page d'accueil

Rock Music Blog

vendredi 29 juillet 2016

The Rolling Stones - Goats Head Soup (1973)



This goat head soup has a very bland taste after spicy foods previously served by the chefs (the menus Exile and Sticky Fingers). Stones slightly out of breath, although the presence of Mick Taylor also ensures some great moments. The song 'One Hundred Years Ago', by attaching his clavinet and clings to its nostalgic lyrics (regrets of a very recent past, yet seems so far away), has a quick and muscular final, overflown by the wah of 'blond angel. Great. The small bridge on 'Doo doo doo doo (Heartbreaker) is also perfect, fluid and sensual. 'Can You Hear the Music', she has a particular sound, interesting, the atmosphere evokes the vibrations of a 'No Quarter' zeppelinien, a small flute adds a playful scent. A good surprise. The tragedy is that it is almost everything. The rest is heated. 'Doo doo doo doo (Heartbreaker)', for example: catchy, full of brass and scoundrels choirs, brass but these are very wise, away from heat, brightness and fish they had on Exile on Main Street. As for the chorus, no need to compare the diabolical incantations of 'Sympathy For The Devil'. 'Hide Your Love' is just another blues brought the piano, like all others dotting Exile ... 'Winter' stretches its beautiful violins out of the agreements, and that's 'Sway' or 'Moonlight Mile' that is begins to regret. 'Star Star' made stamp, small painted rock well ... what's up? Mick Taylor and without eternal inimitable hitting Charlie Watts, one could even speak of just average album. And 'Angie', then? Lovely melody, well written, drinking arrangements ... In this range, we can easily prefer 'As Tears Go By', 'Ruby Tuesday' or 'Lady Jane', for example. Conclusion: to take a whack from the biggest rock band in the world, it will now go to the stadium. What we are doing all on almost 30 years!

Cette soupe de tête de chèvres a un goût bien fade après les mets épicés précédemment servis par les chefs (aux menus Exile et Sticky Fingers).
Léger essoufflement des Stones, même si la présence de Mick Taylor garantit encore quelques grands moments. Le morceau 'One Hundred Years Ago', attachant par son accroche au clavinet et ses paroles nostalgiques (regrets d’un passé très récent, qui pourtant semble si loin), possède un final rapide et musclé, survolé par la wah-wah de l’ange blond. Formidable. Le petit bridge sur 'Doo doo doo doo (Heartbreaker)' est également parfait, fluide et sensuel. 'Can You Hear the Music', elle, possède un son particulier, intéressant, l’ambiance évoque les vibrations d’un 'No Quarter' zeppelinien, une petite flute ajoute un parfum espiègle. Une bonne surprise.
Le drame, c’est que c’est quasiment tout. Le reste est du réchauffé. 
'Doo doo doo doo (Heartbreaker) ', par exemple : entraînant, plein de cuivres et de chœurs canailles, mais ces cuivres sont très sages, loin de la chaleur, de la brillance et de la pêche qu’ils avaient sur Exile on Main Street. Quant aux chœurs, inutile de les comparer aux diaboliques incantations de 'Sympathy for The Devil'. 'Hide Your Love' est un énième blues amené au piano, semblable à tous les autres qui parsèment Exile… 'Winter' étire ses beaux violons sur des accords convenus, et c’est 'Sway' ou 'Moonlight Mile' qu’on se met à regretter. 'Star Star' fait taper du pied, petit rock bien fardé… quoi de neuf ? Sans Mick Taylor et l’éternelle frappe inimitable de Charlie Watts, on pourrait même parler d'album tout juste moyen.
Et 'Angie', alors ? Jolie mélodie, bien écrite, arrangements potables…  Dans cette gamme, on peut aisément lui préférer 'As Tears Go By', 'Ruby Tuesday' ou 'Lady Jane', par exemple.

Conclusion : pour se prendre une claque de la part du plus grand groupe de rock du monde, il faudra désormais se rendre au stade. Ce que nous faisons tous ou presque depuis 30 ans !

1973

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire