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Rock Music Blog

mardi 9 août 2016

Led Zeppelin - Led Zeppelin II (1969)



Any misstep in this album that goes without question in the best albums of all time. Led Zeppelin is comfortable in all styles (hard rock, rock and roll, blues, ...) and gradually prepares his turn to more Eastern influences. Recipe of the mysterious 'Whole Lotta Love': a huge riff and Jimmy Page awesome. 'Heartbreaker' is a much more complex way, but the riff remains the central axis of the piece. Between the sonic sorcery of the great Page, drumstick battery of John Bonham ( 'Moby Dick') and the dripping juice on the leg of Robert Plant ( "The Lemon Song '), Led Zeppelin managed to transform the excesses of rock' n'roll in sublime artistic expression. But the greatest tribute here must be made at least known of the four, John Paul Jones, a real studio, fantastic man in his interventions on bass ( 'What Is And What Should Never Be', 'Ramble On' and especially 'The Lemon Song 'where the other three have understood it more useless to fight - a technique explosion is worthy of the greatest, a classic accompaniment suits perfectly for this masterpiece) or organ ( ! Thank You '). Handyman, it is the essential bridge between a hot drummer and a talented guitarist in all circumstances.


Aucun faux pas dans cet album qui rentre sans conteste dans les meilleurs albums de tous les temps. Led Zeppelin est à l’aise dans tous les styles (hard rock, rock n’ roll, blues, ...) et prépare peu à peu son virage vers des influences plus orientales. La recette du mystérieux 'Whole Lotta Love' : un riff de Jimmy Page énorme et génial. 'Heartbreaker' est un titre bien plus complexe, mais le riff reste l'axe central du morceau. Entre la sorcellerie sonique du grand Page, le pilon de la batterie de John Bonham ('Moby Dick') et le jus dégoulinant sur la jambe de Robert Plant ('The Lemon Song'), Led Zeppelin réussit à transformer les excès du rock'n'roll en sublime expression artistique. Mais le plus grand hommage ici doit être rendu au moins connu des quatre, John Paul Jones, véritable homme de studio, fantastique dans ses interventions à la basse ('What Is And What Should Never Be', 'Ramble On' et surtout 'The Lemon Song' où les trois autres ont bien compris qu’il ne servait plus à rien de lutter - une telle explosion technique est digne des plus grands, un accompagnement classique sied à merveille pour ce chef d’oeuvre) ou à l’orgue (!Thank You'). Homme à tout faire, il est la passerelle indispensable entre un bouillonnant batteur et un guitariste doué en toute circonstance.

1969


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