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Rock Music Blog

jeudi 28 juillet 2016

Yes - Close To The Edge (1972)



Without unwinding some philosophical concepts by the week, it can be considered that if Close to the Edge remains as one of the greatest albums in the history of progressive rock (and take risks as the best album of the group) is that it was recorded in pain, and pressure. In 1972, Yes has indeed edit a record that has finally met success (Fragile), and although on an upward slope, is sentenced to do at least as well. Moreover, keyboardist Rick Wakeman, initially committed to its technical and musical skills, attach the months to increasingly intervene in the aesthetic options of the group. Finally, Bill Bruford (including battery - no doubt the most inventive of his generation in the world stage of this genre - a lot done for the musical development of Yes) supports less the mystical literary pretensions Jon Anderson. So you just have three parts to Yes (the title track) to write the most tormented page, refined, developed, built, and lyrical in its history. The suite occupies an entire face of the original edition is also, in its formal perfection, an absolute point of no return in the history of the group. Close to the Edge, fed the course of Yes since its inception, its mistakes and triumphs, is a true masterpiece, but it also induces the end of an era in its midst. The album will reach the third position in the charts.

Sans dérouler quelques concepts philosophiques à la petite semaine, on peut néanmoins considérer que si Close to the Edge reste comme l’un des plus grands albums de l’histoire du rock progressif (et, prenons des risques, comme le meilleur album du groupe), c’est qu’il a été enregistré dans la douleur, et la pression.  En 1972, Yes vient en effet d’éditer un disque qui a enfin rencontré le succès (Fragile), et, bien que sur une pente ascensionnelle, est donc condamné à faire au moins aussi bien. De plus, le claviériste Rick Wakeman, initialement engagé pour ses compétences techniques et musicales, s’attachent au fil des mois à de plus en plus intervenir dans les options esthétiques du groupe. Enfin, Bill Bruford (dont la batterie – sans nul doute la plus inventive de sa génération dans la scène mondiale de ce genre musical – a énormément fait pour l’essor musical de Yes) supporte de moins en moins les prétentions mystico-littéraires de Jon Anderson.  Il faut donc simplement trois pièces à Yes (dont le morceau-titre) pour écrire la page la plus tourmentée, raffinée, élaborée, construite, et lyrique de son histoire. La suite qui occupe l’ensemble d’une face de l’édition originale constitue également, dans sa perfection formelle, un absolu point de non-retour dans l’histoire du groupe. Close to the Edge, nourri du parcours de Yes depuis sa création, de ses errements et de ses triomphes, est un authentique chef d’œuvre, mais il induit également la fin d’une époque en son sein. L’album atteindra la troisième position des charts.

1972

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