Grateful Dead released in 1969 her third studio album, on behalf palindromic unpronounceable: Aoxomoxoa. This name is probably born of a too psychotropic evening. Before proceeding further in this column, I tell you frankly: this album is a must for the Dead discography. This is the album many classic Californian Frisco. The group at this point in his career, Mickey welcomes Hartman on drums and Tom Constanten, pianist. He is fully in LSD, he is the pioneer of acid-test of time. Aoxomoxoa feels the full nose trip, psychedelic influences are noticeable both in the interpretation of the text. acoustics and magic found there 'Mountains Of The Moon', sung by Jerry Garcia, the fantastic 'St Stephen', a mythical and preferred shares of the Dead, the long, disturbing and creative 'What's Become Of The Baby' surprising theme vocalizations. The Dead trying some interesting experiences on this album, set for a Dead sound. The short 'Rosemary' is a symbol, which uses a filter to provide the voice of Garcia a unique sound.
Grateful Dead sort en 1969 son troisième album studio, au nom palindromique imprononçable : Aoxomoxoa. Ce nom est vraisemblablement né d'une soirée trop psychotrope. Avant de continuer plus loin dans cette chronique, je vous le dis sans détour : cet album est un incontournable de la discographie du Dead. C'est l'album de nombreux classiques des californiens de Frisco. Le groupe, à ce moment précis de sa carrière, accueille Mickey Hartman aux percussions et Tom Constanten, pianiste. Il est alors à fond dans le LSD, dont il est le pionnier des acid-tests du moment. Aoxomoxoa sent le trip à plein nez, l'influence psychédélique étant perceptible tant dans l'interprétation que dans les textes. On y retrouve l'acoustique et magique 'Mountains Of The Moon', chanté par Jerry Garcia , le fantastique 'St Stephen', un des titres mythiques et préférés du Dead, le long, inquiétant et créatif 'What's Become Of The Baby', surprenant thème à vocalises. Le Dead tente quelques expériences intéressantes sur cet album, pour fixer un son Dead. Le court 'Rosemary' en est le symbole, qui fait appel à un filtre pour doter la voix de Garcia d'un son si particulier.
Grateful Dead sort en 1969 son troisième album studio, au nom palindromique imprononçable : Aoxomoxoa. Ce nom est vraisemblablement né d'une soirée trop psychotrope. Avant de continuer plus loin dans cette chronique, je vous le dis sans détour : cet album est un incontournable de la discographie du Dead. C'est l'album de nombreux classiques des californiens de Frisco. Le groupe, à ce moment précis de sa carrière, accueille Mickey Hartman aux percussions et Tom Constanten, pianiste. Il est alors à fond dans le LSD, dont il est le pionnier des acid-tests du moment. Aoxomoxoa sent le trip à plein nez, l'influence psychédélique étant perceptible tant dans l'interprétation que dans les textes. On y retrouve l'acoustique et magique 'Mountains Of The Moon', chanté par Jerry Garcia , le fantastique 'St Stephen', un des titres mythiques et préférés du Dead, le long, inquiétant et créatif 'What's Become Of The Baby', surprenant thème à vocalises. Le Dead tente quelques expériences intéressantes sur cet album, pour fixer un son Dead. Le court 'Rosemary' en est le symbole, qui fait appel à un filtre pour doter la voix de Garcia d'un son si particulier.
1969
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