2006: Amy Winehouse is surely one of the most talented female artists of recent years. When she is older than 20 years, her first album Frank sells more than 250,000 copies and earned him the Ivor Novello Awards for writing the irresistible Stronger Than Me. While Frank was the mark of his original jazz training, Back to Black is imbued with a deep soul with hints of Motown. Certainly the shape is lightened, but Amy has ensured a high class result with Mark Ronson and Salaam Remi in producing or using the Dap-Kings on You Know I'm No Good.
'Tryin' to get me go to rehab, I say no, no, no 'proclaims the hit of 2007 with this amazing voice straight out of a standard Supremes. Who has not been amazed to learn after a first listen that this voice was not that of a soul legend on the back or a black girl taken from a slum Detroit and pushed by his parents, but indeed that of a young Englishwoman of the middle class?
The illusion continues on an entire album to the retro production, bouncy rhythms and ubiquitous brass provided by The Dap-Kings - Sharon Jones of the group - which is reminiscent of Dusty Springfield Dusty In Memphis (1968) recorded in the Stax studios. Of these eleven original compositions, Amy Winehouse - the girl with tattoos and twelve many addictions - flirts with the canons of the genre: the inveterate infidel ( 'You Know I'm No Good'), jealous ( 'Me & Mr . Jones' would be a reference to the rapper Nas, an acquaintance), bitter player ( 'Love is a Losing Game') and the fatal widow (the sumptuous' Back to Black '), very comfortable in these languorous ballads. instant classic, Back to Black conceals its assets in a voice capable of taking the listener into his net for not releasing. Before the phenomenal success of the album on the length (parallel to the antics of singer), it is reissued a year later in a double deluxe Version (under black cover) including seven new tracks, including the unexpected classic 'Valerie' popularized by Mark Ronson.
2006 : La France ne la connaît pas encore, mais Amy Winehouse est sûrement l'une des artistes féminines la plus douée de ces dernières années. Ce qui n'a d'ailleurs pas échappé à nos voisins britanniques, puisqu'en 2003, alors qu'elle n'est âgée que de 20 ans, son premier album Frank vend plus de 250 000 copies et lui vaut le Ivor Novello Award pour l'écriture de l'irrésistible Stronger Than Me. Alors que Frank portait la marque de sa formation jazz d'origine, Back To Black s'imprègne d'une soul profonde aux accents de Motown. Certes la forme s'est allégée, mais Amy s'est assuré un résultat de grande classe avec Mark Ronson et Salaam Remi à la production ou l'aide des Dap-Kings sur You Know I'm No Good.
'Tryin’ to get me go to rehab, I say no, no, no' clame le hit de l’année 2007 avec cette voix époustouflante tout droit sortie d’un standard des Supremes. Qui n’a pas été bluffé d’apprendre après une première écoute que cette voix n’était nullement celle d’une légende soul sur le retour ou d’une fille noire extraite d’un taudis de Detroit et poussée par ses parents, mais bien celle d’une jeune Anglaise de la classe moyenne ?
L’illusion se poursuit sur la totalité d’un album à la production rétro, aux rythmiques sautillantes et aux cuivres omniprésents assurés par The Dap-Kings - le groupe de Sharon Jones - qui n’est pas sans évoquer la Dusty Springfield de Dusty In Memphis (1968) enregistré dans les studios Stax.
Sur ces onze compositions originales, Amy Winehouse – la fille aux douze tatouages et autant d’addictions – flirte avec les canons du genre : l’infidèle invétérée ('You Know I’m No Good'), la jalouse ('Me & Mr. Jones' qui serait une référence au rappeur Nas, une de ses connaissances), la joueuse amère ('Love Is a Losing Game') et la veuve fatale (le somptueux 'Back to Black'), très à l’aise dans ces langoureuses ballades.
Classique instantané, Back to Black recèle dans ses atouts une voix capable de prendre l’auditeur dans ses filets pour ne plus le lâcher. Devant le succès phénoménal de l'album sur la longueur (parallèlement aux frasques de la chanteuse), celui-ci est réédité un an après dans une version double deluxe (sous couverture noire) incluant sept nouveaux titres, dont le classique inattendu 'Valerie' popularisé par Mark Ronson.
L’illusion se poursuit sur la totalité d’un album à la production rétro, aux rythmiques sautillantes et aux cuivres omniprésents assurés par The Dap-Kings - le groupe de Sharon Jones - qui n’est pas sans évoquer la Dusty Springfield de Dusty In Memphis (1968) enregistré dans les studios Stax.
Sur ces onze compositions originales, Amy Winehouse – la fille aux douze tatouages et autant d’addictions – flirte avec les canons du genre : l’infidèle invétérée ('You Know I’m No Good'), la jalouse ('Me & Mr. Jones' qui serait une référence au rappeur Nas, une de ses connaissances), la joueuse amère ('Love Is a Losing Game') et la veuve fatale (le somptueux 'Back to Black'), très à l’aise dans ces langoureuses ballades.
Classique instantané, Back to Black recèle dans ses atouts une voix capable de prendre l’auditeur dans ses filets pour ne plus le lâcher. Devant le succès phénoménal de l'album sur la longueur (parallèlement aux frasques de la chanteuse), celui-ci est réédité un an après dans une version double deluxe (sous couverture noire) incluant sept nouveaux titres, dont le classique inattendu 'Valerie' popularisé par Mark Ronson.
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