As was the case for the debut of the group with the exceptional presence of a genuine rock geniuses, Syd Barrett, it exists in the course of Pink Floyd before and after The Dark Side of the Moon. Album of superlatives, it focuses easily the best internal production since The Piper at the Gates of Dawn (1967) and combines the good points: monument progressive rock at its peak, disk-control for testing of purchase of audio system of the time and absolute bestseller of long-format sales in the 1970s, as evidenced by his presence during eight hundred and eighty nine weeks in a row in the list of two hundred best US sales. Such arguments may, by a reversal of the situation, create distrust of the neophyte, thinking that all this belongs to a bygone era of history. Now it is nothing nen as the album in the light spectrum of the rainbow sky is still beyond its context, learn about the integral and indivisible listening to its ten rooms and open new horizons inside each experiment repeated. If the master-ship of progressive rock has experienced some memorable moments later, especially during Wish You Were Here (1975) and The Wall (1979), he would never find such inspiration on the length of an album. The Dark Side of the Moon marks not only an artistic feat from a wobbly concept of Roger Waters on the passing of time and the evils of society (money in terms of tube 'Money'; old age and death in the watch 'Time'; solitude in 'Us and Them'; the folly of 'Brain Damage', the war in watermark) but also a significant technological advance by the use of analog synthesizers like the VCS 3 EMS firm of repeats loop and use the console sixteen tracks of Abbey Road studios, led by the musicians themselves and the sound engineer Alan Parsons. All these advantages employees with remarkable consistency, coupled with the performance of the singer Clare Torry on hyperventilating 'The Great Gig in the Sky', make The Dark Side of the Moon a complete masterpiece, but its time timeless, whose enormous success is not usurped.
Comme ce fut le cas pour les débuts du groupe avec la présence exceptionnelle de l'un des authentiques génies du rock, Syd Barrett, il existe dans le parcours de Pink Floyd un avant et un après The Dark Side of the Moon. Album de tous les superlatifs, celui-ci concentre sans peine la meilleure production interne depuis The Piper at the Gates of Dawn (1967) et cumule les bons points : monument du rock progressif alors à son apogée, disque-témoin pour les tests d'achat de chaîne haute fidélité de l'époque et best seller absolu des ventes de long-format dans les années 1970, comme en témoigne sa présence durant huit cent quatre vingt neuf semaines d'affilée dans la liste des deux cents meilleures ventes américaines. De tels arguments pourraient, par un renversement de situation, susciter la méfiance du néophyte, pensant que tout ceci appartient à un temps révolu de l'histoire. Or, il nen est rien tant l'album au spectre lumineux de l'arc-en-ciel peut encore, au-delà de son contexte, en apprendre sur l'écoute intégrale et indivisible de ses dix pièces et ouvrir de nouveaux horizons sensoriels à chaque expérience répétée. Si le vaisseau-maître du rock progressif a connu quelques moments mémorables par la suite, notamment lors de Wish You Were Here (1975) et The Wall (1979), jamais il ne retrouvera une telle inspiration sur la longueur d'un album.
The Dark Side of the Moon ne marque pas seulement une prouesse artistique à partir d'un concept bancal de Roger Waters sur le temps qui passe et les méfaits de la société (l'argent au chapitre du tube 'Money' ; la vieillesse et la mort dans l'horlogerie de 'Time' ; la solitude dans 'Us and Them' ; la folie de 'Brain Damage' ; la guerre en filigrane) mais aussi une avancée technologique non négligeable par l'emploi de synthétiseurs analogiques comme le VCS 3 de la firme EMS, de séquences répétées en boucle et de l'utilisation de la console seize pistes des studios Abbey Road, pilotée par les musiciens eux-mêmes et l'ingénieur du son Alan Parsons. Tous ces atouts employés avec une cohérence remarquable, ajoutés à la performance de la chanteuse Clare Torry sur l'époumonant 'The Great Gig in the Sky', font de The Dark Side of the Moon un chef d'oeuvre intégral, de son époque mais intemporel, dont le succès démesuré n'est guère usurpé.
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