Last album of the quartet with Jim Morrison and the rekindled flame voice more hoarse than ever, L.A. Woman comes just months before his disappearance. Forty years later, it is obvious then: no one has ever played the blues like the Doors, or knew him print lethal rhythm pleasure, this insidious and slow reptilian. Nobody knew wrap around with grace and laziness of Robbie Krieger on guitar. Following the baroque of Waiting for the Sun passades and Soft Parade, to return to the real job that was Morrison Hotel, LA Woman is a swan song where overlapping Delta primordial waters and bitumen highways of LA, with a M . Mojo Risin 'fueled thirty-six cans of Mexican beer / day and thirty grams of white powder / week.
Dernier album du quatuor avec un Jim Morrison à la flamme ravivée et la voix plus rauque que jamais, L.A. Woman sort quelques mois à peine avant sa disparition. Quarante ans plus tard, c’est plus évident qu’alors : personne n’a jamais interprété le blues comme les Doors, ou su lui imprimer ce rythme de volupté létale, cette sournoise et reptilienne lenteur. Personne n’a su s’enrouler autour avec la grâce et la paresse d’un Robbie Krieger à la guitare. Faisant suite aux passades baroques de Waiting for the Sun et Soft Parade, à ce retour au vrai métier qu’était Morrison Hotel, L.A. Woman est un chant du cygne où se chevauchent eaux primordiales du Delta et bitume des highways de L.A., avec un M. Mojo Risin’ qui carbure à trente-six canettes de bière mexicaine/jour et trente grammes de poudre blanche/ semaine.
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