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Rock Music Blog

jeudi 28 juillet 2016

Cat Stevens - Tea For The Tillerman (1970)



Difficult to succeed an album level Mona Bone Jakon and yet ... Released a few months after the latter, Tea For The Tillerman remains in the pop-folk tone of its predecessor while adding new elements like violins or some subtle arrangements (signed Del Newman) that make this album one of the most successful of the English genius. Following the success of his previous work Cat Stevens will serve us again a sumptuous blend of melody and sobriety. From the first chords we feel that the Cat has preserved the sensitivity of previous albums. "Where Do the Children Play? "Opens this journey to the heart of melancholy and sweetness shown into the beautiful pouch signed Cat Stevens himself. Two beautiful pieces away, and after the interplanetary hit "Wild World" that everyone has at least heard it once, Cat Stevens offers us the ride of the century: "Sad Lisa". His piano intro to cry the least sensitive of you, his beautiful violin solo and the song mastered to perfection make this song one of the most beautiful of the 70's. The whole album is full of rooms all as beautiful as each other as the dialogue between father and son of the cult classic "Father & Son" or the gospel flew the ultimate piece. Nothing to throw, everything is beautiful, sublime, great - the Cat takes us over the 37 minutes in the heart of sensitivity and its so personal universe.

Difficile de succéder à un album du niveau de Mona Bone Jakon et pourtant...Sorti quelques mois après ce dernier, Tea For The Tillerman reste dans la tonalité pop-folk de son prédécesseur tout en y ajoutant de nouveaux éléments comme des violons ou encore quelques subtils arrangements (signés Del Newman) qui font de cet album l’un des plus réussis du génie anglais. Fort du succès de son œuvre précédente Cat Stevens va nous servir à nouveau un somptueux mélange entre mélodie et sobriété. Dès les premiers accords on sent que le Cat a conservé toute la sensibilité des albums précédents. « Where Do the Children Play? » ouvre ce voyage au cœur de la mélancolie et de la douceur représenté jusque dans la superbe pochette signée Cat Stevens himself. Deux magnifiques morceaux plus loin, et après le tube interplanétaire « Wild World », que tout le monde a au moins déjà entendu une fois, Cat Stevens nous offre la ballade du siècle : « Sad Lisa ». Son intro au piano à faire pleurer les moins sensibles d'entre vous, son superbe solo de violon ainsi que le chant maîtrisé à la perfection font de cette chanson l'une des plus belles des 70's. L’album entier est parsemé de pièces toutes aussi belles les unes que les autres comme le dialogue entre père et fils du cultissime « Father & Son » ou encore l’envolé gospel de l’ultime morceau. Rien est à jeter, tout est beau, sublime, grand – le Cat nous fait voyager durant ces 37 minutes au cœur de la sensibilité et de son univers si personnel.


1970


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