Side B opens with 'Robbery, Assault And Battery', catchy song about a thief caught in the act by the owner of the house he robs, and that attacks and kills (apparently). A very good song. Then 'Ripples' ... (ellipses are in the title), memorable song than 8 minutes talking about old age, the search for eternal youth but, alas, will never return. Very melancholy and sublime. 'A Trick Of The Tail', short song giving the title to the album, talking horned creatures with forked tails, feet ditto that one day discover the existence of another kind of creatures without tails, without horns, and larger than themselves: basically, we as men !! A very catchy song, the piano is irresistible, the song is light, it's a totally endearing song, not the top of the album, but it's a treat. Finally, A Trick Of The Tail ends with 'Los Endos', instrumental striking that reuses bits of 'Squonk', 'Dance On A Volcano', in a kind of overall conclusion of the album. A perfect ending for an album, we have seen, perfect, a Genesis tops, a sunny drive, his wallet to his songs that are catchy enough for many. A true masterpiece of progressive rock!
Le 8ème album de Genesis est pour ainsi dire parfait.
On commence divinement par un 'Dance On A Volcano' anthologique. Une introduction qui laisse rêveur : guitare magnifique, petites ruades de batterie, synthés vaporeux... D'emblée, on est dans la chanson, emporté par cette mélodie, on est sur ce volcan, avec des tas de créatures, on danse (la vraie danse, c'est le final débridé, Let the dance begin, du morceau). Le chant est juste parfait, Collins était vraiment le chanteur qu'il fallait pour remplacer le réputé irremplaçable Peter Gabriel. Chant énergique, voix sensationnelle... Et ce n'est que le début ! Car après ce grand moment de prog-rock bien balancé et débridé, place à Entangled, une pure merveille acoustique, folkeuse, douce comme un bébé, mélancolique aussi, une chanson interprétée à la perfection et se payant le luxe de s'achever en beauté : des synthés imitant des vocalises aiguës, effet à vous faire frissonner tellement c'est beau et étrange. Mon morceau préféré de l'album et un de mes morceaux préférés de Genesis. Squonk, lui, est aussi balancé que 'Dance On A Volcano', et est une histoire remarquable sur un chasseur traquant le Squonk, lequel est, comme il est dit sur la pochette, une petite créature fictive et fantastique, innoffensive, très craintive et laide..Enfin, la face A se finit en apothéose sur les 7 minutes et quelques de 'Mad Man Moon', une chanson sublimissime, à la mélodie inoubliable et au chant prenant.
La face B s'ouvre sur 'Robbery, Assault And Battery,' chanson entraînante sur un voleur pris sur le fait par le propriétaire de la maison qu'il cambriole, et qu'il agresse et tue (apparemment). Une très bonne chanson. Puis Ripples... (les points de suspension sont dans le titre), chanson mémorable de 8 minutes parle de la vieillesse, de la recherche de la jeunesse éternelle mais qui, hélas, ne reviendra jamais. Très mélancolique, et sublime. A Trick Of The Tail, chanson courte donnant son titre à l'album, parle de créatures cornues, avec des queues fourchues, des pieds idem qui, un jour, découvrent l'existence d'un autre genre de créatures, sans queues, sans cornes, et plus grands qu'eux : en gros, nous, les Hommes !! Une chanson très entraînante, le piano est irrésistible, le chant est léger, c'est une chanson totalement attachante, pas le sommet de l'album, mais c'est un régal. Enfin, A Trick Of The Tail se finit par 'Los Endos', instrumental saisissant qui réutilise des bribes de 'Squonk', 'Dance On A Volcano', en une sorte de conclusion globale de l'album. Une conclusion parfaite pour un album, on l'a vu, parfait, un des sommets de Genesis, un disque ensoleillé, de sa pochette à ses morceaux, qui sont pour beaucoup assez entraînants. Un vrai chef d'oeuvre de rock progressif !
La face B s'ouvre sur 'Robbery, Assault And Battery,' chanson entraînante sur un voleur pris sur le fait par le propriétaire de la maison qu'il cambriole, et qu'il agresse et tue (apparemment). Une très bonne chanson. Puis Ripples... (les points de suspension sont dans le titre), chanson mémorable de 8 minutes parle de la vieillesse, de la recherche de la jeunesse éternelle mais qui, hélas, ne reviendra jamais. Très mélancolique, et sublime. A Trick Of The Tail, chanson courte donnant son titre à l'album, parle de créatures cornues, avec des queues fourchues, des pieds idem qui, un jour, découvrent l'existence d'un autre genre de créatures, sans queues, sans cornes, et plus grands qu'eux : en gros, nous, les Hommes !! Une chanson très entraînante, le piano est irrésistible, le chant est léger, c'est une chanson totalement attachante, pas le sommet de l'album, mais c'est un régal. Enfin, A Trick Of The Tail se finit par 'Los Endos', instrumental saisissant qui réutilise des bribes de 'Squonk', 'Dance On A Volcano', en une sorte de conclusion globale de l'album. Une conclusion parfaite pour un album, on l'a vu, parfait, un des sommets de Genesis, un disque ensoleillé, de sa pochette à ses morceaux, qui sont pour beaucoup assez entraînants. Un vrai chef d'oeuvre de rock progressif !
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