Ainsley Dunbar, drummer emeritus rolling its blues since 1947 enlisted the talented Alex Dmochovski (bass) and John Moorshead (guitar), but especially the multi-instrumentalist and singer sublime Victor Brox, an old hand of the British blues. This line-up is the one on the first album of Aynsley Dunbar Retaliation (1968 / Liberty), eponymous, which starts very original way by air whistled and relayed by a song that looks like two drops of water to Chevrolet Ed & Lonnie Young and popularized by Donovan, accompanied mainly drum and percussion (Watch `n 'Chain). The introduction is rather successful and surprising. My Whiskey Head Woman dramatically raised Brox: the voice is beautiful, deep, languid blues and absolutely fantastic cornet solo. Dunbar has been right in his recruitment, especially as the rhythm is not standing still and reveals a beautiful inspiration solo of its two components on the jazzy Sage Of Sidney Steet and Mutiny (the drum solo drags yet too), or together on See See Baby. The slow blues Double Lovin ', the blues to Green, in all its splendor, while Trouble No More, is still high fly Brox, but the piano this time. From Roamin 'And Ramblin' which starts the second side, the lot becomes more experimental, yet without being uninteresting.
Ainsley Dunbar, batteur émérite qui roule son blues depuis 1947 enrôle les talentueux Alex Dmochovski (basse) et John Moorshead (guitare), mais surtout le multi-instrumentiste et sublime chanteur Victor Brox, un vieux de la vieille du british blues. Ce line-up est celui qui figure sur le premier album d'Aynsley Dunbar Retaliation (1968/Liberty), éponyme, qui débute de façon très originale par un air siffloté et relayé par un chant qui ressemble comme deux gouttes d'eau au Chevrolet d'Ed & Lonnie Young et popularisé par Donovan, accompagné principalement de batterie et de percus (Watch `n' Chain). L'entrée en matière est plutôt réussie et surprenante. My Whiskey Head Woman fait flamber Brox : la voix est belle, et profonde, le blues languissant et le solo de cornet absolument fantastique. Dunbar a donc vu juste dans son recrutement, d'autant que la rythmique n'est pas en reste et dévoile une belle inspiration en solo de ses deux composantes sur le jazzy Sage Of Sidney Steet et Mutiny (le solo de batterie s'éternise cependant un peu trop), ou ensemble sur See See Baby. Le slow blues Double Lovin', c'est le blues à la Green, dans toute sa splendeur, tandis que Trouble No More, c'est encore du Brox de haute volée, mais au piano, cette fois-ci. A partir de Roamin' And Ramblin' qui démarre la deuxième face, le lot devient plus expérimental, sans être pourtant dénué d'intérêt.
1969
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire