The Spinach's self-titled debut album is now considered a psychedelic classic, but it's the group's second record, Behold and See, that is perhaps their finest achievement. Ostensibly a concept album, it's centered around lead singer/songwriter/keyboardist/guitarist Ian Bruce-Douglas' cynical worldview. He skewers "normal" society with all the fervor of Zappa and all the surreality (and insanity) of Bob Markley on songs like "Visions of Your Reality" and "Suite: Genesis of Beauty." Add in the lush, floating vocals of Barbara Jean Hudson, fuzz guitar and some great late-60s psych jangle and you've got the formula for an unhinged classic that stands up to the best of the non-coastal psych sounds of the late-60s.
Le premier album éponyme de Spinach est maintenant considéré comme un classique psychédélique, mais c'est le deuxième album du groupe, Behold and See, qui est peut-être leur plus belle réalisation. Ostensiblement un concept album , il est centré autour de la vision du monde cynique du chanteur / compositeur / claviériste / guitariste Ian Bruce-Douglas. Il brocarde la société "normale" avec toute la ferveur de Zappa et toute la surréalité (et la folie) de Bob Markley sur des chansons comme "Visions of Your Reality" et "Suite: Genesis of Beauty" en quatre parties. Ajoutez à cela les vocaux luxuriants et flottants de Barbara Jean Hudson, la guitare fuzz et certains psych jangle de la fin des années 60 et vous avez la formule d'un classique déséquilibré qui résiste aux meilleurs sons psychédéliques de la fin des années 60.
1968
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