page d'accueil

Rock Music Blog

dimanche 14 août 2016

Colosseum - Valentyne Suite (1969)



Most Colosseum musicians who cut their teeth in groups of English blues-rock, we will not be surprised to find here a Buttys's Blues well made alongside more psychedelic songs (The Kettle) or Soul (Elegy and The machine Demands a Sacrifice). But the surprise nestles on the second side of the LP dedicated to a progressive series in three parts that escapes the traditional patterns. Valentyne Suite is an amazing rant Rock-Jazz (not vice versa) constantly nourished by the wild and tree strikes the drummer and leader Jon Hiseman propelling improvisations to the remarkable eloquence: on the organ by Dave Greenslade and saxophone by Dick Heckstall-Smith, while guitarist James Litherland, mixed back, still seems a little less comfortable than in his familiar blues-rock. The sound is abrasive, the approximate mixing and zero production but do not be mistaken: this intense music and uncompromising widely steals over his time.

La plupart des musiciens de Colosseum ayant fait leurs premières armes dans des groupes de Blues-rock anglais, on ne sera pas étonné de retrouver ici un Buttys's Blues de bonne facture à côté de morceaux plus psychédéliques (The Kettle) ou Soul (Elegy et The Machine Demands a Sacrifice). Mais la surprise se niche sur la seconde face du LP entièrement dédiée à une suite progressive en trois parties qui échappe aux schémas traditionnels. Valentyne Suite est un incroyable brûlot de Rock-Jazz (et non l'inverse) constamment nourri par la frappe sauvage et arborescente du batteur et leader Jon Hiseman propulsant des improvisations à la faconde remarquable : à l'orgue par Dave Greenslade et au saxophone par Dick Heckstall-Smith, tandis que le guitariste James Litherland, mixé en retrait, paraît quand même un peu moins à l'aise que dans son Blues-Rock familier. Le son est abrasif, le mixage approximatif et la production inexistante mais qu'on ne s'y trompe pas : cette musique intense et sans compromission vole largement au-dessus de son époque.

1969

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire