By 1971, it was clear that changes were in the offing for the Move. Message from the Country shows them carrying their sound, within the context of who they were, about as far as they could. One can hear them hit the limits of what guitars, bass, drums, and keyboards, with lots of harmony overdubs and ornate singing, could do. Indeed, parts of this record sound almost like a dry run from the first Electric Light Orchestra album, which was in the planning stages at the time. The influence of the Beatles runs through most of the songs stylistically. Particularly in Jeff Lynne's case, it was as though someone had programmed 'Paperback Writer' and other chronologically related pop-psychedelic songs by the Beatles into the songwriting and arranging, but across its ten songs, the album also shot for a range of sound akin to the White Album, except that the members of the Move are obviously working much more closely together.
En 1971, il était clair que les changements étaient à l'horizon pour The Move. A Message From The Country les montre portant leur son, dans le cadre de ce qui ils étaient, à peu près aussi loin que possible. On peut les entendre toucher les limites de ce que guitare, basse, batterie, claviers pouvaient faire, et encore en faisant appel à moultes effets d'overdubs et d'harmonies. En effet, les titres de ce disque sonnent presque comme une répétition du premier album d'Electric Light Orchestra, qui était en pleine conception à l'époque. L'influence des Beatles traverse la plupart des chansons stylistiquement. En particulier dans le cas de Jeff Lynne, c'était comme si quelqu'un l'avait programmé façon "Paperback Writer" pour réaliser d'autres chansons pop-psychédélique formatées Beatles dans l'écriture et les arrangements. Mais, à travers ses dix chansons, l'album a également pris une couleur proche de celle de l'album blanc, sauf que les membres de The Move ont évidemment du travailler beaucoup plus étroitement.
1971
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