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Rock Music Blog

lundi 15 août 2016

Budgie - Squawk (1972)



Budgie remains to be considered among the best runners knives of hard rock, a rank he will never manage to overcome despite a valiant effort. Originally presented by its producer as a British equivalent of Grand Funk Railroad, Welsh trio is positioning actually halfway between Black Sabbath and Led Zeppelin in an ideal compromise desire. Now guitarist Tony Bourge can compete neither with the riffs of Tony Iommi or with virtuosity and versatility of Jimmy Page. Burke Shelley is revealed about him not as sensual as piailleur Robert Plant or as a singer Ozzy Osbourne threatening. Budgie not, however, slow to move to a more specific style, rich and subtle, without being able to identify a dominant feature outrageous and unifying. Budgie made on this second album undeniable progress. More abundant, memorable riffs are mostly better exploited while the ballads are proving less frequent and generally less rudimentary. Stronger, more consistent than its predecessor, this album suffers in contrast to its subsequent disposal, and unfortunately remains less prominent.

Budgie reste à considérer parmi les meilleurs seconds couteaux du hard rock, un rang qu’il ne parviendra jamais à dépasser malgré de valeureux efforts. Présenté initialement par son producteur comme un équivalent britannique de Grand Funk Railroad, le trio gallois se positionne en réalité à mi-chemin entre Black Sabbath et Led Zeppelin dans un désir d’idéal compromis. Or le guitariste Tony Bourge ne peut rivaliser ni avec les riffs de Tony Iommi ni avec la virtuosité et la polyvalence de Jimmy Page. Burke Shelley ne se révèle quant à lui pas un piailleur aussi sensuel que Robert Plant ni un chanteur aussi menaçant qu’Ozzy Osbourne. Budgie ne tarde pourtant pas à évoluer vers un style plus spécifique, riche et subtil, sans pour autant pouvoir dégager une caractéristique dominante outrancière et fédératrice. Budgie effectue sur ce deuxième album d’incontestables progrès. Plus abondants, les riffs mémorables sont surtout mieux exploités tandis que les douces ballades se révèlent moins fréquentes et globalement moins rudimentaires. Plus solide, plus consistant que son prédécesseur, ce disque souffre en revanche de sa sortie ultérieure et demeure hélas moins marquant.

1972

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