Astral Weeks is the second solo album by Van Morrison, recorded at 23 in 1968. This is a totally unique object, unclassifiable in terms of musical style, resistant to any kind of comparison. 4 ingredients at least explain this result: unusual compositions, a vocal performance consistently located on the razor's edge, a staggering contribution bassist Richard Davis, and finally Larry Fallon of the goldsmith work for string arrangements, brass and harpsichord. In any 45 minutes totally improbable music in 1968 as today. The 8 songs are all memorable, especially Astral Week 'with its final transfigured by the strings,' Beside You 'lament wobbly and baroque, nearly hysterical,' Sweet Thing 'and his tremendous jubilation,' Madame George 'point the emotional highlight of the album, and finally 'Slim Slow Slider bizarre and disturbing conclusion leaves the listener to the output of a world that is hidden permanently. When you listen to 'Astral Weeks', appears momentarily resonance with something intangible and shared in the depths of our human condition.
Astral Weeks est le 2ème album solo de Van Morrison, enregistré à 23 ans en 1968. C'est un objet totalement singulier, inclassable en terme de courant musical, rebelle à toute forme de comparaison. 4 ingrédients au moins expliquent ce résultat: des compositions hors du commun, une performance vocale constamment située sur le fil du rasoir, une contribution stupéfiante du contrebassiste Richard Davis, et enfin le travail d'orfèvre de Larry Fallon pour les arrangements de cordes, cuivres et clavecin. En tout 45 minutes de musique totalement improbable en 1968 comme aujourd'hui. Les 8 morceaux sont tous mémorables, notamment 'Astral Week' avec son final transfiguré par les cordes, 'Beside You' complainte bancale et baroque, proche de l'hystérie, 'Sweet Thing' et sa jubilation formidable, 'Madame George' point d'orgue émotionnel de l'album, et pour finir 'Slim Slow Slider' conclusion bizarre et dérangeante qui laisse l'auditeur à la sortie d'un monde qui se dérobe définitivement. Quand on écoute 'Astral Weeks', apparaît momentanément une résonance avec quelque chose d'impalpable et de partagé au fin fond de toutes nos conditions humaines.
1968
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