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Rock Music Blog

dimanche 31 juillet 2016

Sting - ... Nothing Like The Sun (1987)




2nd solo album from the former singer-bassist Police, Nothing Like the Sun confirms it was necessary Sting supremacy in the musical landscape of the late 80s he affirms his maturity and commitment. It is also a melting pot of influences.'Lazarus Heart 'opens the way with a brisk pace but vaguely Latin jazz orchestration. 'Straight To My Heart', a little further, it also operates Latin-jazzy mix, with a rhythm contretempo is sometimes heard in the Font folder. Then emotion takes precedence with first 'Be Still My Beating Heart': a lot of poetry in words and melodies that soar, chiselled melodies goldsmith, both varied and consistent within the same song. The guitar is provided by the former friend, Andy Summers. Sweet melancholy with sober 'Secret Marriage' or 'Sister Moon', languorous jazz for insomniacs moody saxophone solo intro by Branford Marsalis. Even the cover of Jimi Hendrix, 'Little Wing', with the participation of Gil Evans, is very refined, planing. delicately subtle music for 'English Man In NY', jazzy reggae in a very British elegance drifting towards a musical bridge hip-hop noting that New York is a place of cultural mix. Sting gives even a kind of rap jazzy sauce with a very personal adaptation of the legend of Noah's Ark, 'Rock Steady'. Finally, the maturity of Sting is expressed through a series of very involved songs: the very explicit "History will teach us nothing," the story is written with the blood of men, on a pure reggae juice, effective . Sting and holds an event in the history of the late 80s: the widows of the Pinochet dictatorship, 'They Dance Alone' with a text spoken in Spanish, the melodies are very fluid here with sounds of flutes and guitars dry (Clapton and Knopfler guests) and a late salsa by way of hope. 'Fragile', more or less central position, is the jewel of this album, rhythmic swaying without excess, and intro guitar solo to fall, and still very beautiful texts illustrating a sublime melody. So what are delicious ingredients that are eaten at the table for Sting, very different, very balanced and always seasoned with a touch of jazz, his first love. To consume without moderation ... 

2° album solo de l’ex-chanteur-bassiste de Police, Nothing Like the Sun confirme s’il était nécessaire la suprématie de Sting dans le paysage musical de cette fin des années 80. Il y affirme sa maturité et son engagement. C’est aussi un melting pot d’influences.'Lazarus Heart' ouvre le bal avec un rythme enlevé vaguement latino mais une orchestration jazzy. 'Straight To My Heart', un peu plus loin, exploite également ce mélange jazzy-latino, avec un rythme à contretempo que l’on entendait parfois dans le répertoire de Police. Puis l’émotion prend le pas avec d’abord 'Be Still My Beating Heart' : beaucoup de poésie dans les mots et des mélodies qui s’envolent, mélodies ciselées en orfèvre, à la fois variées et cohérentes au sein du même morceau. La guitare est assurée par l'ex-compère, Andy Summers. Douce mélancolie avec le très sobre 'Secret Mariage', ou 'Sister Moon', jazz langoureux pour insomniaques lunatiques, solo de saxophone en intro par Branford Marsalis. Même la reprise de Jimi Hendrix, 'Little Wing', avec la participation de Gil Evans, est très épurée, planante.
Musique délicatement subtile pour 'English Man In NY', reggae jazzy d’une élégance toute british dérivant vers un pont musical hip-hop soulignant que New York est un lieu de mélange culturel.
Sting donne même dans une espèce de rap sauce jazzy avec une adaptation très personnelle de la légende de l’arche de Noé, 'Rock Steady'.  Enfin, la maturité de Sting s’exprime au travers d’une série de chansons très impliquées : le très explicite "History will teach us nothing", l’histoire s’écrit avec le sang des hommes, sur un reggae pur jus, efficace. Et Sting retient un évènement de l’histoire de cette fin de décennie 80 : les veuves de la dictature Pinochet, 'They Dance Alone', avec un texte parlé en espagnol, les mélodies sont ici très fluides avec des sonorités de flûtes et de guitares sèches (Clapton et Knopfler en guests) et une fin salsa en guise d’espoir. 'Fragile', en position plus ou moins centrale, est le joyau de cet album, rythmique chaloupée sans excès, intro et solo de guitare à tomber, et toujours de très beaux textes illustrant une mélodie sublime. Ce sont donc de succulents ingrédients que l’on déguste à la table de Sting, très variés, très équilibrés et toujours assaisonnés d’une touche de jazz, son premier amour. A consommer sans modération… Bon appétit.


1987


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