Cressida is with Colosseum, one of the groups of the most endearing of the label. This second album is more assertive than the first in the progressive vein with more extensive instrumental parts and textues enriched with orchestral arrangements organized with taste. Declined broadly on medium tempos, the Cressida Symphonic Rock has nothing to do with that of Yes or Genesis. Driven by low fluid and elastic battery, the guitar solos (John Culley and John Heyworth) alternating with improvisations on piano or Hammond (Peter Jennings) full of sensitivity can evoke Caravan and Rock of Canterbury. But these improvisations are always integrated into the heart of small elegant and sophisticated melodic sequences not devoid of grandeur and emotion that remember more Moody Blues. Even the velvety voice of singer contributes to this hushed and melancholy atmosphere, typical of British bands of the time, and that makes listening to this album so enjoyable. The set and consists of a multitude of small indefinite time assembled with grace, has a charm and vast and clear horizon probably will delight both fans of In The Land Of Grey And Pink as those of In Search of the Lost Chord.
Cressida est, avec Colosseum, un des groupes parmi les plus attachants du label. Ce second album s'affirme davantage que le premier dans la veine progressive avec des parties instrumentales plus étendues et des textues enrichies par des arrangements orchestraux organisés avec goût. Décliné globalement sur des tempos medium, le Rock symphonique de Cressida n'a rien à voir avec celui de Yes ou de Genesis. Propulsés par une basse fluide et une batterie élastique, les solos de guitare (John Culley et John Heyworth) alternant avec des improvisations au piano ou à l'orgue Hammond (Peter Jennings) pleines de sensibilité pourront évoquer Caravan et le Rock de Canterbury. Mais ces improvisations sont toujours intégrées au cœur de petites séquences mélodiques élégantes et sophistiquées non dépourvues de grandeur et d'émotion qui rappelleront davantage les Moody Blues. Même la voix veloutée du chanteur contribue à cette atmosphère feutrée et mélancolique, typique des groupes britanniques de l'époque, et qui rend l'écoute de ce disque si agréable. L'ensemble, ainsi constitué d'une multitude de petits moments indéfinis assemblés avec grâce, a un charme fou et son horizon vaste et dégagé ravira probablement autant les amateurs de In The Land Of Grey And Pink que ceux de In Search Of The Lost Chord.
Cressida est, avec Colosseum, un des groupes parmi les plus attachants du label. Ce second album s'affirme davantage que le premier dans la veine progressive avec des parties instrumentales plus étendues et des textues enrichies par des arrangements orchestraux organisés avec goût. Décliné globalement sur des tempos medium, le Rock symphonique de Cressida n'a rien à voir avec celui de Yes ou de Genesis. Propulsés par une basse fluide et une batterie élastique, les solos de guitare (John Culley et John Heyworth) alternant avec des improvisations au piano ou à l'orgue Hammond (Peter Jennings) pleines de sensibilité pourront évoquer Caravan et le Rock de Canterbury. Mais ces improvisations sont toujours intégrées au cœur de petites séquences mélodiques élégantes et sophistiquées non dépourvues de grandeur et d'émotion qui rappelleront davantage les Moody Blues. Même la voix veloutée du chanteur contribue à cette atmosphère feutrée et mélancolique, typique des groupes britanniques de l'époque, et qui rend l'écoute de ce disque si agréable. L'ensemble, ainsi constitué d'une multitude de petits moments indéfinis assemblés avec grâce, a un charme fou et son horizon vaste et dégagé ravira probablement autant les amateurs de In The Land Of Grey And Pink que ceux de In Search Of The Lost Chord.
1971
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