Practicing at their beginning a dirty rythm'n'blues more unhealthy (and as good) as the Rolling Stones, the Pretty Things soon go the psychedelia of the barrier and out the ambitious S. F. Sorrow. This album of 68 is nothing more than the first rock opera worthy of the name. The Pete Townshend who had the pretension and extreme gall to proclaim his Tommy "first rock opera" when we know that he himself was inspired by S. F. Sorrow ... But history has fortunately retained this album and now wise columnists are there to wield S. F. Sorrow and declaim the world how it is a great among greats. S. F. Sorrow is the second concept album of rock history after the Days of Future Passed Moody Blues 67. And the concept here is the sad story of a man named Sebastian F Sorrow. Each song represents a stage in his life, from his birth (S.F / Sorrow Is Born - logic you might say) to his death (Old Man Going) and is divided into two components: a pop psyche that face 'S.F. Corrois Born 'to' Balloon Burning 'and a pop psyche that face gathering mid-album' Death 'to' Well Of Destiny. Everything is dotted here and there with heavy rock and medieval inspiration. Both say right away: the album is a true gem. Everything is soaked in ingenuity, delight and lysergic substances from beginning to end: Bracelets Of Fingers on guitar wha wha sweaty desire, Death and I See You, the beautifully ethereal Trust, the haunting and very Beatles ( Revolver period) She Says Good Morning, Baron Saturday or the sublime ballad with acoustic Loneliest Person and Private Sorrow complex. As a sign of final hymn to the album, S. F. Sorrow Is Born is truly a stroke of genius, full of twisted effects.
Pratiquant à leur début un sale rythm’n’blues encore plus malsain (et aussi bon) que les Rolling Stones, les Pretty Things passent bientôt la barrière du psychédélisme et sortent l’ambitieux S.F. Sorrow. Cet album de 68 n’est rien d’autre que le premier opéra rock digne de ce nom. Ce Pete Townshend qui a eu la prétention et le culot extrême de proclamer son Tommy "premier opéra rock" quand on sait que lui-même s’était inspiré de S.F. Sorrow…
Mais l’histoire a bien heureusement retenu cet album et actuellement des chroniqueurs avisés sont là pour brandir S.F. Sorrow et déclamer au monde entier combien il est un grand parmi les grands.
S.F. Sorrow est également le deuxième album concept de l’histoire du rock après le Days Of Future Passed des Moody Blues de 67. Et le concept ici est la triste histoire d’un homme du nom de Sebastian F Sorrow. Chaque chanson représente une étape de sa vie, de sa naissance (S.F/ Sorrow Is Born - logique me direz-vous) à sa mort (Old Man Going) et se partage en deux éléments: une face plus pop que psyché de 'S.F. Corrois Born' à 'Balloon Burning' et une face plus psyché que pop regroupant le milieu de l’album de 'Death' à 'Well Of Destiny'. Le tout étant parsemé ça et là de rock heavy et d'inspirations médiévales.
Autant le dire tout de suite: l’album est une vraie pépite. Tout y est trempé dans l’ingéniosité, le délice et les substances lysergiques du début à la fin: Bracelets Of Fingers à la guitare wha wha suante à souhait, Death et I See You, le magnifiquement vaporeux Trust, le lancinant et très Beatles (période Revolver) She Says Good Morning, Baron Saturday ou encore la sublime ballade à l’acoustique Loneliest Person et le complexe Private Sorrow.
En signe d'hymne définitif à l’album, S.F. Sorrow Is Born est véritablement un coup de génie, regorgeant d’effets torsadés.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire