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Rock Music Blog

dimanche 31 juillet 2016

The Sacred Mushroom - The Sacred Mushroom (1969)




While their Sacred Mushroom name rather evokes images of psychedelic rock of the 60s or acid, the musical roots of the group are significantly more bluesy. It is, in fact, the great blues heavy, typical of the late sixties. Larry Goshorn guitar work is brilliant throughout the disc. His guitar playing reminds a bit, the game gentle Eric Clapton when he played with Cream. His brother Danny pleasantly handles the vocals on this album. Songs like "I Do not Like You 'and' Lifeline 'contain large guitar parts. A bluesy riff with a nice melody begins the album, Cream style, of course, with a voice almost uncannily like that of Jack Bruce and catchy choruses, it's 'I Do not Like You'. 'You Will not Be Sorry "follows in the same vein as the first song, almost too influenced by Cream, and it is very good melodic blues. Rock 'Catatonia Lover offers guitar riffs and solos that accelerate the pace a little before the Blues' Chicago Blues' and harmonica' All Good Things Must Have An End '. We find it is inspired a version of 'I'm Not Like Everybody Else' the Kinks played as a ballad with a gently amplified guitar. Danny Goshorn reveals a very beautiful melodic voice. The song retains a pop sensibility quite timeless incorporating the interlaced acoustic and electric guitar lines. Sound, melody and the guitar solo makes all the attraction. 'I Take Care' is a pure blues played with just a guitar and a harmonica. 'Mean Old World' is against much more electric, more rock. The dominant guitar 'Lifeline' concludes this album Sacred Mushroom and, of course, that piece of blues is again full of guitar solos. With 6 minutes, which is also the longest song on the album, and it seems that the group gave all the best of himself at the end to get people to listen to the album again and again. The song is somewhat reminiscent lFleetwood Mac or Chicken Shack. So it's a whole album that releases a lot of energy. It is highly recommended to collectors album of heavy blues rock of the sixties.

Alors que que leur nom de Sacred Mushroom évoque plutôt des images de rock psychédélique des années 60 ou de l'acide, les racines musicales du groupe sont nettement plus bluesy. C'est, en fait, du grand heavy blues, typique de la fin des années soixante. Le travail de guitare de Larry Goshorn y est brillant tout au long du disque. Son jeu de guitare rappelle, un peu, le jeu tout en douceur d'Eric Clapton quand il jouait avec Cream. Son frère Danny gère agréablement le chant sur cet album. 
Des chansons comme 'I Don't Like You' et 'Lifeline' contiennent des grandes parties de guitare.
Un riff bluesy avec une jolie mélodie commence l'album, style Cream, bien sûr, avec une voix ressemblant presque à s'y méprendre à celle de Jack Bruce et des chœurs accrocheurs, c'est 'I Don't Like You'. 'You Won't Be Sorry' suit dans la même lignée que le premier morceau, pratiquement lui aussi influencé par Cream, et c'est du très bon blues mélodique. Le rock 'Catatonie Lover' propose des riffs de guitare et des solos qui accélèrent un peu la cadence avant le blues de 'Chicago Blues' et l'harmonica de 'All Good Things Must Have An End'. On retrouve une reprise plus qu'inspirée du 'I'm Not Like Everybody Else' des Kinks jouée comme une ballade avec une guitare délicatement amplifiée. Danny Goshorn révèle une jolie voix très mélodique. Le morceau conserve une sensibilité pop tout à fait intemporelle qui incorpore l'entrelac des lignes de guitare acoustique et électrique. Le son, la mélodie et le solo de guitare en font tout l'attrait. 'I Take Care' est un blues pur joué avec juste une guitare et un harmonica. 'Mean Old World' est par contre beaucoup plus électrique, plus rock. 
La guitare dominante de 'Lifeline' conclut cet album de Sacred Mushroom et, bien sûr, ce morceau de blues est de nouveau bourré de solos de guitare. Avec ses 6 minutes et demie, c'est aussi la plus longue chanson de l'album, et il semble que le groupe ait donné tout le meilleur de lui même à la fin afin d'inciter les gens à réécouter l'album encore et encore. Le morceau rappelle quelque peu lFleetwood Mac ou Chicken Shack. C'est donc, dans son ensemble un album qui dégage beaucoup d'énergie. Il est fortement recommandé aux collectionneurs d'album de heavy blues rock des années soixante.

1969

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