Damn kids who come out of nowhere. Originally, Free is nothing but that: snarls of strength, talented and arrogant in the London of the late 60's. The sound is harsh, the production is dry and aggressive. ' ravaged voice - already staggering with feeling - floats above heavy compositions, most of them powerful and stubborn mid-tempos. Without demerit, Free does not look completely into the future. But the talent and creativity of these early kids could only encourage them to go down in history with their own style, not by copying others. What they did next, with big shots of masterpieces.
Des fichus gamins qui surgissent de nulle part. A l’origine, Free n’est rien d’autre que ça : des petits morveux sûrs de leur force, pétris de talent et pleins d’arrogance qui déboulent dans le Londres de la fin des années 60. Le son est rude, la production est sèche et agressive. La voix écorchée de Paul Rodgers – déjà sidérant de feeling – surnage au-dessus de compositions lourdes, pour la plupart des mid-tempos puissants et obstinés . Sans démériter, Free ne regarde alors pas encore tout à fait vers l’avenir. Mais le talent et la créativité de ces gamins précoces ne pouvaient que les inciter à entrer dans l’histoire avec leur propre style, pas en copiant les autres. Ce qu’ils ont fait ensuite, à grands coups de chefs d’œuvre.
Tracks :
1. Over The Green Hills Pt. I 1:01
2. Worry 3:25
3. Walk In My Shadow 3:20
4. Wild Indian Woman 3:19
5. Goin' Down Slow 8:08
6. I'm A Mover 2:49
7. The Hunter 4:11
8. Moonshine 5:01
9. Sweet Tooth 4:43
10. Over The Green Hills Pt. II 1:53
1969
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