When fate Purple Rain, in 1984, Prince has sold three million albums small, a trifle compared to the 10 million that flow through this awesome tote ideas. Recorded with his band The Revolution, the soundtrack of the movie Purple Rain innovates from the first notes of "Let's Go Crazy" - a discordant organ agreement on which Prince began a little early Catholic sermon. "The Beautiful One" sees him perform a magnificent display of steamy ballad, served by its unreal falsetto before it launches headlong into unbridled and synthetic funk of "Computer Blue". But nothing really prepares to wonder "When Doves Cry," his haunting keyboards and haunting rhythm - one of the pieces that best symbolize her and Prince style. Unless "Purple Rain", his languorous guitar, his vicious tempo and the histrionics of Minneapolis kid are the true creative top of a disk where the competition is tough.
Quand sort Purple Rain, en 1984, Prince a déjà vendu trois petits millions d'albums, une broutille comparée aux 10 millions qu'il écoulera grâce à ce génial fourre-tout d'idées. Enregistrée avec son groupe The Revolution, la bande originale du film Purple Rain innove dès les premières notes de "Let's Go Crazy" - un accord d'orgue discordant sur lequel Prince amorce un début de sermon peu catholique. "The Beautiful One" le voit effectuer une magnifique démonstration de ballade torride, servie par son falsetto irréel, avant qu'il ne se lance à corps perdu dans le funk débridé et synthétique de "Computer Blue". Mais rien ne prépare vraiment à l'étonnant "When Doves Cry", ses claviers lancinants et sa rythmique obsédante - un des morceaux qui symbolisent le mieux le son et le style Prince. À moins que "Purple Rain", sa guitare langoureuse, son tempo vicieux et le cabotinage du kid de Minneapolis ne soient le véritable sommet créatif d'un disque où la concurrence est rude.
From 'Purple Rain' 1984
From 'Purple Rain' 1984
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