In early 1968 Kaleidoscope released their second album, following in the footsteps of their innovative debut. A Beacon From Mars took their psychedelic fusion of genres to new levels, featuring folk-rock, psychedelia, blues, traditional folk, country, jazz and middle-easten sounds. Standout covers included Doug Kershaw's 'Louisiana Man' and Willie Cobb's 'You Don't Love Me'. Most notably it featured two songs which stretched to over ten minutes in length - the psychedelic title track and "Taxim", which saw them emersing themselves deep in middle-eastern music. The result was an album even more experimental than their debut, and for that reason it fared even worse on the charts. Nevertheless, it endures today as excellent proof of the band's skill, versatility, and musical daring.
Au début de 1968, Kaleidoscope a sorti son deuxième album, en suivant les traces de leurs débuts innovants. A Beacon From Mars propose une fusion des genres à de nouveaux niveaux, mettant en vedette folk-rock, psychédélisme, blues, folk traditionnel, country et jazz. On y trouve les reprises de Doug Kershaw ('Louisiana Man' ) et de Willie Cobb 'You Do not Love Me'. Sont plus particulièrement en exergue deux chansons étirées à plus de dix minutes - la chanson-titre très psychédélique et 'Taxim', qui les a vu s'immerger profondément dans la musique moyen-orientale. Le résultat a été un album encore plus expérimental que leurs débuts, et du coup les résultats furent bien pire dans les charts. Néanmoins, Beacon From Mars reste encore aujourd'hui une excellente preuve de la compétence du groupe, de sa polyvalence et de son audace musicale.
1968
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