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Rock Music Blog

jeudi 28 juillet 2016

Roxy Music - Avalon (1982)




The path is long will extravagance and decadent chants to bright legitimacy of Avalon. A decade has passed which saw the advent of these precursors and their contemporaries (Bowie, Sparks, Alice Cooper) now at the time of recognition and distributed heritage, found in a spectrum ranging from gothic Bauhaus , romantic electropop Cure Depeche mode, Simple Minds or Japan. In the latter, David Sylvian seems most worthy representative of British elegance. Under the leadership of Bob Clearmountain Rhett Daves and the Compass Point Studios in Nassau (Bahamas) and Power Plant in New York, Roxy Music, which is no more than the treasure of Bryan Ferry, is getting a facelift at great expense. Manzanera and Mackay, faithful to the post, are surrounded by a few sizes studios (Neil Hubbard, Alan Spenner, Andy Newmark, Neil Jason, Jimmy Maelen and Fonzi Thornton) that hold back their enthusiasm somewhat. Their interventions parameterized and domesticated flow throughout these ten tracks to smooth production. In this case the tubes come out like pearls: 'More Than This',' Avalon 'and' Take A Chance With Me 'adapt easily to the FM radio format, and' The Space Between 'or' While My Heart Is Still Beating 'might as well have to comply. Needless to seek literary references, this time master Ferry abandons brainstorming for evoking feelings of some real or fictional lovers. Ten beaches full evanescence that make you dream and rank the Viva! Manifesto and other Flesh + Blood status pretty drafts. These small touches of pastel synths on a relentless rhythm, without this voice finally laid bare fact, some choirs are adjusted all the substance of this trip mythological land. The rich instrumental 'India' transports us to the ultimate place where Roxy Music Omega reached its extreme sophistication where the easy listening and pop stylized find their culmination. Feat efficiency, Avalon unveils beautiful melodies in this sumptuous setting.

Le chemin parcouru est long qui va des extravagances et mélopées décadentes à la brillante légitimité d’Avalon. Une décennie s’est écoulée qui a vu l’avènement de ces précurseurs et de leurs contemporains (Bowie, Sparks, Alice Cooper) maintenant à l’heure de la reconnaissance et de l’héritage distribué, retrouvé dans un spectre allant des gothiques Bauhaus, Cure aux romantiques électropop Depeche Mode, Simple Minds ou Japan. Chez ces derniers, David Sylvian semble le plus digne représentant de l’élégance british. Sous la férule de Rhett Daves et Bob Clearmountain aux Compass Point Studios de Nassau (Bahamas) et au Power Plant de New York, Roxy Music qui n’est plus que le trésor de Bryan Ferry, se refait un lifting à grands frais. Manzanera et Mackay, fidèles au poste, sont entourés de quelques pointures des studios (Neil Hubbard, Alan Spenner, Andy Newmark, Neil Jason, Jimmy Maelen et Fonzi Thornton) qui brident quelque peu leurs ardeurs. Leurs interventions paramétrées et domestiquées coulent au long de ces dix titres à la production lisse. De cet écrin sortent les tubes comme des perles : 'More Than This', 'Avalon' et 'Take A Chance With Me' s’adaptent sans peine au format des radios FM, et 'The Space Between' ou 'While My Heart Is Still Beating' auraient tout aussi bien pu s’y soumettre. Inutile de chercher des références littéraires, cette fois maître Ferry délaisse le brainstorming pour l’évocation de quelques sentiments amoureux réels ou fictifs. Dix plages de pleine évanescence qui font rêver et rangent les Viva !, Manifesto et autre Flesh + Blood au statut de jolies ébauches. Ces petites touches de synthés pastel sur une rythmique implacable, cette voix sans effet enfin mise à nu, quelques chœurs ajustés sont toute la substance de ce voyage en terre mythologique. Le riche instrumental 'India' nous transporte dans ce lieu ultime où Roxy Music atteint son Oméga de la sophistication extrême où le easy listening et la pop stylisée trouvent leur aboutissement. Prouesse d’efficacité, Avalon dévoile de superbes mélodies sous ce somptueux décor.


1982

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