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Rock Music Blog

mardi 25 octobre 2016

Don McLean - American Pie (1971)



Obviously, we can summarize this disc its title track. A further eight minute epic folk having as a starting point "the day the music died", February 3, 1959, the day died in a plane crash Buddy Holly (McLean idol), Ritchie Valens and the Big Bopper . This title is an opportunity for McLean to give a very poetic vision of the music of relations with the US company, the carelessness of the late 50's decision-utopian position, and committed activists of the sixties, to the painful awakening and disillusioned in the early 70s. American pie is perfect from start to finish, a kind of synthesis of all the current folk music appeared previously. There in the melodic purity, the delicacy and richness of arrangements, many things that refer to Bert Jansch, Fairport Convention, Donovan, Cat Stevens, Nick Drake or Syd Barrett and all US folk singers, Paul Simon, James Taylor are at the corner of a tone, a melody, an arrangement. Things like 'Vincent' (a tribute to Van Gogh) are perfect, and the end of the disc, which presents stripped moods and lyrical parts ( 'The Grave','Babylon') announces with over twenty years ahead the quivering atmosphere of Jeff Buckley.

Evidemment, on pourrait résumer ce disque à son morceau-titre, une épopée folk de plus de huit minutes ayant comme point de départ «the day the music died», le 3 février 1959, jour où ont péri dans un accident d'avion Buddy Holly (idole de McLean), Ritchie Valens et le Big Bopper. Ce titre est l'occasion pour McLean de donner une vision toute poétique des rapports de la musique avec la société américaine, de l'insouciance de la fin des 50's aux prises de position utopistes, militantes et engagées des sixties, jusqu'au réveil douloureux et désabusé du début des années 70. American Pie est parfait de bout en bout, une sorte de synthèse de tous les courants de la musique folk apparus jusque là. Il y a dans la pureté mélodique, dans la finesse et la richesse des arrangements, beaucoup de choses qui renvoient à Bert Jansch, Fairport Convention, Donovan, Cat Stevens, Nick Drake, voire Syd Barrett. Et tous les folkeux mélodiques américains, de Paul Simon à James Taylor se retrouvent au détour d'une intonation, d'une mélodie, d'un arrangement. 'Vincent' (hommage à Van Gogh) est particulèrement sublime et le final du disque, qui fait cohabiter ambiances dépouillées et montées lyriques ('The Grave', 'Babylon') annonce avec plus de vingt ans d'avance les ambiances frissonnantes d'un Jeff Buckley.

1971

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