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Rock Music Blog

vendredi 29 juillet 2016

Gun - Gunsight (1969)



We are enticed from listening to the aggressive 'Head in the Clouds'. This piece continues the race previously started with the devil, the title is the wicked force fed more incendiary solos as each other, and they began to dream of heavy metal. Then we note the tremendous pace of 'Dreams and Screams' who gets the whole arsenal of the Gun, fairly well structured at the time. Battery bearings are obvious and despite the lack of double bass, and the will of Adrian Paul is clear: without really knowing what they were doing, the The senseless race continues elsewhere and revival of psychedelic elements, such as Hispanic 'Situation Vacant', where the voice of Adrian fact squarely. The guitar remains an almost ultimate reference. For those years where everyone speaks only of Clapton (God) or Hendrix (Master), I would strongly advise you listening to Adrian Gurvitz, which is largely in. The solos never end, a real jam from hell, a beautiful piece. Alas, the British siblings stops there his innovative attempts: Although the blue grass of 'Drowning Yourself in the River', although almost acoustic, remains in a southern rock spirit, we leave the shores of heavy, dirty rock to something classic. The slide of 'Hobo', straight out of the complete works of the Allman Brothers, this proves another major influence in the music of Gun. Yourself in the River', although almost acoustic, remains in a southern rock spirit, we leave the shores of heavy, dirty rock to something classic. The slide of 'Hobo', straight out of the complete works of the Allman Brothers, this proves another major influence in the music of Gun.
The orchestration of the millimeter 'Angeline' in fact it is true a pretty slow tone almost Jazzy - the bridge is almost South American - but so far relatively trio of concerns. The idea was not bad and the compo is good. Just the diversity of tracks on this second album could confuse fans slightly? Moreover, both parties 'Lady Ink' leave in the hispanic and Adrian shine on flamenco. 'Lady Lou', sung by Paul takes us back to the sweet but ethereal fragrance of flower power. Finally 'Long Hating Wildman' more like a title Kinks: we swim in the British pop with guitars still crazy however. It was almost ... a little extra effort might be enough to position the Gun at the very top (sigh). Nice shots, however, charge the barrels and set up!


Nous sommes alléchés dès l'écoute de l'agressif 'Head in the Clouds'. Ce morceau poursuit la course précédemment débutée avec le diable, le titre est bien méchant, gavé de soli plus incendiaires les uns que les autres, et l'on se prend à rêver de metal lourd. On notera ensuite le formidable rythme de « Dreams and Screams » qui reprend tout l'arsenal du Gun, assez bien structurée pour l'époque. Les roulements de la batterie sont évidents et malgré l'absence de double grosse caisse, la volonté d'Adrian et Paul est claire : sans savoir vraiment ce qu'ils faisaient, les frères ont probablement accouché là d'une des bases du heavy metal. 
La course insensée se poursuit d'ailleurs et relance des éléments plus psychédéliques, comme l'hispanisante 'Situation Vacant', où la voix d'Adrian le fait carrément. La guitare reste une référence quasi ultime. Pour ces années où tout le monde ne parle que de Clapton (le Dieu) ou d'Hendrix (le Maître) , je ne saurais trop vous conseiller l'écoute attentive d’Adrian Gurvitz, qui est largement au niveau. Les solos n'en finissent plus, une vraie jam d'enfer, un superbe morceau.
Hélas, la fratrie britannique stoppe là ses tentatives novatrices : même si le blue grass de 'Drowning Yourself in the River', bien que quasi acoustique, reste dans un esprit southern rock, nous quittons les rivages du rock lourd et crade pour quelque chose de plus classique. La slide de 'Hobo', tout droit sortie des œuvres complètes des Allman Brothers, prouve cette autre influence majeure dans la musique de Gun.
L'orchestration au millimètre d''Angeline' en fait il est vrai un joli slow au ton presque Jazzy – le bridge est quasi sud-américain –, mais donc relativement éloigné des préoccupations du trio. L'idée n'était pas mauvaise et la compo est bonne. Simplement la diversité des titres présents sur ce second album a pu légèrement dérouter les fans ? D'ailleurs, les deux parties de 'Lady Ink' repartent dans l'hispanisant et font briller Adrian sur un flamenco. 'Lady Lou', chantée par Paul, nous replonge dans les effluves douces mais éthérées du flower power. Enfin 'Long Haïr Wildman' ressemble plus à un titre des Kinks: on nage dans la pop britannique, avec des grattes toujours aussi dingues en revanche.
On y était presque... Un petit effort supplémentaire aurait peut-être suffi pour positionner les Gun tout au sommet (soupir). Jolis tirs cependant, rechargez les barillets et réglez la hausse !

1969




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