🎸 Sabbatis - Sabbatis (1970)

Pochette de l’album

🇫🇷 Biographie (Français)

Originaire de Syracuse (New York), Sabbatis fut un obscur groupe américain des débuts du hard rock psychédélique. Enregistré en 1970 mais resté longtemps inédit officiellement, leur unique album présente un mélange brut et hypnotique de heavy rock, de psychédélisme et de blues, porté par l’omniprésence d’un orgue Hammond envoûtant et des guitares lourdes. Très représentatif de la scène underground américaine de l’époque, cet album a progressivement gagné un statut culte chez les collectionneurs et amateurs de hard psych.

🇬🇧 Biography (English)

Hailing from Syracuse, New York, Sabbatis was a little-known American band of early psychedelic hard rock. Recorded in 1970 but long unreleased officially, their sole album features a raw and hypnotic blend of heavy rock, psychedelia, and blues, driven by prominent Hammond organ and heavy guitars. Highly representative of the American underground scene of the time, the album has since earned cult status among hard psych collectors and enthusiasts.

💿 Trackliste

1. Everyday Is Cool

2. Green Glass And All That Jazz

3. The Devil’s In You

4. I’m Not Afraid

5. The Juggle

6. Crystal Mirror

7. Another Day

8. Something In Your Eyes

9. Lose My Mind

10. Bought And Sold

🎸 Musiciens

• Frank Anzalone – chant, guitare

• Nick Koss – orgue Hammond

• Al Gagne – basse

• Rocky Kaler – batterie

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👉 Sabbatis – Sabbatis (1970)

🎸 Kahvas Jute – Wide Open (1971)

Pochette de l'album

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🇫🇷 Biographie (Français)

Kahvas Jute est un groupe australien formé à Sydney en 1970, acclamé dans les cercles de rock psychédélique et progressif pour son unique album sorti en janvier 1971, Wide Open via Infinity Records. Le line-up original comprenait Dennis Wilson (guitare, chant), Tim Gaze (guitare solo, chant), Bob Daisley (basse, chant) et Dannie Davidson (batterie) . L'album est salué pour ses guitares tranchantes, ses structures mélodiques expansives et son groove puissant, le tout servi par un jeu collectif remarquable .

Wide Open est un exemple achevé de hard rock psychédélique underground à son expression la plus inventive et la plus puissante. Comme le suggère le titre, Wide Open est un mélange musical fluide et large de rock, blues et jazz, avec une touche de folk acide pour faire bonne mesure. Très influencé par le son anglais, mais loin d'être une copie servile du modèle britannique, l'album porte la saveur unique du pays des kangourous.

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🇬🇧 Biography (English)

Formed in Sydney in 1970, Kahvas Jute issued their sole album Wide Open in January 1971 on Infinity Records. The lineup featured Dennis Wilson (guitar, vocals), Tim Gaze (lead guitar, vocals), Bob Daisley (bass, vocals), and Dannie Davidson (drums). Celebrated for its dual-guitar attack, melodic depth, and tight rhythm section, Wide Open is recognized as one of Australia's premier late‑60s/early‑70s psychedelic‑prog albums.

Wide Open is a consummate example of underground psychedelic hard rock at its most inventive and powerful expression. As the title suggests, Wide Open is a free-flowing and expansive musical blending of rock, blues and jazz, with a touch of acid folk thrown in for good measure. It's a very English-influenced sound but far from being a slavish copy of the british model, the album bears a uniquely Australia flavor.

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💿 Trackliste

Face A

1. Free

2. Odyssey

3. Up There

4. She's So Hard To Shake

5. Vikings

Face B
6. Steps of Time
7. Twenty Three
8. Ascend
9. Parade Of Fools (environ 9 minutes) 

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🎸 Musiciens

• Dennis Wilson : guitare, chant

• Tim Gaze : guitare solo, chant

• Bob Daisley : basse, chant

• Dannie Davidson : batterie
  Produit par Pat Aulton, enregistré aux Festival Studios de Sydney début 1971.

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👉 Kahvas Jute – Wide Open (1971) 

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🔑 Mots-clés SEO

kahvas jute wide open 1971, kahvas jute album, australia psychedelic rock, hard prog rock, bob daisley debut, tim gaze guitar, dannie davidson drums, sydney 70s rock, dual guitar psych rock, free odyssey parade of fools

Camper Van Beethoven - Telephone Free Landslide Victory (1985)

Not simply a rock group but not anything else, Camper Van Beethoven pulled off a series of entertaining fusions throughout its debut record, as the opening song "Border Ska" indicates by name alone. Eastern European folk, tropical grooves, post-punk atmospherics, country laid-back good times, with lyrics about Mao, Greece, and more. Lowery's lead vocals aren't much like what his more famous work in Cracker would indicate, being more speak-singing through shaggy dog stories. The arrangements are eminently suited, sounding a bit like the thick and fuzzy flow of many others productions but with just enough of a crisp edge.

Non seulement un groupe de rock, mais rien d'autre non plus, Camper Van Beethoven propulse une série de fusions entrainantes tout au long de son premier album, comme la chanson d'ouverture "Border Ska" l'indique par son seul titre. Folklore d'Europe orientale, rythmes tropicaux, atmosphères post-punk alternent avec un country rock paresseux avec des paroles sur Mao, la Grèce, et plus encore. La voix de Lowery n'est pas très différente de sa prestation dans Cracker, soit parler-chanter à travers des histoires de chiens hirsutes. Les arrangements sont éminemment adaptés, sonnant un peu comme l'écoulement épais et trouble de beaucoup d'autres productions, mais avec juste assez d'un bord croustillant.

Camper Van Beethoven - Telephone Free Landslide Victory (LP)

1985

Townes Van Zandt - Townes Van Zandt (1969)

On his third album, Townes Van Zandt recut three crucial tracks from his debut album, 'For The Sake Of The Song', 'Waiting Around To Die', and 'I'll Be Here In The Morning' . Actually, Van Zandt rerecorded songs from his first album because he disliked the earlier recordings.) As usual, his lyrics touched on desperate themes, notably in the ballad 'Lungs,' but they were still highly poetic, especially the album-closing 'None But The Rain' which reflected on a failed relationship.

Sur son troisième album, Townes Van Zandt a repris trois pistes cruciales de son premier album, "For The Sake Of The Song", "Waiting Around To Die» et «I'll Be Here In The Morning". En fait, Van Zandt avait préenregistré ces chansons de son premier album parce qu'il détestait les enregistrements précédents. Comme d'habitude, ses paroles portaient sur des thèmes désespérés, notamment dans la ballade "Lungs", mais elles étaient encore très poétiques, en particulier le titre qui clôt l'album "None But The Rain», qui dépeint l'échec d'une relation.

Townes Van Zandt (LP)

1969

Joe Henri - Civilians (2007)

Welcome to the humid, claustrophobic, darkness of Civilians. Looking for the heart in the center of any Joe Henry recording is a labyrinthine exercise that ultimately leads to bemusement, and sometimes, outright frustration. Perhaps that is because it's on display at every moment. So big, so bruised, and papered with tattered words, phrases, and sad but true jokes. Civilians has as many stories attached as any record Henry's written, but they're so finely crafted now that the singer almost disappears in their flickering appearances on the wall of the mind of the listener.

Bienvenue dans l'ambiance moite, confinée et obscure de Civilians. Rechercher le coeur au centre de tout enregistrement de Joe Henry est un exercice labyrinthique qui conduit finalement à effarement, et parfois, là a frustration pure et simple. Peut-être est-ce parce qu'il est exposé à chaque instant. Si grand, si meurtri, et tapissé avec des mots en lambeaux, des phrases et des blagues tristes mais vraies. Civilians raconte beaucoup d'histoires comme chaque album que Henry a écrit, mais si finement construites que le chanteur disparaît presque dans leurs apparitions vacillantes sur le mur de l'esprit de l'auditeur.

Joe Henry - Civilians (LP)

2007

Chris Cacavas - Love's Been Discontinued (2009)

Keyboardist of Green on Red and a solo artist for twenty years, Chris Cacavas is definitely left a huge mark in rock’n'roll. But Love’s Been Discounted is likely his crowning masterpiece when at least in the solo period. I don’t know much about the events that happened in Chris’ life that fueled this record with inspiration, but record seems like a break-up record, a serious redefinition of the term 'love' for sure. Musically, it’s a soft record with wonderful guitar solos, songs that dramatically build up. Incredible background harmonizing that takes you by surprise at the most unsuspecting moments often constitute the most dramatic places of this record.

Claviériste de Green on Red et artiste solo depuis vingt ans, Chris Cacavas a certainement laissé une énorme empreinte sur le rock'n'roll. Mais Love's Been Discontinued est probablement son œuvre la plus achevée tout au moins dans sa période solo. On ne sait pas si ce sont les événements qui se sont produits dans la vie de Chris qui a alimenté son inspiration, mais cet enregistrement semble comme un disque rupture, une redéfinition sérieuse du terme amour pour sûr. Musicalement, c'est un disque doux avec de magnifiques solos de guitare qui soutiennent les chansons de façon spectaculaire. L'incroyable fond d'harmonies qui vous prend par surprise aux moments les plus inattendus apporte souvent les instants les plus dramatiques de cet album.

Chris Cacavas - Who's Your Whore

Chris Cacavas - All That Air

Chris Cacavas - Tell Me Everything

From 'Love's Been Discontinued - Chris Cacavas (2009)

🎸 Alejandro Escovedo – Gravity (1992)

Pochette de l'album

🇫🇷 Biographie (Français)

Issu d’une famille de musiciens légendaires, Alejandro Escovedo (frère de Pete Escovedo et oncle de Sheila E.) a d’abord brillé dans des groupes punk comme The Nuns et roots rock comme Rank and File. Gravity, son tout premier album solo sorti en 1992, marque un virage plus introspectif. Cet opus tisse une folk mélancolique, souvent dépouillée, empreinte d’un lyrisme poignant. Porté par une instrumentation discrète (violons, guitares acoustiques) et des textes profonds sur l'amour, la perte, la famille ou l’exil, Gravity impose Escovedo comme un songwriter majeur de l’underground texan, entre Townes Van Zandt et Leonard Cohen.

Alors que Alejandro Escovedo avait montré une grande polyvalence au cours des 15 premières années de sa carrière musicale - en jouant avec les premiers ravers punk The Nuns et les brûlants rockers The True Believers, parmi tant d'autres - il n'avait pas attendu la formation des Believers qu'il avait déjà commencé à montrer ses formidables talents d'auteur-compositeur, et, avec son premier album solo, Gravity, Escobedo a aussi montré qu'il possédait l'une des voix lyriques les plus fortes et les plus distinctives de sa génération.

🇬🇧 Biographie (English)

A veteran of punk and roots rock scenes, Alejandro Escovedo launched his solo career in 1992 with Gravity, a beautifully sparse and emotional debut. Known for his past work with The Nuns and Rank and File, Escovedo took a quieter, more poetic direction here. Blending Americana, folk, and chamber pop, Gravity is filled with haunting string arrangements and introspective lyrics dealing with grief, love, and identity. It’s a quietly stunning album that introduced Escovedo as a deeply personal and literate voice in American songwriting.

While Alejandro Escovedo had shown plenty of versatility over the first 15 years of his career in music -- playing with early punk ravers The Nuns and roots rock firebrands the True Believers, among many others -- it wasn't until The Believers took shape that he began to display his formidable gifts as a songwriter, and with his first solo album, Gravity, Escobedo belatedly made it clear that he possessed one of the strongest and most distinctive lyrical voices of his generation.

💿 Trackliste

1. Paradise

2. Broken Bottle

3. One More Time

4. By Eleven

5. Bury Me

6. Five Hearts Breaking

7. Oxford

8. Last to Know

9. She Doesn't Live Here Anymore

10. Gravity/Falling Down Again

🎸 Musiciens

• Alejandro Escovedo – guitare, chant

• Stephen Bruton – guitare

• Susan Voelz – violon

• David Grissom – guitare électrique

• Bill Averbach – trompette

• Mitch Watkins – production, guitare

• Hector Muñoz – batterie

• Barry "Frosty" Smith – percussions

• Glenn Fukunaga – basse

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👉 Alejandro Escovedo – Gravity (1992)

🔑 Mots-clés : Alejandro Escovedo, Gravity, folk rock, americana, chanson introspective, Texas, 1990s, chamber pop, alternative country, violon, songwriter.

Calexico - Carried To Dust (2008)

From its beautiful, spray-painted stencil artwork (courtesy of longtime Calexico cover artist Victor Gastelum) to the sounds within it, Carried to Dust recalls previous Calexico high points like The Black Light and, especially, Feast of Wire. Considering that Joey Burns and John Convertino reunited with many of the Feast of Wire players for these songs, the similarities shouldn't come as a surprise -- nor should Calexico's skill at revisiting older territory and finding new outcroppings in it.

De sa belle couverture, peinte à la bombe au pochoir (oeuvre réalisée par l'artiste Victor Gastelum, déjà auteur des couvertures précédentes) aux sons à l'intérieur, Carried To Dust rappelle les meilleurs Calexico comme The Black Light et, en particulier, Feast of Wire. Considérant que Joey Burns et John Convertino ont réuni beaucoup des musiciens de Feast of Wire pour ces chansons, les similitudes ne doivent pas surprendre - ni ne doit pas plus étonner l'habileté de Calexico à revisiter les territoires connus et à y trouver de nouvelles sources d'inspiration.

Calexico - Carried To Dust (LP)

2008

Cage The Elephant - Cage The Elephant (2008)

The more things change in rock, the more they inevitably stay the same -- and in the case of Cage the Elephant, that's a good thing. Cage the Elephant didn't exist until 2005, but as this self-titled album demonstrates, their ability to be influenced by alternative rock and classic rock simultaneously is a definite plus. Drawing on influences from different eras, this Kentucky-based band has an appealing sound that combines a strong appreciation of the Rolling Stones with elements of the Red Hot Chili Peppers, Beck, hip-hop, and punk.

Plus les choses changent dans le rock, plus elles restent inévitablement les mêmes - et dans le cas de Cage the Elephant, c'est une bonne chose. Cage the Elephant n'a pas existé avant 2005, mais comme le montre cet album éponyme, leur capacité à être influencés par le rock alternatif et le classic rock  est indéniablement un avantage certain. Tirant leurs influences de différentes époques, ce groupe basé dans le Kentucky a un son attrayant qui, empreint d'une forte parenté avec les Rolling Stones, combine également des éléments propres à Red Hot Chili Peppers et à Beck, hip-hop et punk.

Cage The Elephant - Cage The Elephant (LP)

2008

Big Head Todd - Sister Sweetly (1993)

With guitars remaining firmly in the forefront, Colorado's Big Head Todd And The Monsters ease into their album Sister Sweetly with a laid-back gait. The best of this loping stuff - like 'It's Alright' - makes for catchy, radio-ready fare, as does the more rollicking 'Bittersweet'.

Avec des guitares restant fermement dans l'avant-garde, les Big Head Todd du Colorado sont très à l'aise dans leur album Sister Sweetly où ils affichent une attitude très décontractée. Le meilleur de cette production bondissante - comme 'It's AlRight' - le rend très attractif, prêt pour la radio, comme le fait notamment le très exubérant 'Bittersweet'.

Bing Head Todd - Sister Sweetly (LP)

1993

Phish - Junta (1988)

With great sound and better playing, Phish's debut Junta is highly recommended whether you're starting to discover Phish or are backing up to the beginning. It may be a bit long-winded and unfocused, yet it establishes their dedication to musical exploration effectively -- not to mention the typical wild and woolly Phish humor spilling out all over the lengthy tracks.

Avec son superbe son et son jeu magnifique, Junta des débuts de Phish est fortement recommandé si vous commencez à découvrir Phish ou souhaitez revenir sur leur carrière. Il peut être un peu long haleine et vague, mais il établit clairement leur dévouement à une exploration musicale efficace - sans parler de l'humour, à la fois sauvage et quelque peu laineux, débordant tout au long des pistes.

Phish - Junta (LP)

1988

Chuck Prophet - Balinese Dancer (1993)

This ballad-oriented solo outing from former Green on Red guitarist Chuck Prophet offers up spare swamp rock, setting the singer's dusky voice against a backdrop of slide, steel and finger-picked electric guitars. Opting for mood as much as content, the material is simple and homespun, adding touches of the blues and zydeco for an authentic backwoods feel.

Cette sortie solo très orientée ballade de l'ancien Green On red pour le guitariste Chuck Prophet offre un swamp rock de qualité. La voix sombre du chanteur, posée sur fond de diapositives, est élégamment drapée de guitares électriques jouées en slide. En optant pour l'ambiance autant que pour le contenu, cette production est simple et brute, ajoutant des touches de blues et de zydeco qui laissent l'impression d'une zone inexplorée.

Chuck Prophet - Balinese Dancer

Chuck Prophet - Baton Rouge

Chuck Prophet - Heart Breaks Like the Dawn

Chuck Prophet - Starcrossed Misbegotten Love

Chuck Prophet - 110° In The Shade

Chuck Prophet - How Many Angels

Chuck Prophet - One Last Dance

Chuck Prophet - Who Am I Foolin

From ' Balinese Dancer' - Chuck Prophet (1993)

Jack Johnson - In Between Dreams (2005)

Singer/songwriter Jack Johnson writes songs that just feel good, sticking to an equation that combines his warm, relaxed voice with an acoustic guitar. That cozy formula made him a favorite among American college crowds, so it's no surprise that Johnson sticks with what he does best for his third album, In Between Dreams.

Le chanteur compositeur Jack Johnson écrit des chansons qui permettent de se sentir bien, conformément à une équation qui combine sa voix chaude et détendue avec une guitare acoustique. Cette formule confortable fait de lui un favori parmi la foule des collégiens américains, il n'est donc pas surprenant que Johnson colle parfaitement avec ce qu'il fait le mieux pour son troisième album, In Between Dreams.

Jack Johnson - In Between Dreams (LP)

2005

Cowboy Junkies - Open (2001)

Cowboy Junkies have a sound, a vibe. There's no denying it. You can tell it's them within a few notes and each successive record seems to pick up right where the last one left off. Some, like The Trinity Sessions, are dark, moody, and mellow, like being coated in honey and draped in velvet. Others, take Pale Sun, Crescent Moon for example, seem downright energetic in comparison. Open is more in line with the first batch, though it has moments of near-enthusiastic revelry.

Les Cowboy Junkies ont un son, une ambiance. Il n'y a pas à le nier. Vous pouvez les reconnaître aux premières notes et chaque enregistrement successif semble reprendre là où le dernier s'était arrêté. Certains, comme The Trinity Sessions, sont sombres, de mauvaise humeur, et moelleux, comme étant enrobés dans du miel et drapés de velours. D'autres, prenez Pale Sun ou Crescent Moon par exemple, semblent carrément énergiques en comparaison. Open est à ranger avec le premier lot, mais il a aussi des moments de réjouissances presque enthousiastes.

 Cowboy Junkies - Open (LP)

2001

🎸 Dave Matthews Band – Busted Stuff (2002)

Pochette de l’album

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🇫🇷 Biographie (Français)

Après les sessions initiales (« The Lillywhite Sessions » de 2000) abandonnées en raison d'une tonalité trop sombre et d’ambiances introspectives jugées « sad bastard songs », le groupe retravaille neuf titres, en ajoute deux nouveaux et sort Busted Stuff en juillet 2002, produit par Stephen Harris. L’album, plus compact et lumineux, refonde les chansons tout en conservant leur intensité émotionnelle

Dave Matthews ne semble pas tout à fait ravi de cette version. Mais comment vous sentiriez-vous si vous aviez fait un album avec un producteur que vous n'avez pas aimé, que vous avez sous-évalué, puis que vous vous réveillez un matin pour trouver une fuite sur Internet et retrouver l'album bootleg disponible à chaque coin de rue à New York City? Voilà à peu près ce qui est arrivé avec The Sessions Lillywhite, l'inédit, prédécesseur plus sombre à l'album blockbuster Everyday. Plutôt que de tourner le dos aux fans, cependant, Matthews est retourné en studio pour faire le travail qui convenait. Sur Busted Stuff, il fait revivre ces chansons solennelles avec une intensité diligente, créant de belles étendues de mélancolie. Des pistes élégantes comme 'Grace Is Gone' et 'Digging A Ditch' remplacent le brillant morne du dernier album avec une intimité éblouissante, et même  la tendance habituelle du groupe qui est de serpenter sur des envolées jazz-rock est tenue en échec par le simple poids du contenu. 

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🇬🇧 Biography (English)

Busted Stuff, released July 16, 2002, sees Dave Matthews Band re-record nine tracks from the abandoned Lillywhite Sessions and add two new ones—“Where Are You Going” and “You Never Know”—under producer Stephen Harris. The result is a more polished and tighter album that retained the emotional core of the original demos while achieving commercial success .

Dave Matthews doesn't exactly seem thrilled about this release. But how would you feel if you made an album with a producer you didn't like, dumped it, and then woke up one morning to find it leaked on the Internet and available at every bootleg stall in New York City? That's pretty much what happened with "The Lillywhite Sessions," the unreleased, darker predecessor to the blockbuster Everyday album. Rather than turn their back on the fans, however, Matthews returned to the studio to do the job right. On Busted Stuff, they revive those solemn songs with diligent intensity, creating lovely swaths of melancholy. Elegant tracks like "Grace Is Gone" and "Digging a Ditch" replace the dreary gloss of the last album with dazzling intimacy, and even the band's usual tendency for meandering jazz-rock flights is kept in check by the sheer weight of the material. 

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💿 Trackliste

1. Busted Stuff

2. Grey Street

3. Where Are You Going

4. You Never Know

5. Captain

6. Raven

7. Grace Is Gone

8. Kit Kat Jam

9. Digging a Ditch

10. Big Eyed Fish

11. Bartender 

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🎸 Musiciens

• Dave Matthews – chant, guitare

• Carter Beauford – batterie

• Stefan Lessard – basse

• Boyd Tinsley – violon

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🎧 Écoute en ligne

Vous pouvez écouter l’album complet ici :

👉 Dave Matthews Band – Busted Stuff (2002)

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🔑 Mots‑clés SEO
Dave Matthews Band, Busted Stuff, Lillywhite Sessions, Where Are You Going, Grey Street, Bartender, album 2002, Stephen Harris, rock alternatif, jam band, Billboard 1er album.

Warren Haynes - Ashes & Dust

When Warren Haynes released the rocking soul Man in Motion in 2011, it was the fulfillment of a dream, to write and record songs that reflected the early influence of those sounds on his musical development with an all-star band. Ashes & Dust is another side of his story. Growing up in Asheville, North Carolina, Haynes was equally exposed to bluegrass, mountain folk music, and country gospel. Their influence is plentiful here, on originals and covers alike.  Haynes uses electric guitars here; they are part and parcel of a largely acoustic tapestry that can loosely be called Americana.

Lorsque Warren Haynes a enregistré l'album rock & soul Man in Motion en 2011, cela a été l'accomplissement d'un rêve, d'écrire et enregistrer des chansons qui reflètent l'influence précoce de ces genres sur son développement musical avec un all-star band. Ashes & Dust est une autre facette de son histoire. Ayant grandi à Asheville, en Caroline du Nord, Haynes a également été exposé au bluegrass, la musique folklorique de la montagne, et au gospel du pays. Leur influence est abondante ici, sur les originaux et tout comme sur les reprises. Haynes utilise des guitares électriques ; elles font partie intégrante d'une 'tapisserie' en grande partie acoustique qui peut vaguement être appelé Americana.

Warren Haynes - Ashes & Dust (LP)

2015

🎸 Mayfield’s Mule - Mayfield’s Mule (1969)

Pochette de l'album

🇫🇷 Biographie

Mayfield’s Mule est un groupe américain de rock psychédélique et blues rock actif à la fin des années 1960. Leur unique album éponyme, enregistré entre 1969 et 1970 dans les studios légendaires Trident et Abbey Road, témoigne d’un mélange raffiné de rock psyché, blues et country-rock. Mené par Chris Mayfield, guitariste et chanteur principal, le groupe bénéficie d’une production soignée avec la participation d’illustres collaborateurs comme l’ingénieur Alan Parsons et la chanteuse PP Arnold aux chœurs sur plusieurs titres. L’album, publié sous licence EMI Records et Warner/Chappell, se caractérise par des compositions originales riches et une atmosphère très représentative de la scène psychédélique américaine underground de la fin des années 60.

🇺🇸 Biography

Mayfield’s Mule was an American psychedelic rock and blues rock band active in the late 1960s. Their sole self-titled album, recorded between 1969 and 1970 at the legendary Trident and Abbey Road studios, showcases a refined blend of psychedelic rock, blues, and country rock. Led by guitarist and lead vocalist Chris Mayfield, the band enjoyed a polished production featuring notable collaborators such as engineer Alan Parsons and backing vocalist PP Arnold on several tracks. Released under EMI Records and Warner/Chappell licenses, the album features rich original compositions and an atmosphere that strongly reflects the American underground psychedelic scene of the late 1960s.

💿 Trackliste

1. Oh Lady – 5:06

2. Double Dealing Woman – 3:30

3. My Way Of Living – 4:13

4. I See A River – 2:18

5. Down From The Country – 3:41

6. Drinking My Moonshine – 2:44

7. Abracadabra – 5:23

8. Here Comes The Rain – 9:19

9. Rolling Down The Highway – 2:17

10. My One For You Two – 8:15

11. Life's Been Good To Me – 1:56

🎸 Musiciens

• Chris Mayfield – guitares, chant lead

• Steve Bradley – basse, chœurs

• Pete Saunders – claviers, chœurs (piste 3)

• Chris Hunt – batterie (piste 11)

• Henry Spinetti – batterie (pistes 2, 6)

• Sean Jenkins – batterie

• PP Arnold – chœurs (pistes 3, 10)

• "Moxie" Gowland – harmonica, flûte

🔧 Production & Technique

• Enregistré aux Trident Studios et Abbey Road Studios

• Producteurs : Chris Mayfield, Jonathan Peel, Mike Smith

• Ingénieurs du son : Alan Parsons, Nick Webb, Richard Lush

• Remasterisé numériquement par John David

• Artwork : Loriana Martin (cover), Steve Bradley et Liz Hale (peintures)

🎧 Écoute en ligne
Vous pouvez écouter l’album complet ici :
Mayfield’s Mule – Mayfield’s Mule (1969)

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🎸 Zior – Zior (1971)

Pochette de l'album

🇫🇷 Biographie

Originaire d’Angleterre, Zior fut un groupe éphémère mais marquant de la scène hard psychédélique et progressive du début des années 70. Leur unique album, publié en 1971, propose un mélange énergique de heavy rock, de psychédélisme sombre et de touches occultes, porté par des riffs massifs et des claviers obsédants. L'atmosphère mystique et les références ésotériques de leurs compositions ont fait de Zior un disque culte parmi les amateurs de hard rock underground. Bien qu’ils soient restés dans l’ombre du grand public, Zior reste une curiosité prisée des collectionneurs.

🇬🇧 Biography

Zior, from England, was a short-lived but striking band from the early 1970s hard psychedelic and progressive scene. Their self-titled 1971 debut delivers an energetic blend of heavy rock, dark psychedelia, and occult-tinged themes, driven by powerful riffs and haunting keyboards. The mystical atmosphere and esoteric references of their music turned Zior into a cult album among underground hard rock enthusiasts. Although they never achieved mainstream success, Zior remains a sought-after gem for collectors.

💿 Trackliste

1. I Really Do

2. Za Za Za Zilda

3. Love's Desire

4. New Land

5. Now I'm Sad

6. Give Me Love

7. Quabala

8. Oh Mariya

9. Your Life Will Burn

10. I Was Fooling Myself

11. Before My Eyes Go Blind

12. Rollin' Stone

13. Cat's Eyes

🎸 Musiciens

• Keith Bonsor – Chant, Basse, Orgue

• Peter Brewer – Batterie

• John Truba – Guitare, Orgue

• Steve Lowe – Guitare

🔎 Mots-clés SEO intégrés
Zior, Zior 1971, rock psychédélique anglais, heavy psych rock, hard rock underground, occult rock, prog rock UK, rock ésotérique 70s, albums cultes psychédéliques, collection rock vintage

🎧 Écoute en ligne

Vous pouvez écouter l’album complet ici :

👉 Zior – Zior (1971)

🎸 Trapeze - Medusa (1970)

Pochette de l'album

🇬🇧 Biography

Not only is Medusa the finest offering from '70s outfit Trapeze, it is one of the decade's most underappreciated hard rock recordings. With a lineup that consisted of future Deep Purple, Judas Priest, and Black Sabbath members, there seems to be proof that at least a few fellow musicians appreciated this 1971 offering. Fans of his later work might be surprised by Glenn Hughes' soulful vocal delivery, especially on the midtempo blues-rockers like 'Black Cloud' and 'Your Love Is Alright'.

🇫🇷 Biographie

Non seulement Medusa est la plus belle offrande de Trapeze dans les 70's, il est aussi l'un des enregistrements de hard rock les plus sous-estimés de la décennie. Avec un line-up composé des futurs membres de Deep Purple, Judas Priest et Black Sabbath, il semble être la preuve qu'au moins quelques musiciens l'ont apprécié. Les fans de son travail plus tard, pourraient bien être surpris par la prestation vocale très soul de Glenn Hughes, en particulier sur les blues-rock mid tempo comme 'Black Cloud' et 'Your Love Is Ok'.

🎧 Écoute en ligne

Un album audacieux emblématique du hard rock :

👉 Trapeze - Medusa (LP)

1970

🎸 Warpig - Warpig (1970)

Warpig is a Canadian rock band that gained a fan following in the Ontario club circuit in the 1970s and performed shows with such acts as Wishbone Ash, Savoy Brown, Manfred Mann, Quicksilver Messenger Service, and Mahogany Rush. Blabbermouth.net has referred to the band’s lone studio album as 'an early masterwork of psychedelic proto-metal'.

Warpig est un groupe de rock canadien qui a tourné comme un avion dans le circuit des clubs de l'Ontario dans les années 1970 et a partage la scène avec des pointures telles que Wishbone Ash, Savoy Brown, Manfred Mann, Quicksilver Messenger Service et Mahogany Rush. L'album studio solitaire du groupe est désormais perçu comme un chef-d'oeuvre précoce de proto-métal psychédélique.

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👉 Warpig – Warpig (1970)

🎸 Paladin – Charge (1972)

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🇫🇷 Biographie (Français)

Paladin est un groupe britannique de rock progressif formé au début des années 70. Leur album Charge sorti en 1972 est un mélange audacieux de rock psychédélique, blues et jazz fusion, caractérisé par des compositions complexes et une atmosphère riche en textures sonores. Bien qu’ils n’aient jamais rencontré un grand succès commercial, Paladin s’est forgé une place dans le cœur des amateurs de rock progressif grâce à ce disque énergique et innovant.

🇺🇸 Biographie (English)

Paladin was a British progressive rock band formed in the early 1970s. Their 1972 album Charge blends psychedelic rock, blues, and jazz fusion, featuring complex compositions and rich sonic textures. While the band didn’t achieve major commercial success, they have earned a dedicated following among progressive rock enthusiasts due to this energetic and innovative record.

📀 Trackliste

Face A

1. Charge

2. 29th Street Rock

3. Spider’s Web

4. Until Tomorrow

Face B

1. Burning Bright

2. Solo

3. Portrait

4. Born to Die

🎸 Musiciens

• Peter Solley – claviers, chant

• Derek Foley – guitare, chant

• Peter Beckett – basse, chant

• Lou Stonebridge – claviers

• Keith Webb – batterie

  
  

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🎸 Freedom's Children – Galactic Vibes (1972)

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🇫🇷 Biographie (Français)

Freedom’s Children est un groupe sud-africain culte formé à la fin des années 1960, actif en pleine période d’apartheid, et pourtant totalement à contre-courant des standards musicaux du régime. Porté par l'inspiration du rock progressif britannique (King Crimson, Pink Floyd, Atomic Rooster), le groupe mêle effets psychédéliques, ambiances cosmiques et structures complexes. Galactic Vibes, leur second album, enregistré en 1971 et publié en 1972, est un tour de force entre space rock, proto-metal et expérimentations progressives. L’œuvre, dominée par des atmosphères planantes et un son dense, reste un témoignage puissant de créativité underground dans un contexte politique tendu.

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🇺🇸 Biography (English)

Freedom’s Children was a groundbreaking progressive rock band from South Africa, formed during the late 1960s under the shadow of apartheid. Boldly experimental, the band fused space rock, psych, and heavy prog in a style reminiscent of early Pink Floyd or Hawkwind. Galactic Vibes (1972) stands as their most atmospheric and ambitious work — a deep dive into cosmic textures, swirling organ, and soaring guitars. Despite censorship and isolation, the band delivered a timeless statement of musical freedom and artistic rebellion. This album has since gained cult status among psych and prog rock collectors.

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💿 Trackliste

1. Sea Horse

2. The Homecoming

3. That Did It

4. Fields and Me

5. The Crazy World of Pod: Electronic Concerto

6. 1999

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🎸 Musiciens

• Ramsay MacKay – basse, chant

• Julian Laxton – guitare, effets

• Colin Pratley – batterie

• Brian Davidson – chant principal

• Ken E. Henson – guitare sur "The Crazy World of Pod"

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👉 Freedom's Children – Galactic Vibes (1972)