Title Pathfinder, the third album Beggars Opera is quite pleasant to listen to. The songs are neither complex nor very original but nicely shot with arrangements dominated by acoustic piano and Hammond organ, mellotron being put on hold (you hear that on a title: 'MacArthur Park') since Virginia Scott left the department in keyboards only Alan Park. Some melodies are even more catchy as 'The Witch' who enjoys working with the competent guitar Rick Gardiner and sour organ solos. The title and 'Mrs. Doubtfire' are also the two highlights of the disc with dark moods, sounds horrific, terrifying cries of witches and occult texts that evoke both the first Black Widow satanic opus that Uriah Heep ( and it is even more obvious when confronted with vocal harmonies of the title track). We note also the excellent 'From Shark To Haggis' (shark to haggis, a traditional Scottish dish) which, beginning as a movie theme ends with a kind of furious electric jitter, reminding in extremis the Scottish origins of group. Contrary to what its title might let imagine, Pathfinder invents any way, does not indicate any track. It's just good English rock unpretentious, in line with a lot of other productions this year.
Intitulé Pathfinder, le troisième album de Beggars Opera est plutôt agréable à écouter. Les chansons ne sont ni complexes ni très originales mais joliment tournées avec des arrangements dominés par le piano acoustique et l'orgue Hammond, le mellotron étant mis en veilleuse (on ne l'entend que sur un titre : 'MacArthur Park') depuis que Virginia Scott a laissé le département claviers au seul Alan Park. Certaines mélodies sont même plutôt accrocheuses comme 'The Witch' qui bénéficie d'un travail à la guitare compétent de Rick Gardiner et de solos acidulés d'orgue. Ce titre et 'Madame Doubtfire' sont d'ailleurs les deux moments forts du disque avec des ambiances sombres, des bruitages horrifiques, des cris effrayants de sorcières et des textes occultes qui évoquent aussi bien le premier opus satanique de Black Widow que Uriah Heep (et pour ce dernier, c'est encore plus flagrant quand on est confronté aux harmonies vocales du titre éponyme). On retiendra aussi l'excellent 'From Shark To Haggis' (du requin au haggis, un plat traditionnel écossais) qui, en commençant comme un thème de film se clôture par une sorte de gigue électrique endiablée, rappelant ainsi in extremis les origines écossaises du groupe. Contrairement à ce que son titre pourrait laisser imaginer, Pathfinder n'invente aucune voie, n'indique aucune piste. C'est juste du bon rock anglais sans prétention, dans la lignée de pas mal d'autres productions cette année-là.
Intitulé Pathfinder, le troisième album de Beggars Opera est plutôt agréable à écouter. Les chansons ne sont ni complexes ni très originales mais joliment tournées avec des arrangements dominés par le piano acoustique et l'orgue Hammond, le mellotron étant mis en veilleuse (on ne l'entend que sur un titre : 'MacArthur Park') depuis que Virginia Scott a laissé le département claviers au seul Alan Park. Certaines mélodies sont même plutôt accrocheuses comme 'The Witch' qui bénéficie d'un travail à la guitare compétent de Rick Gardiner et de solos acidulés d'orgue. Ce titre et 'Madame Doubtfire' sont d'ailleurs les deux moments forts du disque avec des ambiances sombres, des bruitages horrifiques, des cris effrayants de sorcières et des textes occultes qui évoquent aussi bien le premier opus satanique de Black Widow que Uriah Heep (et pour ce dernier, c'est encore plus flagrant quand on est confronté aux harmonies vocales du titre éponyme). On retiendra aussi l'excellent 'From Shark To Haggis' (du requin au haggis, un plat traditionnel écossais) qui, en commençant comme un thème de film se clôture par une sorte de gigue électrique endiablée, rappelant ainsi in extremis les origines écossaises du groupe. Contrairement à ce que son titre pourrait laisser imaginer, Pathfinder n'invente aucune voie, n'indique aucune piste. C'est juste du bon rock anglais sans prétention, dans la lignée de pas mal d'autres productions cette année-là.
1972
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