page d'accueil

Rock Music Blog

samedi 14 avril 2018

The Rolling Stones - Sticky Fingers (1971)




Sticky Fingers came at a time when—on record, at least—the Rolling Stones could do no wrong. This album could reasonably be called their peak. They were called the World's Greatest Rock'n'Roll Band for entirely too long, but if that designation ever applied, it was here.

Quand "Sticky Fingers" est sorti en 1971, c'était comme si les Rolling Stones avaient réussi à capturer l'essence même du rock'n'roll et l'avaient distillée dans un album qui suinte de sexe, de drogue et d'une sorte de romantisme décadent que seule la fin des années 60 aurait pu engendrer. Cet album n'est pas juste un enregistrement, c'est une déclaration, un manifeste sonore de la désinvolture et de la passion brute.

L'ouverture avec "Brown Sugar" ne laisse aucun doute sur la direction de l'album : un riff tranchant comme une lame de rasoir, des paroles scandaleuses et un groove inébranlable. C'est une chanson qui transpire de controverse, et c'est exactement ce que les Stones font de mieux. Ils provoquent, ils bousculent, et ils font bouger des foules de fans qui ne demandent rien de plus que de se perdre dans cette anarchie musicale contrôlée.

Puis il y a "Sway", une ballade mélancolique qui dégouline de blues, avec Mick Jagger qui chante comme un homme possédé, chaque note de sa voix rappelant une douleur profonde et personnelle. C'est comme s'il était allé chercher au plus profond de son âme et avait craché tout ça sur le vinyle. La guitare de Mick Taylor pleure, elle aussi, ajoutant une dimension presque surnaturelle à la piste.

"Wild Horses" est l'une de ces chansons intemporelles que les Stones semblaient capables de sortir de leur manche sans effort. C'est une ballade aussi douce que poignante, avec des paroles qui parlent directement à cette part de nous qui aspire à la liberté mais est constamment retenue par les chaînes de nos propres désirs et erreurs. C'est la beauté de la simplicité, et pourtant, elle est chargée d'une émotion complexe qui transcende les mots.

Et n'oublions pas "Can't You Hear Me Knocking", où les Stones s'aventurent dans une jam session presque improvisée qui s'étend sur plus de sept minutes. C'est le genre de truc qui montre pourquoi ils sont les meilleurs dans ce qu'ils font : ce mélange de rock brut avec des éléments de jazz et de funk, Keith Richards et Mick Taylor jouant comme s'ils étaient en duel, et le saxophone de Bobby Keys qui vient couronner le tout d'une touche de génie.

"Sticky Fingers" est aussi un album sur la décadence et l'excès, avec des morceaux comme "Sister Morphine" et "Dead Flowers" qui explorent les recoins sombres de la vie rock'n'roll. C'est un regard sans concession sur les ravages de la drogue et la perte de soi, raconté avec une honnêteté brutale. Jagger et Richards ne se contentent pas de raconter des histoires, ils les vivent, et cela se ressent dans chaque note.

Ce qui rend "Sticky Fingers" si spécial, c'est que malgré toute sa noirceur et son cynisme, il reste un album incroyablement vivant. C'est une célébration de l'esprit indomptable du rock'n'roll, une preuve que même dans les moments les plus sombres, il y a une lumière qui brûle, aussi vacillante soit-elle. Les Stones, à leur meilleur, nous rappellent que la vraie magie du rock réside dans sa capacité à capturer l'essence même de la condition humaine – brute, imparfaite, et pourtant, infiniment belle.

En somme, "Sticky Fingers" est une œuvre maîtresse des Rolling Stones, un album qui, même des décennies plus tard, résonne avec une puissance et une pertinence qui défient le temps. Si Lester Bangs était là pour le critiquer, il ne pourrait qu'admirer cette débauche artistique qui transcende les époques, et reconnaître que les Stones, à ce moment précis, étaient vraiment les rois du rock.


Tracks :

1. Brown Sugar 3:50
2. Sway 3:45
3. Wild Horses 5:41
6. Bitch 3:42
9. Dead Flowers 4:05
10. Moonlight Mile 5:56

Line-Up :

Vocals, Percussion – M. Jagger
Guitar, Acoustic Guitar – K. Richard
Bass – B. Wyman
Drums – C. Watts
Guitar – M. Taylor
Piano – I. Stewart
Saxophone – B. Keyes
Piano – N. Hopkins
Strings – P. Buckmaster
Piano – J. Dickinson
Congas – Rocky Dijon
Organ – B. Preston
Trumpet – J. Price
Percussion – J. Miller
Guitar – Ry Cooder
Piano – Jack Nitzsche















jeudi 12 avril 2018

Steve Hackett - The Night Siren (2017)



This is a good, entertaining, and interesting album that is better than Wolflight mainly because the ideas here are more developed. "Behind the Smoke," one of the highlights of the album, is a exciting, heavy song that does a great job as an opener with catchy melodies, a dark feel, and a great buildup in the middle.

Plonger dans "The Night Siren" de Steve Hackett, c'est comme entrer dans un monde où chaque note est un écho du passé et un présage du futur. Sorti en 2017, cet album est une odyssée sonore qui transcende les simples frontières du rock progressif pour embrasser une myriade de cultures et d'émotions. Hackett, toujours l'alchimiste musical, nous offre ici un cocktail sophistiqué, mêlant influences classiques et expérimentations modernes avec une finesse déconcertante.

Dès les premières mesures de "Behind the Smoke", on est frappé par la puissance et la densité du son. Hackett aborde ici des thèmes sombres et pressants : l'exil, la persécution et la quête incessante d'un refuge. Sa guitare, tour à tour douce et tranchante, guide l'auditeur à travers des paysages sonores riches et variés. C'est une ouverture audacieuse, un mélange de rock et de sonorités orientales qui plante le décor pour l'épopée à venir.

"The Night Siren" est une œuvre globale dans le sens le plus littéral du terme. Hackett, fidèle à son esprit aventureux, incorpore des instruments et des rythmes de tous les coins du globe. Des flûtes péruviennes sur "El Niño" aux sonorités de sitar sur "In the Skeleton Gallery", chaque piste est un voyage en soi. On a l'impression d'assister à un dialogue entre cultures, où chaque mélodie raconte une histoire unique mais universelle.

Il y a quelque chose de profondément émouvant dans "Other Side of the Wall". Ici, Hackett troque la grandiloquence épique pour une introspection délicate, presque chuchotée. Les paroles, introspectives et poétiques, sont portées par une mélodie mélancolique qui rappelle les meilleurs moments de son travail avec Genesis. C'est un moment de pause, une respiration profonde avant de replonger dans l'intensité de l'album.

"Anything But Love" est une pièce maîtresse, avec son intro acoustique qui évoque les paysages ensoleillés de l'Andalousie avant de se transformer en un tourbillon électrique. C'est là que Hackett brille vraiment : dans cette capacité à fusionner des styles disparates en une symphonie cohérente et captivante. Sa guitare chante, pleure et rugit, chaque note chargée d'une émotion palpable.

Et puis, il y a "The Gift". Ce morceau, à la fois tendre et majestueux, est une véritable lettre d'amour à la musique elle-même. Hackett s'y révèle comme un maître conteur, chaque accord et chaque phrase musicale tissés avec une précision et une passion rares. C'est une déclaration d'intention, un rappel que, même après des décennies dans le métier, il reste un explorateur insatiable, toujours à la recherche de nouvelles frontières à franchir.

"The Night Siren" est plus qu'un album, c'est une expérience immersive. Hackett nous invite à partager sa vision du monde, une vision où la musique devient un pont entre les peuples et les époques. En écoutant cet album, on ne peut s'empêcher de ressentir une profonde admiration pour cet artiste qui, loin de se reposer sur ses lauriers, continue d'explorer et de repousser les limites de son art.

Tracks :

1. Behind The Smoke (6:59) 
2. Martian Sea (4:40) 
4. El Niño (3:52) 
5. Other Side Of The Wall (4:01) 
6. Anything But Love (5:56) 
7. Inca Terra (5:54) 
8. In Another Life (6:07) 
10. West To East (5:14) 
11. The Gift (2:45) 

Line-up :

Steve Hackett : electric & acoustic guitars, oud, charango, sitar guitar, harmonica, vocals
 Amanda Lehmann : vocals
 Kobi Farhi : vocals
 Mira Awad : vocals
 Jo Hackett : vocals
 Nad Sylvan : vocals
 Roger King : keyboards & programming & mixing
 Benedict Fenner : keyboards & programming & mixng
 Leslie-Miriam Bennett : keyboards
 Rob Townsend : baritone & soprano saxes, flute, flageolet, quena, duduk & bass clarinet 
 John Hackett : flute
 Ferenc Kovács : trumpet
 Sara Kovács : didgeridoo
 Troy Donockley : Uilleann
 Christine Townsend : violin & viola
 Dick Driver : double bass
 Gulli Briem : drums, cajón & percussion
 Nick D'Virgilio : drums
 Gary O'Toole : drums
Malik Mansurov : tar 


Yellow Dog - Yellow Dog (1971)



Yellow Dog was a British based rock band from the 1970s. Founded by the American songwriter Kenny Young, who had previously been a founder member of Fox, the band enjoyed a solitary Top 10 hit in the UK Singles Chart in 1978 with "Just One More Night".

En 1975, la scène musicale était une mosaïque vibrante de sons et de styles, chaque groupe cherchant à capturer l’esprit tumultueux de l’époque. Et puis, il y avait Yellow Dog, un groupe qui, avec son album éponyme "Yellow Dog", a réussi à distiller l’essence même de cette époque en un chef-d'œuvre aussi audacieux qu’étonnamment cohérent.

Dès les premiers accords de "Gypsy Soul", on est transporté dans un univers où chaque note semble être une célébration du genre. La guitare de Kenny Young, nerveuse et énergique, nous rappelle que le rock est avant tout une affaire de passion brute et d’authenticité. C’est une ouverture qui ne se contente pas de mettre le pied dans la porte, mais qui la défonce avec un sourire et une attitude désinvolte.

"The Green Lizard" est une déclaration d'intention, un hymne à la bravoure et à la persévérance. Avec ses riffs accrocheurs et son refrain chantant, c'est le genre de morceau qui donne envie de tout plaquer et de suivre le groupe sur la route, de ville en ville, de concert en concert. Les paroles, pleines de défi et de détermination, capturent parfaitement l’esprit libre de l’époque.

L’album ne se contente pas de marteler des tubes rock. "Indian Summer Rain" ralentit le tempo avec une ballade bluesy qui révèle une profondeur et une sensibilité inattendues. La voix de Kenny Young, habituellement pleine d'énergie, se fait ici douce et vulnérable, ajoutant une dimension émotive qui enrichit l’ensemble de l’album. C’est une pause bienvenue, un moment de réflexion au milieu de l’euphorie.

"City Bird" est une exploration ludique et satirique du personnage-titre, une critique sociale déguisée en une chanson entraînante et humoristique. Avec une section rythmique imparable et des paroles qui piquent, c’est une preuve supplémentaire que Yellow Dog sait allier le fond et la forme avec une aisance déconcertante.

Puis vient "Rising Sun", une chanson qui mêle des influences orientales à leur son rock caractéristique. C’est une expérimentation audacieuse, mais elle fonctionne grâce à l’habileté avec laquelle le groupe intègre ces éléments divers dans une cohésion parfaite. Ce morceau prouve que Yellow Dog n’a pas peur de repousser les frontières musicales, d'explorer de nouveaux horizons sonores.

L’apothéose de l’album, "Nobody Got So Much Soul", est un hommage à la tradition blues tout en étant profondément ancrée dans le présent. C’est une conclusion appropriée, un rappel que peu importe combien le groupe expérimente et évolue, ils n'oublient jamais leurs racines. Le solo de guitare de Young sur cette piste est tout simplement sublime, un moment de pure magie musicale qui reste gravé dans l'esprit longtemps après la fin de la chanson.

En fin de compte, "Yellow Dog" est un album qui respire la liberté et l’innovation. C’est un témoignage de l’époque où le rock était encore une force vive, une manière de vivre et de penser. Yellow Dog, avec cet album, n’a pas seulement créé de la musique, ils ont capturé un moment dans le temps, une énergie palpable et un sentiment de possibilités infinies. C’est un album qui, même des décennies plus tard, résonne avec la même puissance et le même enthousiasme qu’au moment de sa sortie.

Tracks :

Side 1

A1 Stood Up 3:00
A2 Gypsy Soul 4:12
A3 The Green Lizard 4:14
A4 Flash Gordon 4:37

Side 2

B1 Indian Summer Rain 3:25
B2 My Lady 4:05
B3 City Bird 5:00
B4 Nobody Got So Much Soul 3:20
B5 For Whatever It's Worth 3:27

Line-Up :

Bass – Gary Taylor
Drums – Gerry Conway
Guitar – Kenny Young, Andy Roberts, Herbie Armstrong, Jim Gannon
Mandolin – Andy Roberts
Percussion – Gerry Conway
Vocals – Gary Taylor, Herbie Armstrong

Enjoy Music :

1971


Audience - House On The Hill (1971)



`
Tracks :

01 Jackdaw
02 You're not smiling
03 I had a dream
04 Raviole
05 Nancy
06 Eye to eye
07 I put a spell on you
08 The house on the hill
09 You're not smiling
10 Indian summer
11 You're not smiling 

Line-Up : 

Howard Werth - Electric Guitar, Vocals
Tony Connor - Percussion, Drums, Vocals, Vibraphone
Gus Dudgeon - Percussion
Keith Gemmell - Clarinet, Flute, Saxophone
Trevor Williams - Bass Guitar, Keyboards, Vocals

Enjoy Music :

1971


This Winter Machine - The Man Who Never Was (2017)



 "The Man who Never was" would be a significant release even if it came from one of the classic symphonic or neo prog bands, but as a debut from a Yorkshire, UK band that had only formed mere months before, it's simply stunning. The arrangements are an archetypal blend of soaring or arpeggio'd guitars and effusive keyboards with healthy reverence for piano.

"The Man who Never" serait une sortie significative même si elle venait d'un des groupes symphoniques ou néo prog classiques, mais en tant que groupe débutant du Yorkshire, où UK s'était formé seulement quelques mois auparavant, c'est tout simplement renversant. Les arrangements sont un mélange archétypal de guitares montantes et de claviers effusifs avec une saine révérence  pour le piano.

Tracks :

1. The Man Who Never Was
a) Asleep
b) Dreaming
c) Snow
d) Awake
2. The Wheel
3. Lullaby (Interrupted)
4. After Tomorrow Comes
5. Fractured

Line-Up :

Al Wynter : vocals
Gary Jevon : guitars
Mark Numan : keyboards,backing vocals
Peter Priestly : bass
Marcus Murray : drums

Enjoy Music :

2017


Big Big Train - The Underfall Yard (2009)



Imagine if the Genesis line-up of '76 had remained intact and continued to make progressive style rock. Yes, the singer is very reminiscent of Phil Collins. These pieces are lavishly produced and performed pop-prog. The songs don't follow traditional pop convention, but neither are they contrived, overtly dramatic epics, just masterfully written songs.

Imaginez si le line-up de la Genesis de 76 est resté intact et a continué à faire du rock progressif. Oui, le chanteur rappelle beaucoup Phil Collins. Ces pièces sont généreusement produites et exécutées pop-prog. Les chansons ne suivent pas la convention pop traditionnelle, mais elles ne sont pas non plus artificielles, épiques ouvertement dramatiques, juste des chansons magistralement écrites.

Tracks :

1. Evening Star 
2. Master James Of St. George 
3. Victorian Brickwork
4. Last Train
5. Winchester Diver
6. The Underfall Yard

Line-Up :

David Longdon : vocals, flute, mandolin, dulcimer, organ, tambourine, psaltery, glockenspiel, keyboards, vocals arrangements
Greg Spawton : guitars, keyboards, bass, arrangements
Andy Poole : bass, keyboards, arrangements & producer
Nick D'Virgilio : drums, vocals 
Dave Gregory : guitars, electric sitar, Mellotron 
Francis Dunnery : guitar 
Jem Godfrey : synthesizer solos 
Jon Foyle : cello  & electric cello 
Dave Desmond : trombone & brass arrangements 
Nick Stones : french horn 
Jon Truscott : tuba 

Enjoy Music :

2009





Druid - Toward The Sun (1975)



Druid is compared mainly with the sounds of Yes withmainly a bass influenced by Chris Squire. They sound too a few like Starcastle, especially when they harmonize. In reality, with Druid it is the vocals of the singularly named Dane that reaches towards Jon Anderson's vocal rangeand to a lesser extent the bass playing of Neil Brewer which encourage these comparisons.

Druid est comparé principalement aux sons de Yes avec principalement une basse influencée par Chris Squire. Ils sonnent aussi un peu comme Starcastle, surtout au niveau des harmonies vocales. En réalité, avec Druid, c'est le chant du singulier Dane qui atteint le répertoire vocal de Jon Anderson et dans une moindre mesure le jeu de basse de Neil Brewer qui encourage ces comparaisons.

Tracks :

1. Voices (8:14) 
2. Remembering (5:24) 
3. Theme (5:26) 
4. Toward the Sun (5:08) 
5. Red Carpet for an Autumn (3:09) 
6. Dawn of Evening (10:03) 
7. Shangri-La (10:08)

Line-Up : 

Dane : guitars, vocals
Andrew McCrorie-Shand : keyboards, choral arrangements
Neil Brewer : bass
Cedric Sharpley : drums, percussions

Enjoy Music :

1975




Colonel Bagshot - Oh! What A Lovely War (1971)



Colonel Bagshot's Incredible Bucket Band, comprised of Brian Farrell, Terry McCusker, Dave Dover and Kenny Parry. They toured Europe and played gigs like the Reading Festival. A record by the band from that period (Six Day War) was remixed by DJ Shadow.
Brian later went solo and the other guys formed another band called 'Bunny', who went on to support the popular Glam Rock/Pop band, Slade, on their tours.

Incredible Bucket Band du Colonel Bagshot, était composé de Brian Farrell, Terry McCusker, Dave Dover et Kenny Parry. Ils ont fait des tournées en Europe et ont joué des concerts comme le Reading Festival. Un disque du groupe de cette période (Six Day War) a été remixé par DJ Shadow.
Plus tard, Brian a choisi de partir en solo et les autres gars ont formé un autre groupe appelé 'Bunny', qui a continué à soutenir le populaire groupe Glam Rock / Pop, Slade, lors de leurs tournées.

 Tracks :

01. Six Day War 00:00
02. Lay It Down 4:02
03. Lord High Human Being 7:11
04. Headhunters 10:14
05. I've Seen The Light 13:06 
06. Dirty Delilah Blues 17:54
07. Sometimes 22:14
08. That's What I'd Like To Know 24:23
09. Smile 28:25
10. Tightrope Tamer 31:21
11. Oh! What A Lovely War 34:12

Line - Up :

Brian Farrell - Vocals, Guitar, Stylophone
Kenny Parry - Vocals, Guitar, Keyboards
Dave Dover - Vocals, Bass Guitar, Keyboards
Terry McCusker - Vocals, Drums

Enjoy Music :

1971

mercredi 11 avril 2018

The Battered Ornaments - Mantle-Piece (1969)



Formed by Cream lyricist Pete Brown, The Battered Ornaments were a mixture of English jazz, blues, and psych rock in the late 60s. By the time they got around to recording their sophomore album Mantle-Piece, Brown was out of the band, yet they recorded his songs and sang his parts. 

Formé par le parolier de Cream Pete Brown, The Battered Ornaments était un mélange de jazz anglais, de blues et de psych rock à la fin des années 60. Au moment où ils se sont rendus à l'enregistrement de leur deuxième album Mantle-Piece, Brown ne faisait plus partie du groupe, mais ils ont enregistré ses chansons et ont chanté ses parties.

Tracks :

Side 2

A1 Sunshades
A2 Twisted Track
A3 Smoke Rings
A4 Take Me Now
A5 My Love's Gone Far Away

Side 2

B1 Staggered
B2 Late Into The Night
B3 Then I Must Go
B4 The Crosswords And The Safety Pins 

Line-Up :

Bass Guitar, Vocals – Roger Potter
Congas, Percussion, Vocals – Pete Bailey
Drums, Percussion, Tambourine, Vocals – Rob Tait
Guitar, Reeds, Flute, Vocals – Nisar Ahmed Khan
Guitar, Steel Guitar, Piano, Organ, Vocals – Chris Spedding

Enjoy Music :

1969



Arabesque - Arabesque (1972)



Arabesque is the name of one of the numerous treasures hidden in Seventies American Progressive rock. The label Shroom Productions has once more opened Pandora's box with the objective of finding this excellent "Tales Of Power". Located in the great symphonic tradition, this works takes inspiration from various sources: Iron Butterfly's psychedelic rock, Genesis's lyricism, Gentle Giant's vocal parts, Yes' instrumental luxury, some lines worth of the Canterbury School.

Arabesque est le nom d'un des nombreux trésors cachés dans le rock progressif américain Seventies. Le label Shroom Productions a une fois de plus ouvert la boite de Pandore avec l'objectif de retrouver cet excellent "Tales Of Power". Située dans la grande tradition symphonique, cette œuvre s'inspire de diverses sources: le rock psychédélique de Iron Butterfly, le lyrisme de Genesis, les parties vocales de Gentle Giant, le luxe instrumental de Yes ', quelques lignes de l'école de Canterbury.

Tracks :

1. An Epic Krail Mountains - 11.53
2. Cobbler's Knob - 10.43
3. We (The Farmer Song) - 7.43
4. The Forgotten Pond - 4.53
5. As The Novelty Wears...- 8.40
6. Arcanum Of Atlantis - 10.39

Line-Up :

August Smarra : guitar, vocals
Jim Renda : drums
Tom Ketterer : bass
R.J. Ketterer : vibes and percussion
Budd Kelly : keyboards, lead vocals.

Enjoy Music :

1972

Crucible - Tall Tales (1998)



Despite its release date, this album be tagged as Symphonic Prog and not as Neo-Prog. It's true the sound is closer to the 70's classics.
This could be described as a seemingly strange combination of mid-70's Genesis with modern Rush, but no worries, this is not a clone of any of the big ones. The prominent keyboards of Tim Horan are sounding like Tony Banks in Gabriel-era Genesis and this gives it a vintage feel, but the music itself is more modern, when it reminds of Genesis it's more like the period of Wind and Wuthering. The Rush feel comes mostly from the voice of Bill Esposito which is a kind of mellow Geddy Lee, without the harsh screaming tones of the canadian.

Malgré sa date de sortie, cet album sera marqué comme Symphonic Prog et non comme Neo-Prog. Il est vrai que le son est plus proche des classiques des années 70.
Il pourrait être décrit comme une combinaison apparemment étrange des années 70 de Genesis avec l'ère moderne de Rush, mais pas de soucis, ce n'est pas un clone de l'un des grands. Les claviers prédominents de Tim Horan sonnent comme du Tony Banks dans Genesis de l'époque de Gabriel et cela donne une sensation vintage, mais la musique elle-même est plus moderne, quand elle rappelle Genesis, elle ressemble plus à la période de Wind and Wuthering. La sensation de Rush vient principalement de la voix de Bill Esposito qui est une sorte de Geddy Lee moelleux, sans les cris rauques du Canadien.

Tracks :

1. Over the Falls (7:05) 
2. The Poet Liar (5:00) 
3. Find the Line (4:05) 
4. Lords and Leeches (11:21) 
5. In Ancient Tongue (3:08) 
6. The Salamander (4:52) 
7. Land for Sale (4:47) 
8. An Imp's Tale (21:09) 
a. Twice Upon a Time 
b. Adrift 
c. Stone of the Wise 
d. The Mortal Flaw 
e. Nomad Brad 
f. Release the Imps 
g. Day of the Hunting Dwarf

Line-up :

Chris Kasidas : bass guitar 
Tim Horan : piano, organ, acoustic guitar, flute 
Bill Esposito : lead vocal 
Tony Cappellina : drums, percussions 
Dan Esposito : lead and rythm guitar

U.K. - U.K. (1978)




In 1978, progressive rock declined very much. UK was a rare band to keep alive this musical genre. With Eddie Jobson on keyboards and electric violins, Allan Holdsworth on guitars, Bill bruford on drums and John Wetton on bass, the supergroup UK is a sure value and the listeners must have great expectations. Indeed, most of those musicians have a natural predisposition to create and play fusion music, so that many excellent fusion parts are present on this record.

En 1978, le rock progressif a beaucoup diminué. UK était un des rares groupes à garder vivant ce genre musical. Avec Eddie Jobson aux claviers et aux violons électriques, Allan Holdsworth aux guitares, Bill Bruford à la batterie et John Wetton à la basse, le supergroupe UK est une valeur sûre et les auditeurs doivent avoir de grandes attentes. En effet, la plupart de ces musiciens ont une prédisposition naturelle à créer et jouer de la musique fusion, de sorte que de nombreuses excellentes parties du genre sont présentes sur ce disque.

Tracks :

1. In The Dead Of Night (5:38) 
2. By The Light Of Day (4:32) 
3. Presto Vivace And Reprise (2:58) 
4. Thirty Years (8:05) 
5. Alaska (4:45) 
6. Time To Kill (4:55) 
7. Nevermore (8:09) 
8. Mental Medication (7:26)

Line-Up :

John Wetton : lead & backing vocals, bass
Allan Holdsworth : acoustic & electric guitars
Eddie Jobson : electric violin, keyboards, electronics (Yamaha CS80)
Bill Bruford : drums, percussion

Enjoy Music :

1978

The Neal Morse Band - The Similitude Of A Dream (2016)



Here's another concept double album of Neil Morse band based on the story of a man who writes his own story in prison and how he has faced many obstacles. This time there's no epic song but many ideas throughout this long adventure. The music covers different styles of rock, from classic rock to hard rock and Progressive Rock. The album starts with some big instrumental sections that are played at the fast pace,reaching the symphonic Prog Rock and the heavy Prog Rock in a rather dark atmosphere.

Voici un autre concept double album du groupe Neil Morse basé sur l'histoire d'un homme qui écrit sa propre histoire en prison et comment il a fait face à de nombreux obstacles. Cette fois, il n'y a pas de chanson épique mais beaucoup d'idées tout au long de cette longue aventure. La musique couvre différents styles de rock, du rock classique au hard rock et au rock progressif. L'album commence par quelques grandes sections instrumentales qui sont jouées au rythme rapide, atteignant le symphonique Prog Rock et le lourd Prog Rock dans une atmosphère plutôt sombre.

Tracks :

Disc 1 

1. Long Day (1:42) 
2. Overture (5:51) 
3. The Dream (2:28) 
4. City Of Destruction (5:11) 
5. We Have Got To Go (2:29) 
6. Makes No Sense (4:10) 
7. Draw The Line (4:06) 
8. The Slough (3:03) 
9. Back To The City (4:19) 
10. The Ways Of A Fool (6:48) 
11. So Far Gone (5:21) 
12. Breath Of Angels (6:32) 

Disc 2 

13. Slave To Your Mind (6:27) 
14. Shortcut To Salvation (4:36) 
15. The Man In The Iron Cage (5:16) 
16. The Road Called Home (3:24) 
17. Sloth (5:48) 
18. Freedom Song (3:59) 
19. I'm Running (3:44) 
20. The Mask (4:28) 
21. Confrontation (3:59) 
22. The Battle (2:57) 
23. Broken Sky / Long Day (Reprise) (9:58) 


Line-Up :

- Neal Morse : guitars, keyboards, lead vocals
- Eric Gillette : guitars, vocals
- Bill Hubauer : keyboards, vocals
- Randy George :/ bass
- Mike Portnoy : drums, vocals

Enjoy The Music :

2016

mardi 10 avril 2018

Nektar - A Tab In The Ocean (1972)



Nektar is another unique progressive band which can hardly be compared to any band. The songs here are varied. Lightly distorted organ is omnipresent. The epic 16 minutes "Tab in the Ocean" is made of aggressive symphonic keyboards and electric guitar full of distortion, near metal sometimes! "Waves" has mellow bits with pure electric guitar sounds. "King of Twilight" has some aggressive guitar parts, and there is a unique repetitive fast single note keyboards pattern a la Genesis "Watcher of the skies". The bass is delightful and the singer's voice is good.

Nektar est un autre groupe progressif unique qui peut difficilement être comparé à n'importe quel groupe. Les chansons ici sont variées. L'organe légèrement déformé est omniprésent. L'épopée de 16 minutes "Tab in the Ocean" est faite de claviers symphoniques agressifs et d'une guitare électrique pleine de distorsion, proche du métal parfois! "Waves" a des morceaux doux avec des sons de guitare électrique pure. "King of Twilight" a des parties de guitare agressives, et il y a un clavier unique à répétition rapide et unique à la Genesis "Watcher of the skies". La basse est délicieuse et la voix du chanteur est bonne.

Tracks :

1. A Tab In The Ocean (16:53) 
2. Desolation Valley / Waves (8:13) 
3. Crying In The Dark (6:29) 
4. King Of Twilight (4:22)  :
5. A Tab In The Ocean (16:04) 
6. Desolation Valley / Waves (8:33) 
7. Crying In The Dark (5:14) 
8. King Of Twilight (4:05) 

Line-Up :

Roye Albrighton : guitars, lead vocals
Alan "Taff" Freeman : keyboards, Mellotron, backing vocals
Derek "Mo" Moore : bass, backing vocals
Ron Howden : drums, percussion, backing vocals

Enjoy Music :

1972



Emerson, Lake & Palmer - Emerson, Lake & Palmer (1970)




Well it's a stunning debut album, characterized by some unforgettable tracks as well as tepid or annoying episodes in the same time..."Lucky Man" as a ballad was a famous hit single, but it's totally out of contest, in comparison for example to the splendid "The Barbarian" or the Fugue inside "Knife Edge" ...instead the mini-suite "Three Fates" is a controversial idea by EMERSON alone and it's not always inspiring from the point of view of its composition, even though his skill is excellent !

Eh bien, c'est un album époustouflant, caractérisé par des morceaux inoubliables et des épisodes tièdes ou agaçants dans le même temps ... "Lucky Man" en tant que ballade était un single à succès, mais il est totalement hors compétition, comparé par exemple à la splendide "The Barbarian" ou à la fugue à l'intérieur de "Knife Edge" ... même si la mini-suite "Three Fates" est une idée controversée d'Emerson et si elle n'est pas toujours inspirante du point de vue de sa composition. son habileté n'en est pas moins est excellente !

Tracks :

1. The Barbarian (4:32)
2. Take A Pebble (12:37)
3. Knife-Edge (With Extended Outro) (5:38)
4. Promenade (1:30)
5. The Three Fates: Atropos (Piano Trio) (3:12)
6. Rave Up (5:03)
7. Drum Solo (3:02)
8. Lucky Man (4:40)
9. Take A Pebble (Alternate Version) (3:40)
10. Knife-Edge (Alternate Version) (4:19)
11. Lucky Man (First Greg Lake Solo Version) (3:03)
12. Lucky Man (Alternate Version) (4:41)

Line-Up :

Greg Lake / vocals, bass, electric & acoustic guitars
Keith Emerson / Hammond organ, piano, clavinet, Royal Festival Hall pipe organ, modular Moog
Carl Palmer / drums, percussion

Enjoy Music :

Emerson, Lake & Palmer - Emerson, Lake & Palmer (LP)
1970


Starcastle - Fountains Of Lights (1977)



Starcastle's second album veers slightly from Yes to a more Kansas-ey sound but this is very relative. Like so many US prog band after Leftoverture was released and became a major seller, these guys couldn't help but adapting their soundscapes slightly, but they didn't reneg their Yes influences in doing so.

Le deuxième album de Starcastle passe légèrement de Yes à un son plus Kansas mais c'est très relatif. Comme beaucoup de groupes de prog US après la sortie de Leftoverture et est devenu un grand vendeur, ces gars-là n'ont pas pu s'empêcher d'adapter légèrement leurs paysages sonores, mais ils n'ont pas renié leurs influences Yes.

Tracks : 

1. Fountains (10:22) 
2. Dawning Of The Day (3:43) 
3. Silver Winds (4:54) 
4. True To The Light (6:25) 
5. Portraits (5:02) 
6. Diamond Song (Deep Is The Light) (5:35)

Line-Up :

Terry Luttrell : lead vocals
Matthew Stewart : electric & slide guitars, electric sitar, vocals
Stephen Hagler : guitar, piano, electric piano, vocals
Herb Schildt : synthesizer, organ, electric piano, Oberheim sequencer
Gary Strater : bass, Moog pedals, clavinet, vocals
Stephen Tassler : drums, percussion, vocals

Enjoy Music :

1977

Willowglass - Book of Hours (2008)



Willowglass's second album (actually Andrew Marshall, a talented multi-instrumentalist) is a sharp and tangy adventure into retro-prog. His swirling mellotron and crisp guitar takes you back to the 1970s, whether you want to go there or not. The sounds are pastoral and very pleasant, reminiscent of Camel.

Le deuxième album de Willowglass (en fait Andrew Marshall, un multi-instrumentiste talentueux) est une aventure pointue et piquante dans le rog. Son mellotron tourbillonnant et sa guitare vive vous ramènent aux années 1970, que vous vouliez y aller ou non. Les sons sont pastoraux et très agréables, rappelant Camel.

Tracks :

1 Argamasilla 11:04
2 Willowglass 4:02
3 The Maythorne Cross 10:39
4 Book Of Hours 7:13
5      The Labyrinth (16:50)
I) Prelude
II) The Journey
III) Don Quixote Rides Again
IV) Nature's Cathedral
V) Knight Of The White Moon
VI) The Spiral

Line-Up :

Electric Guitar, Acoustic Guitar, Twelve-String Guitar, Classical Guitar, Keyboards, Bass Guitar, Pedalboard, Flute, Drums, Percussion – Andrew Marshall
Drums, Percussion – Dave Brightman

Enjoy Music :

2008

lundi 9 avril 2018

Tony Banks - Strictly Inc (1995)



This is Tony Banks best solo album after his debut A Curious Feeling. Actually I did not expect much from this album since I never really like Wang Chung, and the colaboration between their lead singer and Banks seemed quite unlike to succeed. But it worked! After the hideous The Fugitive, the only average Bankstatement and the good, but uneven Still, it looks like Genesis keyboards player finally found a good balance between his hability to deliver great melodies and his ambition to write simpler, catchy tunes. All songs are good. Of course I don't have to praise his best latter day composition, Island In The Darkness. All the other reviewers have done that. It's a masterpiece, end of the story.

C'est le meilleur album solo de Tony Banks après son premier album A Curious Feeling. Après le hideux The Fugitive, le seul Bankstatement moyen et le bon, mais inégal Still, on dirait que le joueur de claviers de Genesis a finalement trouvé un bon équilibre entre sa capacité à délivrer de grandes mélodies et son ambition d'écrire des airs plus simples et accrocheurs. Toutes les chansons sont bonnes. Bien sûr, je n'ai pas à faire l'éloge de sa meilleure composition des derniers jours, Island In The Darkness. Tous les autres critiques l'ont fait. C'est un chef-d'œuvre, fin de l'histoire.

Tracks :

1. Don't Turn Your Back On Me (3:59) 
2. Walls Of Sound (5:07) 
3. Only Seventeen (4:57) 
4. The Serpent Said (5:28) 
5. Never Let Me Know (6:20) 
6. Charity Balls (4:38) 
7. Something To Live For (5:17) 
8. A Piece Of You (4:47) 
9. Strictly Incognito (5:05) 
10. An Island In The Darkness (17:21) 

Line-Up :

Tony Banks : keyboards (synth guitar, bass, percussion)
Jack Hues : vocals, guitar
Daryl Stuermer : guitar, guitar solo
Nathan East : bass 
John Robinson : drums

Enjoy Music :

1995


Yes - Relayer (1974)



This is the only version of Relayer to have been completely remixed from the original multitrack tapes since 1974. In keeping with all the other releases in this series, Steven Wilson’s approach for new stereo mix is to faithfully retain the spirit & sounds of the original album mix, while applying modern mix techniques to bring further clarity to the individual instrument, vocal & overdubs for each track.

C'est la seule version de Relayer à avoir été complètement remixée des bandes multipistes d'origine depuis 1974. En accord avec toutes les autres sorties de cette série, l'approche de Steven Wilson pour le nouveau mixage stéréo est de conserver fidèlement l'esprit et les sons de l'album original mélanger, tout en appliquant des techniques de mixage modernes pour apporter plus de clarté à l'instrument individuel, vocal et overdubs pour chaque piste.

Tracks :

01. The Gates Of Delirium
02. Sound Chaser 
03. To Be Over

Line-Up :

Jon Anderson – Lead Vocals
Steve Howe – Guitars, Backing Vocals
Chris Squire – Bass, Backing Vocals
Patrick Moraz – Keyboards
Alan White – Drums, Percussion

Enjoy Music :

1974



Camel - Moonmadness (1976)



With this, Camel did the impossible. They produced a follow up album to the Snow Goose which kept to very nearly the same standard and didn't follow the same pattern. It's full of dreamy keyboards, superb guitar and flute work and the whole is backed by one of the classiest rhythm sections in history. Even the vocals, often a Camel weak point, work brilliantly. 

Avec ceci, Camel a fait l'impossible. Ils ont produit un album de suivi à Snow Goose qui a gardé à peu près la même norme mais n'a pas suivi le même modèle. Il est plein de claviers rêveurs, de guitare et de flûte superbe et le tout est soutenu par l'une des sections rythmiques les plus classieuses de l'histoire. Même les voix, souvent un point faible de Camel, fonctionnent avec brio.

Tracks :

1. Aristillus (1:59) 
2. Song Within a Song (7:18)
3. Chord Change (6:48) 
4. Spirit of the Water (2:09) 
5. Another Night (7:00) 
6. Air Born (5:04) 
7. Lunar Sea (9:14)

Line-Up :

Andy Latimer : guitars, flute, recorders, vocals
Peter Bardens : keyboards, vocals
Doug Ferguson : bass, lead vocals
Andy Ward : drums, percussion, spoken voice

Enjoy Music :

1976




Jon Anderson - Olias Of Sunhillow (1976)




This is Anderson's most complex and sophisticated album. It is rather floating new age, with progressive orientation. Maybe his best album too. The songs contain many floating loaded keyboards of the Vangelis style. There are also lots of string instruments, such like harp. The album, regardless keyboards, is rather acoustic. Jon Anderson's vocals are great, as always.

C'est l'album le plus complexe et sophistiqué d'Anderson. C'est plutôt dans le courant new age, avec une orientation progressive. Peut-être son meilleur album aussi. Les chansons contiennent de nombreux claviers chargés de style Vangelis. Il y a aussi beaucoup d'instruments à cordes, comme la harpe. L'album, hormis les claviers, est plutôt acoustique. Les voix de Jon Anderson sont excellentes, comme toujours.

Tracks :

1. Ocean Song (3:24)
2. Meeting (Garden Of Geda) (1:11)
3. Sound Out The Galleon (2:11)
4. Dance Of Ranyart (2:12)
5. Olias (To Build The Moorglade) (2:04)
6. Qoquaq ën Transic (2:29)
7. Naon (3:29)
8. Transic Tö (1:08)
9. Flight Of The Moorglade (3:22)
10. Solid Space (5:30)
11. Moon Ra (5:50)
12. Chords (3:07)
13. Song Of Search (3:40)
14. To The Runner (4:31)

Line-Up :

Jon Anderson: vocals, choirs, acoustic and electric guitars, mandolin, bass,
saz, harp, sitar, keyboards, percussion, flutes.
Brian Gaylor : electronics

Enjoy Music :

Jon Anderson - Olias Of Sunhillow (LP)
1976