvis Presley's "Little Sister" and Fontella Bass's "Don't Mess Up a Good Thing." "Down in Hollywood" is the album's only original composition. The album received positive reviews and peaked at number 7 on the Australian charts. 

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💿 Trackliste

1. Little Sister

2. Go Home Girl

3. The Very Thing That Makes You Rich (Makes Me Poor)

4. I Think It's Going to Work Out Fine

5. Down in Hollywood

6. Look at Granny Run Run

7. Trouble, You Can't Fool Me

8. Don't Mess Up a Good Thing

9. I Can't Win

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🎸 Musiciens

• Ry Cooder – guitare, guitare basse, mandoline, chant

• Tim Drummond – guitare basse

• Jim Keltner – batterie

• David Lindley – guitare, mandoline

• Ronnie Barron – orgue, guitare, claviers

• Milt Holland – percussions, batterie

• Bobby King – chant

• Chaka Khan – chant

• Jimmy Adams, Herman E. Johnson, Bill Johnson, Cliff Givens, Randy Lorenzo, George "Biggie" McFadden, Simon Pico Payne, Greg Prestopino – chœurs

• Rev. Patrick Henderson – orgue, claviers

• Reggie McBride – guitare basse

• George McFadden – chœurs

• Simon Pico Payne – chœurs

• Greg Prestopino – chœurs

  
  

  🎧 Écoute en ligne
  👉 Ry Cooder - Bop Till You Drop (1979)
  
  
  
  
  
  
  

  

  
  

  
  

  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  

🎸 The Immediate Family – Skin in the Game (2024)

 

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🇺🇸 Biographie (Français)
Avec Skin in the Game, sorti le 16 février 2024 chez Quarto Valley Records, The Immediate Family signe un retour puissant et inspiré. Ce deuxième album studio du groupe — composé de Danny Kortchmar, Waddy Wachtel, Steve Postell, Leland Sklar et Russ Kunkel — mêle rock californien, funk, blues et ballades introspectives. Enregistré avec une énergie brute, l’album reflète la complicité et l’expérience de ces musiciens légendaires, offrant des compositions originales et une reprise audacieuse de Sparks.

🇺🇸 Biographie (English)
Released on February 16, 2024, via Quarto Valley Records, Skin in the Game is The Immediate Family's second studio album. The band—Danny Kortchmar, Waddy Wachtel, Steve Postell, Leland Sklar, and Russ Kunkel—delivers a blend of California rock, funk, blues, and introspective ballads. Recorded with raw energy, the album showcases the group's legendary chemistry and experience, featuring original compositions and a bold cover of Sparks.

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💿 Trackliste

1. Whole Lotta Rock and Roll – 4:07

2. 24/7/365 – 3:30

3. The Toughest Girl in Town – 3:51

4. Catch You on the Other Side – 3:12

5. Nobody Wants You – 4:00

6. Fragile Heart – 4:43

7. Confusion – 4:17

8. Party at the Graveyard – 3:12

9. Skin in the Game – 4:23

10. Love Suicide – 4:06

11. Looking Away – 3:16

12. Lost in the Shuffle – 3:42

13. Too Many Irons in the Fire – 4:12

14. High Maintenance Girlfriend – 4:29

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🎸 Musiciens

• Danny Kortchmar – guitare, chant

• Waddy Wachtel – guitare, chant

• Steve Postell – guitare, chant

• Leland Sklar – basse

• Russ Kunkel – batterie, percussions

  
  

  🎧 Écoute en ligne
  Vous pouvez écouter l’album complet ici : 

  👉 The Immediate Family – Skin in the Game (2024)

  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  

🎸 The Immediate Family – The Immediate Family (2021)

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🇺🇸 Biographie (Français)

Après des décennies passées à accompagner les plus grands noms de la musique, Danny Kortchmar, Waddy Wachtel, Leland Sklar, Russ Kunkel et Steve Postell se réunissent sous le nom de The Immediate Family pour présenter leur propre voix musicale. Enregistré en seulement trois jours au studio de Jackson Browne à Los Angeles, cet album éponyme de 2021 offre un mélange de rock classique, de blues et de funk, mettant en valeur leur maîtrise instrumentale et leur complicité musicale. Le disque comprend douze compositions originales, ainsi que deux reprises en direct de classiques de Warren Zevon et Jackson Browne.

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🇺🇸 Biographie (English)

After decades of backing legendary artists, Danny Kortchmar, Waddy Wachtel, Leland Sklar, Russ Kunkel, and Steve Postell come together as The Immediate Family to showcase their own musical voice. Recorded over three days at Jackson Browne's Los Angeles studio, this self-titled 2021 album delivers a blend of classic rock, blues, and funk, highlighting their instrumental prowess and musical chemistry. The record features twelve original compositions, along with two live renditions of classics by Warren Zevon and Jackson Browne.

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💿 Trackliste

1. Can't Stop Progress

2. Slippin' and Slidin'

3. Everything That's Broken

4. Damage

5. Divorced

6. A Thing of the Past

7. Fair Warning

8. Things to Do in Denver When You're Dead

9. House Will Fall

10. Not Made That Way

11. Time to Come Clean

12. Turn It Up to Ten

13. Johnny Strikes Up the Band (Live)

14. Somebody's Baby (Live)

    
    

🎸 Musiciens

• Danny Kortchmar – guitare, chant

• Waddy Wachtel – guitare, chant

• Steve Postell – guitare, chant

• Leland Sklar – basse

• Russ Kunkel – batterie, percussions

🎧 Écoute en ligne

Vous pouvez écouter l’album complet ici :

 👉 The Immediate Family – The Immediate Family (2021)

 

🎸 The Section – Fork It Over (1977)

Pochette de l'album

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🇺🇸 Biographie (Français)

Avec Fork It Over, The Section signe en 1977 un dernier chapitre instrumental résolument ancré dans le jazz-rock californien. Toujours formé du noyau légendaire Doerge–Kortchmar–Sklar–Kunkel, le groupe se fait plaisir en croisant groove sophistiqué, funk léger et clins d’œil fusion, parfois teintés de soul. Moins aventureux que Forward Motion, mais porté par une production plus soignée, cet album est aussi l’occasion de croiser quelques grands noms invités pour enrichir cette ultime session de studio. Un disque final élégant et détendu, reflet d’une époque où les musiciens de l’ombre avaient enfin leur mot à dire.

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🇺🇸 Biographie (English)

Released in 1977, Fork It Over is the final album by The Section—the iconic studio supergroup formed by Craig Doerge, Danny Kortchmar, Leland Sklar, and Russ Kunkel. This record delivers polished and groove-oriented instrumental tracks, blending jazz-funk, fusion, and smooth California rock. While less experimental than their previous efforts, Fork It Over showcases top-tier musicianship with guest appearances that elevate the set. A graceful and understated farewell from four masters of their craft.

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💿 Trackliste

1. Sucka

2. Street Pizza

3. Bad Shoes

4. Chump Change

5. Rain Dance

6. Doing the Meatball

7. Movie Star

8. Anticipation

9. Razzmatazz

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🎸 Musiciens

• Craig Doerge – claviers, piano électrique

• Danny Kortchmar – guitare

• Leland Sklar – basse

• Russ Kunkel – batterie, percussions

Invités :

• David Foster – claviers

• Jim Horn – saxophone

• Tom Scott – saxophone

• Michael Brecker – saxophone

• Steve Lukather – guitare

• Joe Sample – piano (probable)

🎧 Écoute en ligne

Vous pouvez écouter l’album complet ici : 

👉 The Section – Fork It Over (1977)

 

🎸 The Section – Forward Motion (1973)

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🇺🇸 Biographie (Français)

Avec Forward Motion, second opus publié en 1973, The Section confirme son statut de super-groupe instrumental issu de l’élite des musiciens de studio de la côte Ouest. Toujours sans chant, l’album explore avec finesse un territoire à mi-chemin entre jazz fusion, rock mélodique et funk élégant. Plus affirmé et structuré que le précédent, ce disque dévoile une parfaite alchimie entre Doerge, Kortchmar, Sklar et Kunkel. Ces compositions subtiles captent l’ADN sonore de l’époque : solaire, fluide, groovy. Un sommet discret mais raffiné du son californien early 70s.

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🇺🇸 Biographie (English)

Forward Motion (1973) further showcases the compositional and instrumental strength of The Section—Craig Doerge, Danny Kortchmar, Leland Sklar, and Russ Kunkel. More cohesive and polished than their debut, this album leans into jazz fusion and funk influences, while maintaining the warm West Coast vibe. With sharp arrangements and tasteful interplay, Forward Motion is a hidden gem of the 1970s studio scene—a must-hear for fans of instrumental groove and sophisticated musicianship.

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💿 Trackliste

1. Forward Motion

2. Outlaw

3. One Drum

4. Peasant Song

5. Mah-Hoo-Dah-Vah (version revisitée)

6. The Road

7. Rainbows All Over Your Blues

8. Twice Around

9. Doing the Meatball (live version ou reprise studio)

(La liste peut légèrement varier selon les pressages ; à confirmer si besoin avec votre version précise.)

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🎸 Musiciens

• Craig Doerge – claviers, piano, orgue

• Danny Kortchmar – guitare

• Leland Sklar – basse

• Russ Kunkel – batterie, percussions

Invités éventuels (selon les sources) :

• David Lindley – guitare slide

• Michael Brecker – saxophone

• Joe Lala – percussions

  
  

  🎧 Écoute en ligne

  
  
  Vous pouvez écouter l’album complet ici : 

  👉 The Section – Forward Motion (1973)

  
  

  
  
  

  
  

 

🎸 The Section – The Section (1972)

Pochette de l'album

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🇺🇸 Biographie (Français)

Né de la rencontre de musiciens de studio de la scène West Coast, The Section fut à la fois un groupe instrumental autonome et la colonne vertébrale musicale d’artistes comme James Taylor, Carole King, Jackson Browne ou Crosby & Nash. Leur premier album, The Section (1972), est un bijou jazz-rock aux nuances funk, fusion et soft prog. Sans voix, mais rempli d’âme, il illustre l’élégance et la fluidité de musiciens à la virtuosité discrète. Rarement mis en avant, ce disque est pourtant essentiel à qui s'intéresse au son de Laurel Canyon et à l’école Warner/Asylum.

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🇺🇸 Biographie (English)

Released in 1972, The Section marks the debut of a legendary group of L.A. session musicians—Craig Doerge, Leland Sklar, Danny Kortchmar, and Russ Kunkel. Known for backing countless singer-songwriters, The Section also carved out their own voice with this instrumental jazz-rock fusion album. Mellow yet complex, funky but smooth, it captures the essence of early '70s California studio excellence. A cult favorite among musicians and audiophiles alike.

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💿 Trackliste💿 Trackliste

1. Second Degree – 5:00

2. Sporadic Vacuums of Thought – 5:23

3. (Sittin' On) The Dock of the Bay – 3:50

4. Holy Frijoles – 2:59

5. Doing the Meatball – 2:52

6. Swan Song – 6:23

7. Thing What Is – 4:11

8. Mah-Hoo-Dah-Vah – 5:50

9. Zippo Dippo - 2:01

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🎸 Musiciens

• Craig Doerge – claviers, piano électrique

• Leland Sklar – basse

• Danny Kortchmar – guitare

• Russ Kunkel – batterie, percussions

Invités :

• David Crosby – chœurs (occasionnels, sur démos)

• James Taylor – soutien informel en production (non crédité officiellement)

  
  

  🎧 Écoute en ligne

  
  
  Vous pouvez écouter l’album complet ici : 

  👉 The Section – The Section (1972)

  
  

  
  
  

  
  

 

🎸 The City – Now That Everything's Been Said (1968)

Pochette de l'album

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🇺🇸 Biographie (Français)

Avant Tapestry et la reconnaissance planétaire, Carole King expérimente la pop californienne aux accents folk et soul dans ce trio éphémère formé avec Charles Larkey (basse) et Danny Kortchmar (guitare). Produit par Lou Adler, Now That Everything’s Been Said pose les fondations du son Laurel Canyon. Les chansons, toutes signées King (parfois avec Gerry Goffin), révèlent déjà son talent mélodique et émotionnel. Bien que l’album ait été un échec commercial à sa sortie, il est aujourd’hui considéré comme une pièce maîtresse préfigurant l’âge d’or du singer-songwriter des années 70.

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🇺🇸 Biographie (English)

Before achieving solo stardom, Carole King formed The City with Charles Larkey and Danny Kortchmar. Their sole album, Now That Everything’s Been Said (1968), produced by Lou Adler, quietly pioneered the mellow, intimate sound of Laurel Canyon. Though overlooked at the time, it features early versions of future classics and showcases King’s unmistakable songwriting voice, both musically and lyrically. It’s a hidden cornerstone in the evolution of the West Coast singer-songwriter movement.

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💿 Trackliste

1. Snow Queen

2. I Wasn’t Born to Follow

3. Now That Everything’s Been Said

4. Paradise Alley

5. Man Without a Dream

6. Victim of Circumstance

7. Why Are You Leaving

8. Lady

9. My Sweet Home

10. I Don’t Believe It

11. That Old Sweet Roll (Hi-De-Ho)

12. All My Time

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🎸 Musiciens

• Carole King – piano, chant principal

• Danny Kortchmar – guitare, chœurs

• Charles Larkey – basse

• Jim Gordon – batterie (sessions)

• Hal Blaine – batterie (sessions)

• Ralph Schuckett – orgue (non crédité sur tous les titres)
  

Production :

• Lou Adler – production

• Hank Cicalo – ingénieur du son

• Enregistrement : A&M Studios, Hollywood, 1968

🎧 Écoute en ligne

Vous pouvez écouter l’album complet ici :

👉 The City – Now That Everything's Been Said (1968)